Tron (TRX) : Sa vraie force n'est pas ce que vous croyez !
Tron (TRX) n’est pas seulement une des blockchains les plus célèbres dans l’univers des cryptos. Il s’agit aussi d’un vaillant défenseur de la décentralisation. Sachez tout d’abord qu’Internet a déjà évolué en Web2 depuis les années 2000. Bon nombre d’agrégateurs et d’intermédiaires parviennent à y trouver des niches. Leur but est d’en tirer le plus de profits possible. Les intermédiaires sont la clé du Web2. Les experts en économie parlent de « recherche de rente constante ». Décentralisation, Web3, avenir du numérique, voici tout ce qu’il faut savoir sur ces sujets.
Tron (TRX) : une blockchain au service de la décentralisation
Le bouleversement induit par l’arrivée des cryptomonnaies comme Tron (TRX), Bitcoin (BTC) ou Ethereum (ETH) est plus large qu’il n’y paraît. Internet ne peut pas conserver sa version actuelle, alors que les systèmes du monde entier découvrent les avantages de la décentralisation. C’est là que le Web3 prend tout son sens.
La décentralisation est l’un des concepts prédominants dès lors que l’on aborde le sujet des cryptomonnaies. Elle désigne un système qui n’est soumis à aucun contrôle ni à aucune régulation, et qui est dépourvu d’infrastructure physique unique.
Le Web3 s’inscrit comme l’avenir d’Internet. Le cœur de son fonctionnement repose sur la décentralisation. Il s’agit d’une transformation complexe, mais que de plus en plus d’entreprises souhaitent mener. La blockchain Tron (TRX) en est un exemple intéressant. Fondée en septembre 2017, elle a connu un développement particulièrement rapide. Dès juillet 2018, ce projet s’est intégré à BitTorrent, un pionnier des services Web3 décentralisés. Il a ainsi gagné en popularité, avec près de 100 millions d’utilisateurs actifs sur sa blockchain, sans oublier ses 3,4 milliards de transactions. Il héberge notamment la plus grande offre de stablecoins en circulation du monde entier. En avril 2021, la blockchain Tron (TRX) était plus utilisée pour le Tether (USDT) que celle d’Ethereum (ETH). Combiner technologie et gouvernance pour optimiser sa décentralisation fait sa force. Tron (TRX) est ainsi considérée comme l’avant-garde du Web3.
La blockchain donne le pouvoir aux utilisateurs !
Certains détracteurs ont tendance à souligner que 2022 est l’année la plus chère pour le Web3, avec un taux de cybercriminalité qui a explosé. Toutefois, il ne s’agit que d’un besoin d’ajuster les processus d’audits des smart contracts, et non d’une faille majeure dans le concept même de Web3. La décentralisation des systèmes est lancée, et l’avenir est à écrire.
Depuis décembre 2021, la blockchain Tron a achevé sa décentralisation complète. Elle est ainsi officiellement devenue une organisation autonome décentralisée (DAO) purement communautaire. À ce titre, une autorité supplémentaire est déléguée à 27 « super représentants ». Leur rôle sera d’assurer la vérification et la protection de l’ensemble des données de transactions diffusées sur le réseau. Les utilisateurs sont appelés à participer à l’élection de ces 27 représentants.
Ainsi, leur contribution ne s’arrête plus au développement de la blockchain. Les utilisateurs se voient attribuer un accès privilégié à la gouvernance de celle-ci. Cela marque précisément l’aspiration de la décentralisation : rendre le pouvoir aux utilisateurs.
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Actuel président du Club Français de la Cryptomonnaie, ma mission est d'accompagner les entreprises ainsi que les particuliers crypto francophones pour faire de la France la première crypto nation au monde.
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