Veracash : la néobanque en or qui lève 2 millions d’euros
Alors que les métaux précieux n’ont jamais autant été plébiscités et que la pandémie a ravivé des vieux souvenirs d’effondrement du système monétaire, il y a un acteur qui nage dans un océan d’opportunités. Veracash, la pépité bordelaise fondée par Jean-François Faure et issue de la lignée d’Aucoffre.com et de Vera Valor tire son épingle du jeu en construisant progressivement son empire autour d’un modèle assez simple : devenir la néobanque atypique qui vous permet de payer et d’épargner grâce à l’or. De l’or comme valeur refuge à l’or comme moyen de paiement, on retrace avec vous la fabuleuse épopée de cette pépite française qui n’a pas fini de nous surprendre et qui vient de lever 2 millions d’euros pour continuer sa course à la disruption du modèle bancaire.
Avertissement : Cet article vous est présenté par la société Veracash. Les investissements crypto sont risqués par nature, faites vos propres recherches et n’investissez que dans les limites de vos capacités financières. Cet article ne constitue pas une incitation à l’investissement
Rendre à l’or ses lettres de noblesse
Alors que les cryptomonnaies sont sur toutes les bouches, un autre actif alternatif se fait la malle et continue de séduire, malgré des siècles d’existence. C’est peut être bien le seul “truc vieux” qui rajeunit chaque année. Je veux évidemment parler de l’or, et plus largement des métaux précieux.
En effet, à l’origine de Veracash, on retrouve évidemment l’intérêt de son fondateur pour l’or et l’argent, deux actifs sûrs, robustes, résistant aux crises en tout genre et qui constituent une vraie valeur refuge pour tout investisseur qui se respecte.
Quand on pense que même les banques centrales et les Etats investissent massivement dans le métal jaune, on se dit que c’est loin d’être une affaire d’altermondialistes en marge du système actuel.
Cela tient avant tout aux caractéristiques intrinsèques de l’or et de l’argent : existant depuis la nuit des temps comme monnaie d’échange puis réserve de valeur, ils ont su traverser vents et marées sans ne jamais s’effondrer, au contraire.
Et la crise que nous traversons actuellement à quelque peu ravivé la flamme des investissements alternatifs et notamment de l’or et l’argent qui s’érigent véritablement non plus comme une alternative mais comme un investissement à part entière.
Ainsi, comme nous avions eu l’occasion de le détailler dans un article précédent, mieux vaut mettre une partie de ses œufs dans un autre panier que celui d’une banque traditionnelle si vous cherchez à rentabiliser autant que faire se peut les deniers durement gagnés. En effet, en regardant le cours de l’or au fil des mois on remarque que sa volatilité est relative, même si, comme vous le savez si bien désormais, vous ne devez investir que ce que vous êtes prêt à perdre. Je vous l’accorde, l’approche est assez originale mais elle est centrale lorsque vous vous penchez sur la question de l’investissement dans quelque actif que ce soit.
Ce constat, nous ne sommes pas les seuls à l’avoir fait, et c’est à travers l’histoire de la création de Veracash que vous allez mieux comprendre ce qui fait l’originalité et l’authenticité du projet.
L’histoire d’une pépite en or française
Tout démarre de façon assez simple dans la tête de Jean-François Faure. Nous sommes en 2009 et alors que s’abat sur le monde une des plus graves crises financières de l’histoire de ce siècle, il a la brillante idée de fonder un projet permettant de revenir aux fondamentaux en achetant de l’or de façon dématérialisée pour se prémunir des possibles fracas du monde. Il part finalement du constat que la dématérialisation des métaux précieux est LA réponse contemporaine en matière d’achat des métaux précieux et d’épargne au sens large. Un peu en mode Back to the basics, notre entrepreneur fonde alors aucoffre.com avec l’intime conviction qu’il est temps de sortir du système monétaire traditionnel et de miser sur l’or et les métaux précieux qui ont toujours été des actifs refuges, sûrs, et rentables à long terme.
Sauf que, comme tout bon entrepreneur qui se respecte, il ne comptait évidemment pas s’arrêter en si bon chemin.
Il continue alors sa ruée vers l’or en créant les premières pièces Vera Valor qui représentent 1 once d’or atypique, robuste, belle, et ultra sécurisée. En effet, lancée en 2011, la pièce Vera Valor a tout de suite eu les arguments pour séduire : au niveau des plus hauts standards en matière de qualité, première once d’or à proposer un tel niveau de sécurité grâce à un QR Code et un certificat on-line.
Quelque temps après, émerge alors Veracash en 2012. L’idée de base était de pouvoir payer au quotidien avec une carte adossée sur l’or. A l’époque appelée la Veracarte, l’idée de base est restée jusqu’à aujourd’hui.
Mais, dès lors que l’on parle de digitalisation, on a donc bien un actif physique caché derrière, et c’est bien sûr la Vera Valor, mascotte de Veracash qui est détenue dans les coffres ultra sécurisés des ports francs de Genève.
Veracash va donc beaucoup plus loin que aucoffre.com en créant une quasi monnaie d’échange et en préfigurant une néobanque : c’est en 2015 que la bascule se fait et que Jean-François Faure met un coup d’accélérateur en passant de Veracarte à Veracash.
C’est désormais un véritable outil de paiement et d’envoi de valeur partout dans le monde gratuitement grâce à la nouvelle carte associée à un wallet utilisable depuis l’application mobile.
En 2017, ils opèrent une première levée de fond sur une plateforme sous forme de crowdfunding auprès de leur communauté et le pari s’avère gagnant : à l’issue ils arrivent à développer des choses inédites aujourd’hui encore sur le marché de l’or. S’érigeant en véritable leader sur son marché, Veracash se positionne pleinement en avance sur son temps en proposant de disrupter sans doute l’un des plus vieux marché du monde.
A la croisée des deux mondes, Jean-François Faure à travers son entreprise Veracash offre ainsi la garantie d’utiliser un nouveau moyen de paiement, partout dans le monde mais qui repose sur des valeurs propres :
- la liberté et la responsabilité qui permettent à Veracash de se positionner sur un créneau unique et de répondre aux nouvelles attentes des utilisateurs ;
- l’indépendance et l’engagement notamment dans l’utilisation de l’or recyclé, mais aussi la sécurité au coeur du modèle ;
- l’audace qui leur permet aujourd’hui d’innover sans cesse : digitaliser l’or physique, qui y aurait pensé ?
Veracash poursuit ainsi deux objectifs audacieux : sécuriser le patrimoine de ses clients en cas de crise grâce à un système hors de toute banque traditionnelle, mais également la possibilité d’envoyer de la valeur partout dans le monde et de façon instantanée et sans frais.
Devenir la néobanque atypique de référence
Après une levée de fonds de 2 millions d’euros, Veracash a l’ambition d’aller loin, très loin…
Regardons d’abord quelques informations clés sur ce qui fait d’elle, la néobanque atypique de référence et aujourd’hui seule sur son marché.
C’est la seule et unique entreprise française, et première en Europe à proposer à ses clients un compte en or et en argent 100% physique le tout grâce à : un IBAN, une carte Mastercard et un IBAN, utilisables partout dans le monde.
L’investissement est stocké au sein des ports francs de Genève ultra sécurisé, et en dehors du système bancaire traditionnel.
Pour vous qui vous demandez sans doute concrètement à qui s’adresse cette néobanque d’un nouveau genre, il existe 3 typologies de compte aujourd’hui afin de répondre à un panel assez large d’utilisateurs :
- le compte particulier
- le compte professionnel
- le compte jeune
L’équipe de 3 du début a laissé place à une belle équipe de 40 personnes en 2021 qui arrivent tout de même à générer un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros.
En outre, plus de 6 millions d’euros ont déjà été échangés en VRC depuis sa création, ce qui fait un beau volume de transactions.
La société possède aujourd’hui plus de 50 000 clients qui ont décidé de sauter le pas et s’inscrire dans une démarche alternative.
Parmi les nouveautés de cette année entreprises suite à la levée de fond, on retrouve bien la vision prospective du fondateur puisque la sécurisation de la carte a encore été accentuée grâce au développement d’une application blockchain. De plus, les clients désormais actionnaires après avoir répondu présent à la levée de fonds qui vient de se clôturer vont pouvoir échanger leurs titres sur une mini bourse et disposer d’un compte en euros.
L’objectif ultime, vous l’avez compris, étant de se transformer progressivement en véritable néobanque atypique, positionnée sur un marché en dehors du circuit traditionnel classique.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur Veracash n’hésitez pas à regarder ou revoir notre vidéo tournée par cointribune :
Au-delà de Veracash et son projet faramineux, il est important de bien comprendre ce qui entoure ces actifs d’un nouveau genre, pour cela rien de plus simple : allez faire un tour sur notre tribune des investissements alternatifs.
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Les propos et opinions exprimés dans cet article n'engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d'investissement.