VeraCash, la carte qui vaut de l'Or et ringardise les Banques

Opérant la synthèse de deux mondes, celui de l’or physique et des paiements au quotidien, la carte VeraCash constitue un hybride unique. Un produit tellement innovant qu’il méritait bien d’être mis en valeur dans cette première Tribune de l’Investissement Alternatif !

En effet, en s’appuyant sur tout un écosystème qui vous permet d’acquérir de l’or physique en quelques minutes de manière transparente et dans des conditions de sécurité optimales, VeraCash vous donne accès à deux super-pouvoirs :

• vous permettre – enfin – d’investir simplement dans l’or physique (mais également l’argent, et même le diamant!)
• Associer cette réserve en matière précieuse à une carte de paiement, permettant de procéder à l’ensemble des achats du quotidien.

Et découvrez également comment le stablecoin VRO – une autre innovation majeure – vous permettra d’apporter une dose d’efficience supplémentaire, en apportant au dispositif toute la puissance de la blockchain.

Utiliser votre or pour procéder à des transactions de tous les jours. Comment diable ce miracle alchimique est-il possible ? On fait le tour

Cet article vous est proposé en partenariat avec la société Vera One. Les investissements crypto sont risqués par nature, faites vos propres recherches et n’investissez que dans les limites de vos capacités financières. Cet article ne constitue pas une incitation à l’investissement.

Du lingot d’Or à la baguette de pain

Avez-vous déjà essayé d’aller acheter une baguette de pain avec une pièce d’or ? Et après vous être fait poliment montrer la sortie, avez vous tenté de nouveau votre chance le lendemain, en proposant un transfert de quelques milliers de satoshi (la décimale du Bitcoin), en contrepartie d’une tradition bien cuite, s’il-vous-plait ?

La réponse est fort probablement non, dans les deux hypothèses.

Le monde est ainsi fait : l’or physique, en dépit de ses 5 millénaires d’utilisation pour des transactions commerciales entre humains, et désormais voué à dormir dans des coffres bancaires, ou des vitrines de collectionneurs.

Quant à Bitcoin, fort de sa décennie d’existence, il est possible qu’il faille attendre encore une durée équivalente avant qu’il ne s’échange réellement au quotidien, si jamais ça doit arriver un jour.

La situation de l’investisseur à la tête d’un petit patrimoine en or ou en Bitcoin est donc des plus inconfortables : il dispose d’actifs ayant une indéniable valeur financière, tout en étant bien incapable de le mobiliser pour ses besoins du quotidien. Frustrant.

Frustrant d’autant plus, que dans ces deux hypothèses, ce n’est rien moins que de la possibilité de se passer des services d’une banque dont il question !

Autrement dit, de la possibilité d’opérer des transactions commerciales de gré à gré, sans requérir aux services d’un tiers bancaire.

Votre banquier le déteste

Si le propos du papier du jour n’est pas de taper sur les banques – parce que c’est un peu trop facile – on en conviendra : indispensable depuis plusieurs siècles pour des raisons essentiellement logistiques, la pertinence de la proposition de valeur des banques (jouer le rôle d’un intermédiaire de confiance entre des parties dans le cadre d’une transaction financière), a de plus en plus de mal à se justifier.

Ainsi , de plus en plus de clients des banques prennent progressivement conscience, à la fois de l’utilité déclinante des établissements financiers, mais même de la pyramide de Ponzi globale dont elle sont les (in)dignes représentantes…

Or, mauvaise nouvelle pour le cartel bancaire, des initiatives se multiplient pour proposer des alternatives.

Et VeraCash fait partie de l’avant-garde.

VeraCash s’inscrit dans la même approche globale que VeraOne et son token VRO, que nous vous avons déjà présenté récemment.

Si le sujet est à la fois complexe et sensible (de l’or, des banques des crypto, vous imaginez hein…), l’actuelle réussite de l’entreprise est très directement liée à l’expertise de la société Aucoffre.Com, leader français de la vente d’or aux particulier depuis plus d’une décennie.

Et pour ceux qui dormaient au fonds, on rappellera donc que VeraOne est la branche dédiée FinTech de AuCoffre.com. VeraOne est notamment à l’origine de la création du token VRO, un stablecoin adossé à de l’or physique, le noble métal étant conservé sous bonne garde dans les Ports-Francs de Genève.

Aucoffre.com, VeraCash, VeraOne… Derrière ces multiples initiatives, on retrouve le même entrepreneur, un peu le “Monsieur Or” Français, Jean-François Faure.

Jean-François, c’est un peu le bug dans la matrice, où la démonstration que même aujourd’hui, un individu peut faire la différence à lui seul, même sur un secteur aussi apparemment inamovible et verrouillé que le business de l’or.

Jean-François Faure fonde la société AuCoffre en 2009. Il propose alors pour la première fois la possibilité à tout particulier d’acheter, de faire stocker, ou de recevoir de l’or physique, aussi simplement qu’on achèterait le dernier Marc Levy sur Amazon (qui s’intitulait d’ailleurs “Rêves d’enfant”, faites ce que vous voulez de cette information).

Si la société est aujourd’hui leader du secteur, l’équipe n’a depuis eu de cesse d’être systématiquement en avance d’une révolution, notamment donc avec la sortie du service VeraCash en 2015, une carte de paiement, sans banque, directement connectée à VOTRE réserve en or et métaux précieux.

VeraCash la carte sans concession

Vous commencez à me connaître, je n’aime rien tant que digresser mais permettez-moi sur ce sujet en particulier d’aller pour une fois, droit au but.

En quoi consiste concrètement la proposition VeraCash et comment les choses se passent-elles ?

Selon que vous possédez déjà de l’or physique – ou pas – , le cheminement sera un peu différent.

Cas numéro 1 : Vous possédez de l’or, et souhaitez obtenir des VeraCash

• Vous confiez vos métaux précieux (pièces, bijoux, lingots…) à VeraCash
• Conformément à un barème transparent et connu à l’avance, Cette quantité de métal précieux est convertie en VeraCash (VRC)
• Ce processus est qualifié de « transmutation » (un terme que vous retrouverez en bonne place dans le manuel de référence « Le Petit Alchimiste »)
• Et en parlant de transmutation, VeraCash propose aussi la transformation de votre or métal en argent métal. Vous disposez d’1 kilo d’or ? Si vous le souhaiter, VeraCash le transmute en 70 kilos d’argent métal !

Cas numéro 2 : Vous ne possédez pas d’or, et souhaitez obtenir des VeraCash

C’est une situation intéressante, car dans l’hypothèse où ne disposeriez pas du moindre stock de la relique barbare enterré au fond du jardin, vous allez non seulement pouvoir agrémenter votre patrimoine en acquérant de l’or métal, mais également dans le même élan, bénéficier du système VeraCash !

• Créez un compte sur la plateforme VeraCash
• Allez sur « créditer » et choisissez la répartition de votre investissement (GoldPremium, GoldSpot, Argent).
• Payez par virement bancaire (obligatoire pour le premier achat) ou CB (moyen de paiement disponible après un premier virement réussi et une période d’observation de 2 mois, dans le cadre du respect des standards de sécurité du secteur).
• Vos VRC seront crédité et gérables sur votre espace client

Quel que soit le cheminement choisi, ne vous restera plus alors qu’à demander votre carte de paiement. Celle-ci fonctionnera exactement de la même manière qu’une carte bancaire traditionnelle.

J’insiste sur un point qui me semble important : la réserve d’or qui, sous forme de devises VRC, va vous permettre de procéder à vos opérations du quotidien VOUS APPARTIENT. Cet or physique est stocké et mis sous bonne garde par VeraCash qui met toute son expertise et ses capacités logistiques au service de ses clients.

Votre patrimoine est inaccessible à la saisie, notamment étatique, protégé par le statut fiscal et douanier propre à l’environnement des Ports-Francs de Genève. Aucun gouvernement, service fiscal ou bancaire n’est en capacité d’avoir la moindre action ou influence sur votre réserve patrimoniale. Prenez un instant pour peser les implications de cette situation, à une époque où il est de plus plus question que les épargnes de particuliers puissent faire l’objet de saisie et dans un monde post-COVID-19 qui s’annonce des plus instables…

Comment dépenser ses VeraOne (VRO) grâce à la carte VeraCash ?

Je vous le rappelais un peu plus haut, TheCoinTribune a déjà eu l’occasion d’évoquer le token VRO, un stablecoin adossé à un collatéral en or physique. A ce stade, vous devriez comprendre à quel point l’architecture Aucoffre.com – VeraCash – VeraOne est réfléchi de manière globale, avec comme alpha et omega, la remise de l’or métal au centre du jeu économique et monétaire.

Et bien évidemment, si vous savez désormais comment il est possible de créditer votre carte de paiement VeraCash, vous ne sera pas étonné d’apprendre qu’il est également possible de faire de même avec la cryptomonnaie maison, le VRO !

Les conditions sont d’une absolue simplicité :

• Avoir créé et validé un compte VeraOne 
• Avoir créé et validé un compte VeraCash
• Posséder un minimum de 100 VRO sur son wallet VeraOne
• Demander un transfert vers sa propre carte VeraCash. Une commission de 0.5% sur le montant du transfert d’applique.

Ainsi, le participant à l’écosystème peut dépenser son stablecoin VRO, lui-même acheté avec du BTC ou de l’ETH, pour un achat aussi simple que celui d’une baguette de pain !

Et si vous voulez en apprendre encore un peu plus, l’ami Owen a commis une vidéo des plus solides sur le projet :

Conclusion Cash

A la découverte de ce projet, il convient de se féliciter à plusieurs titres : d’une part, parce que VeraCash a forgé un outils de nature à permettre à n’importe qui de se passer très largement des banques : Votre or – votre moyen de paiement.

Au final, c’est une précieuse parcelle de liberté supplémentaire que vous arrachez au système.

Et par ailleurs, comment ne pas se satisfaire qu’en dépit des clichés s’agissant de la réglementation et de la fiscalité nationale, un tel projet complet et fonctionnel soit français ? VeraCash est labellisé FrenchTech et il n’est pas interdit d’en tirer quelques fiertés.