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L'alternative à Twitter, Mastodon, connaît une véritable ruée d’utilisateurs mensuels actifs : on dit qu’ils ont atteint les 2 millions dernièrement.

L'autorité financière coréenne a lancé une enquête sur les exchanges afin de vérifier si certains d'entre eux inscrivaient eux-mêmes leurs propres pièces. Cette enquête est la conséquence de la faillite de l'exchange FTX. Déjà abordé dans une multitude d'articles, FTX a déposé son bilan aux États-Unis le 11 novembre en laissant plus de 100 000 créanciers lésés. Les clients ont fui l'exchange massivement en raison de doutes quant à la suffisance du capital de FTX.

La communauté crypto ne doit surtout pas se laisser abattre par l’effondrement de FTX, selon Man Group. En tout cas, la société londonienne de gestion de placements alternatifs ne compte pas reculer devant cet obstacle en sachant qu’elle prévoit de lancer un fonds spéculatif crypto d’ici peu. 

Après le dépôt de bilan de FTX, John J. Ray III, le nouveau patron de l’exchange crypto, a promis de faire tout le nécessaire pour collecter le maximum d’actifs, afin de rembourser les utilisateurs et les investisseurs. Il a déjà sécurisé plusieurs millions de dollars de fonds de la plateforme. Il s’est désormais donné pour mission de tirer le maximum de ressources des autres entreprises liées à FTX. D’où le lancement d’une revue complète de l’ensemble des actifs de l’empire de Sam Bankman-Fried.

Rappelez-vous. Au milieu de l’affaire FTX, juste après le dépôt de bilan, plusieurs millions de dollars ont fait l'objet d'un piratage massif. Beaucoup d’encre a coulé concernant cette attaque, qui est l’une des plus importantes de l’histoire des cryptos. Sur les réseaux sociaux, nous avons eu droit à une théorie selon laquelle l’attaque proviendrait de l’intérieur. Les nouveaux responsables de l’exchange avaient promis de faire la lumière sur cette affaire dans les meilleurs délais. 10 jours après, l’équipe du nouveau PDG, John J. Ray III, vient de publier une mise à jour. Décryptage.

Expansion ou migration ? La question se pose après la récente sortie de l’avocat général de Ripple Labs. Stuart Alderoty a déclaré sur CNBC que la société de cryptographie dont il a la responsabilité juridique opérait principalement à l'extérieur des États-Unis. En effet, depuis le conflit opposant Ripple Labs et la Securities and Exchange Commission (SEC), des sanctions ont été prises. Lesdites sanctions interdisent à Ripple d’exercer sur le sol américain, ce qui contraint la plateforme de cryptographie à rechercher de nouvelles parts de marché. 

L’une des préoccupations majeures de l’équipe derrière la blockchain Solana (SOL) est d’apporter des solutions à ses pannes répétitives. Au cours des derniers mois, ces dysfonctionnements se sont multipliés. Au passage, ces pannes ont entaché la réputation du protocole auprès des utilisateurs et de l’ensemble de la communauté crypto. Un casse-tête pour lequel Anatoly Yakovenko, le cofondateur de Solana, a promis d’apporter une solution.

Le bitcoin et les cryptomonnaies font l'objet d'une surveillance sans précédent. Cet intérêt particulier fait suite à l'effondrement de la principale bourse de cryptomonnaies FTX. Les appels à des contrôles réglementaires plus stricts se sont multipliés. Le montant perdu par FTX et sa société sœur Alameda Research atteint des niveaux conséquents. Cette faillite pourrait ainsi menacer le marché crypto dans son ensemble.

La descente aux enfers de l’ex-PDG de FTX continue. L’ancien prodige des cryptos doit faire face à un revers de son avocat. Cette fois-ci, ce sont ses avocats qui claquent la porte. Lassé par ses actions récurrentes qui lui mettent les bâtons dans les roues, Paul Weiss a finalement jeté l’éponge.

C'est officiel, la FED de New York vient de mettre en place un projet pilote de 12 semaines sur la mise en place d’une monnaie numérique. Un projet en collaboration avec des grandes institutions du réseau bancaire. Est-ce que les CBDC peuvent nuire aux cryptomonnaies ? C’est ici que nous allons aborder le sujet.

Quelques jours après l'écroulement spectaculaire de l'exchange crypto FTX, des nouvelles informations continuent de fuser. La dernière en date fait état d'une conversation entre Brad Garlinghouse le patron de Ripple, et Sam Bankman-Fried. Cet échange aurait eu lieu seulement quelques jours avant la déclaration d'insolvabilité de FTX. Cette info refait surface parce que le numéro 1 de ripple se dit à présent prêt à se servir dans les actifs de FTX.

Ça bouge du côté des stablecoins. EMURGO, la branche commerciale de Cardano, nous dévoile la première offre de sa nouvelle gamme de produits Anzens, le stablecoin USDA. Il y a de quoi créer des vagues dans le secteur puisque ce stablecoin est annoncé comme étant le premier du genre 100 % adossé à de la monnaie-fiat et conforme à la réglementation dans l’écosystème Cardano (ADA).

Des représentants de la loi seraient-ils impliqués dans l’affaire FTX ? C’est ce que pense en tout cas l’avocat et partisan du XRP John Deaton. Pour cette raison, Deaton a lancé une pétition qui a déjà recueilli plus de 3 800 signatures. Découvrez le contenu du document.

Après l’annonce du scandale FTX, le Régime de retraite des enseignants de l’Ontario (RREO), troisième plus grand organisme de ce type dans le pays d’Amérique du Nord, a été parmi les tous premiers à monter au créneau pour révéler qu’elle a investi dans l’exchange crypto. Après le dépôt de bilan de FTX, le fonds veut visiblement passer à autre chose. En même temps, son investissement ne représente que 0,05 % de ses actifs sous gestion. Décryptage.

Pour Grayscale, pas question d’adopter une attitude panurgique, pas question de lever la voile sur ses réserves en bitcoins ou en ethers.

Liron Shapira est l’un des cryptosceptiques ayant pris des positions de vente de cryptos, il y a quelque temps. Cet investisseur a récemment rejoint Yahoo Finance Live. Il a alors été interviewé à propos de l’effondrement de FTX. En donnant ses impressions sur la faillite de l’exchange, il a suggéré que ce n’est que le début du déclin des CEX.

Rien ne va plus depuis la faillite qu’a connue FTX, la deuxième plateforme d'échange de cryptomonnaie au monde. En effet, les scandales s'enchaînent et des têtes continuent de tomber. Cette fois-ci, c’est au tour des politiques de monter au créneau afin d’obtenir des réponses et de désigner des coupables. Les républicains accusent les démocrates d’avoir fermé les yeux sur les dérapages de Sam Bankman-Fried et enflamment la polémique.

Sam Bankman-Fried serait en possession de 300 millions de dollars, une somme prélevée à FTX après une levée de fonds réussie en octobre 2021.

L’ancien basketteur professionnel Michael Jeffrey Jordan fait partie des personnalités les plus importantes du monde du sport. Président et actionnaire principal des Charlotte Hornets, il a amassé plus de 93 millions de dollars pendant sa carrière de basketteur. Ensuite, il a réussi à se faire plusieurs millions de dollars grâce à différentes sources de revenus, dont sa marque Jordan. D’ailleurs, cette dernière lui a fait gagner plus de 150 millions de dollars l’année dernière. Cela dit, la légende des Bulls a investi dans les cryptos, il y a quelque temps. Mais, avec la faillite de FTX, il a perdu des millions de dollars.

Abu Dhabi Global Market (ADGM) se dit convaincu par la blockchain et adoptera prochainement la technologie pour ses tribunaux financiers. L’institution a fait l’annonce lors de son intervention à l’Abu Dhabi Finance Week, qui se tient du 14 au 18 novembre.   

Sony est une société multinationale d’origine japonaise qui propose toute sorte d’appareils électroniques et informatiques. L’entreprise intervient notamment dans les secteurs du cinéma, du jeu vidéo, de la musique et de la téléphonie. Elle a connu un grand succès avec ses consoles de jeu PlayStation. Il y a quelque temps, Sony a décidé de proposer un produit à destination des joueurs de jeux vidéo.

La chute des prix des actifs numériques a ébranlé la confiance des investisseurs. Mais si le marché commençait à montrer quelques aspects positifs, les événements entourant FTX ont réduit à néant tous les efforts faits jusqu’ici. Selon Coinbase, le bear market qui sévit actuellement sur les marchés pourrait durer plus longtemps que prévu, puisque les nouvelles ne sont pas rassurantes.

Ripple, l’entreprise de Brad Garlinghouse se porte manifestement bien : son activité ODL, par exemple, détient 90 % de part dans le marché des changes.

Les exchanges se vident. Il ne s’y trouve plus que 2.3 millions de bitcoins.

Aucun mouvement brusque n'a été observé sur l'éther cette semaine. Le prix de cette crypto semble, en effet, suivre une figure de compression. Après la cassure de cette figure, il faudra s'attendre à une semaine volatile. Déjà à -75 % de son sommet historique, l'Ethereum pourrait plonger davantage.

Depuis que la chute sans précédent de FTX est devenue officielle, rien ne va plus pour l’exchange. En effet, aucun jour ne passe plus sans qu’un nouveau dossier sombre ne sorte pour ternir son image. Selon un dernier dossier, il se pourrait que l’entreprise de Bankman-Fried aurait dérobé des fonds de l’exchange pour acheter des maisons aux employés. C’est NECN qui aurait sonné la sonnette d’alarme. Le constat des malversations serait survenu suite au dépôt de bilan de John Ray, le président actuel de la plateforme. Il se pourrait, qu’il y ait plus de problèmes financiers que ce qu’il parait chez FTX, Dans le dossier mis en avant, on insiste sur l’absence d’informations crédibles de la part de l’exchange en difficulté.

L’effondrement de l’exchange FTX a créé une situation d’inconfort pour de nombreuses entreprises crypto. Si certaines comme BlockFi et Genesis pourraient disparaitre, d’autres devraient pouvoir résister à la crise. Ceci, parce qu'elles ont une moindre exposition à FTX. Mais pour elles, il faut prendre des mesures radicales, comme une restructuration budgétaire ou des coupes dans les effectifs. C’est dans cette logique que s’inscrit la société nigériane Nestcoin. C’est l’un des rares acteurs africains de la chaîne de valeur du Web3.

L’effondrement de l’exchange crypto FTX a donné beaucoup d’eau au moulin des détracteurs de la crypto. L’économiste américain Nouriel Roubini est l’un d’entre eux. Ces dernières années, il s’est montré très critique envers l’industrie, indiquant que pour la plupart, il s’agit de systèmes de Ponzi. Récemment, il a eu des propos sévères sur l’autorisation donnée par les autorités d’Abu Dhabi à Binance d'opérer comme fournisseur de services de garde dans la région.