Blockchain Association s'adresse au Congrès. Objet : obliger la SEC à arrêter les attaques contre les sociétés crypto (notamment Kraken).
Blockchain Association s'adresse au Congrès. Objet : obliger la SEC à arrêter les attaques contre les sociétés crypto (notamment Kraken).
Actuellement, il y a des rumeurs selon lesquelles la SEC des États-Unis pense à interdire les services de staking crypto. Un certain nombre de personnalités ont donné leurs avis sur la question. Il y a par exemple le PDG de Coinbase, Brian Armstrong, qui a parlé des récompenses de staking des utilisateurs. Il a expliqué que ces dernières ressemblent beaucoup aux dividendes que perçoivent les détenteurs de tokens de sécurité. Un autre haut cadre dans le secteur crypto a réagi sur la question du staking. Il s’agit du fondateur de Cardano, Charles Hoskinson, qui s’est montré dur avec la blockchain Ethereum.
Comme elle l’avait annoncé à la fin de 2022, la SEC ne laisse plus rien passer dans l’espace crypto. Pour preuve, elle vient de faire arrêter l’un des services phares de l’exchange crypto Kraken. Voici ce qui s’est passé.
Récemment, l’exchange crypto Binance s’est retrouvé mêlé à plusieurs opérations questionnables, suscitant l’inquiétude de plusieurs utilisateurs. L’entreprise communique peu sur les raisons de certains désagréments causés à ces derniers. Une posture qui selon plusieurs analystes pourrait la desservir alors que l’affaire FTX hante encore les esprits.
Pour redorer son blason, la SEC a mis en ligne des informations qui prouvent qu’elle veut s’arroger du statut de régulateur-protecteur des investisseurs cryptos cette année.
Dans un contexte où le marché des cryptos fait face à la pire crise de son histoire, les régulateurs comme la CFTC ou encore la SEC ont une mission fondamentale à accomplir. Celle-ci consiste à jouer de leur influence pour s’assurer de mettre les utilisateurs à l’abri des épisodes de fraudes et malversations similaires à ceux qui ont émaillé le secteur des cryptos en 2022.
C’est toute la communauté crypto qui attend impatiemment l'issue du procès de Ripple contre la SEC. En effet, si le verdict est favorable pour la société de fintech, le prix de sa crypto $XRP va connaître une flambée exceptionnelle. C’est la substance des allégations de Bill Morgan, un expert juridique au sujet de cette affaire. Pour rappel, le conflit entre la Securities and Exchange Commission (SEC) et Ripple est fondé sur des accusations de ventes illicites de titres non enregistrés sous forme de jetons XRP par la société.
Cela fait bientôt deux ans que la compagnie de cryptos, Ripple et la Securities and Exchange Commission (SEC) se livrent une bataille devant les tribunaux. Un procès jugé déterminant pour l’avenir de l’industrie des cryptos, dont la décision finale est attendue. D’ici à ce que la justice tranche, Ripple veut continuer de croire que l'issue du procès lui sera favorable.
Tesla a déposé ce lundi, un rapport auprès de la SEC. Le constructeur de voitures électriques a subi un énorme coup financier dû à la volatilité du Bitcoin. Le rapport indique que Tesla a enregistré une perte nette totale 140 millions de dollars pour ses avoirs en Bitcoin en 2022.
Outre la volatilité des cours, ce qui caractérise l’industrie des cryptos et rebute parfois les novices, c’est la difficulté à déceler les faux projets. Une habileté que les investisseurs chevronnés ont qui est pourtant, au-delà des apparences accessibles à tous. Il existe ainsi des signes permettant à tout investisseur d’éviter de se faire prendre au piège.
Depuis deux ans, la société de Ripple est sous le feu des projecteurs en raison d’un bras de fer avec la SEC. Cette dernière a engagé des poursuites judiciaires à l’encontre de deux dirigeants de Ripple qu’elle accuse de fraudes. Alors que pointe à l’horizon une potentielle défaite pour la SEC qui n’a pu apporter la preuve de ses allégations, les responsables de la société se préparent à rebondir après des mois de bataille juridique. La promotion au poste de présidente d’une des responsables de premier plan de l’entreprise fait partie du plan.
Le procès entre Ripple et la SEC cristallise actuellement toute l'attention de l'industrie cryptographique. Si ce conflit captive autant, c'est aussi parce que derrière cet affrontement se joue peut-être l'avenir de la cryptomonnaie et de sa régulation. Ces dernières heures, il y a une nouvelle mise à jour de l'avancée du conflit entre les deux protagonistes. C'est James K. Filan qui livre des nouveautés en précisant la sortie de "Investment Banker" qui aurait émis une réponse à l'opposition de la plateforme Ripple dans le cadre d'une demande antérieure dont l'objectif était de garder confidentiels son non, son identité, son poste et même son employeur. Apparemment, un salarié de la SEC aurait donc volontairement soumis sa déclaration.
Après l’effondrement de FTX, il y a eu des rumeurs selon lesquelles Gary Gensler a tenu des réunions avec SBF. Le président de la SEC a été alors fortement critiqué. D’aucuns lui ont reproché d’avoir laissé faire Bankman-Fried et manqué de vigilance pour éviter cette chute spectaculaire. Mais, pour la sénatrice Elizabeth Warren, il n’y a pas lieu de critiquer Gensler. Bien au contraire, il faut le féliciter !
Plongeons-nous au cœur de la cause de l’affaire FTX : la défaillance de sa chaîne de contrôle ! Auditeurs, administrateurs, investisseurs, régulateurs... Qui est coupable ?Complice ? Fautif ?
La date du procès Grayscale VS SEC est fixée le 7 mars à 9 h 30. Ce sera un jour particulièrement important pour Bitcoin.
La semaine dernière, Genesis Global a déposé une demande auprès du tribunal des faillites du district sud de New York. Celle-ci mentionnait qu’il voudrait être placé sous la protection de la loi sur les faillites. Suite à ça, le prêteur de cryptos Genesis a dû fournir des documents révélant les noms de ses créanciers. Parmi ces derniers, deux agences gouvernementales américaines figuraient, mais elles auraient été entretemps expurgées de la liste.
John Reed Stark s’insurge contre les « lobbyistes crypto » qui soutiennent que les mesures d’application de la SEC constituent une « réglementation par application ». Découvrez pourquoi cet ancien cadre de la SEC pense qu’il s’agirait d’un slogan bidon pour les grosses entreprises de cryptomonnaies.
Qui de Ripple ou de la Securities and Exchange Commission (SEC) aura le dernier mot dans la bataille juridique qui les oppose en ce moment ? Il est trop tôt pour se prononcer, mais l'avocat John Deaton a une petite idée de ce qui risque de se passer. En effet, pour ce modérateur de près de 75 000 détenteurs de XRP : Ripple tient le bon bout. C'est sans surprise que l'homme de droit vient de publier dans un fil Twitter un sentiment d'optimisme. Car selon lui, les arguments mis en avant jusqu'ici par la SEC semblent un peu loin de la réalité. De plus, jusqu'ici, la SEC ne montre aucune preuve de ses allégations, surtout que le token XRP satisfait aux trois volets du test de Howey.
Le régulateur américain, la U.S. Securities and Exchange Commission (SEC), a décidé de poursuivre Avraham Eisenberg, négociant en finance décentralisée (DeFi). Il est accusé d'avoir asseché la bourse décentralisée Mango Market, basée sur le token Solana. Du côté de la SEC, il ne s'agit pas du premier procès de ce type.
Une nouvelle pas très surprenante : la société de prêt crypto Genesis se prépare à déposer son bilan cette semaine.
« L’assaut réglementaire à l'encontre des sociétés crypto non conformes n’est qu’à son début », dixit un ancien responsable de la SEC.
La SEC vient en effet de commettre une erreur qui pourrait coûter cher à certains mineurs de cryptomonnaies de Green.
Y a-t-il un avenir pour la crypto ? La réponse est NON, selon Jim Cramer. Son message s’adresse surtout aux investisseurs.
Le procès opposant la SEC contre Ripple entre actuellement dans sa troisième année de procédure judiciaire. MoneyGram International Inc a déposé une requête devant la Cour de district sud de New York des Etats-Unis. La société de paiements transfrontaliers, un ancien partenaire de Ripple, entend protéger certaines informations jugées confidentielles.
Depuis la chute de FTX, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis se montre intransigeante avec les acteurs du secteur crypto. Elle vient encore de le prouver en imposant des nouvelles conditions pour valider l’accord qui lie la branche américaine de Binance et Voyager Digital. En effet, le gendarme financier américain souhaite que le premier exchange crypto au monde insère plus de détails dans une opération dont la valeur avoisine les 1,022 milliard de dollars. Ces mesures de précautions trouvent leur justification dans le fait que Voyager Digital est un prêteur de crypto en faillite, alors la SEC ne veut prendre aucun risque de revivre un scénario à la FTX.
Les escroqueries dans le secteur de la blockchain sont de plus en plus courantes. La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a récemment démasqué des fraudeurs. Elle s’apprête à rigoureusement sévir. Voici ce qu’il en est.
Selon Jeremy Hogan, la valeur des XRP de Ripple devrait se stabiliser. La société crypto ne peut plus être poursuivie.
L’affaire Ripple vs SEC n’est pas près de s’arrêter. Aux dernières nouvelles, le régulateur américain veut sceller la retranscription du discours de William Hinman. Elle est actuellement détenue par Ripple qui la considère comme un élément de preuve crucial. La volonté de la SEC de garder ce document évoque-t-elle une réaction de peur ?
La SEC inculpe 8 influenceurs pour manipulation d’actions à hauteur de 100 millions de dollars
Scandale FTX oblige, les autorités des marchés financiers américaines musclent leur jeu. Après les CSA canadiens, la SEC américaine hausse également le ton. Sale temps pour les casin