Salvador

Le Salvador, premier pays à légaliser le bitcoin, déroule enfin le tapis rouge à Binance.

Le bitcoin remonte la pente et propulse les obligations salvadoriennes sur le haut du podium.

Tenu à la gorge par la dette, le Salvador a fait un choix fort en légalisant le bitcoin sur son territoire. L’ambition principale de cette décision est de libérer l’État du poids de la dette qui pèse sur lui. Certains pensent que cet objectif sera atteint d’ici la fin de la décennie.

Depuis qu’il a fait du bitcoin une monnaie officielle sur son territoire, le Salvador se trouve aux prises avec une véritable campagne de méfiance et de surveillance de la part des États-Unis. Sans cacher son profond malaise, le pays de Joe Biden a mis en place un arsenal juridique pour se protéger des répercussions de la décision du gouvernement salvadorien sur le système financier américain. Pourquoi les USA se sentent-ils menacés et quelles mesures ont-ils prises en réponse ? Toutes les réponses dans cet article.

L’Office national du bitcoin (ONBTC), le département du gouvernement salvadorien chargé de la gestion des projets cryptos du pays, a annoncé que le Dr Saifedean Ammous, auteur du livre ‘’The Bitcoin Standard’’, occupe désormais le poste de conseiller économique au Salvador. Pour rappel, le Dr Ammous est l’auteur d’un livre qui porte sur la théorie économique et de l’histoire du bitcoin, la plus grande monnaie numérique du monde.

En raison d’une politique réglementaire particulièrement sévère aux États-Unis, nombre de firmes cryptos ont évoqué des intentions de départ. C’est notamment le cas de Binance ou encore de Coinbase qui a finalement changé d’avis.

Aux États-Unis, les sénateurs viennent de réintroduire un projet de loi permettant de surveiller l’adoption crypto au Salvador.

Le bitcoin est né dans l'un des contextes financiers les plus tumultueux que les États-Unis, voire le monde entier, aient connus. De 2007 à 2009, avec la crise des subprimes, un sentiment de méfiance envers les gouvernements et les banques s'est emparé de la population, l'amenant à remettre en question l'ensemble du système monétaire.

Le Mexique s’apprête-t-il à marcher dans les pas du Salvador ? En attendant, Samson Mow, CEO de la conférence JAN3, a eu l’honneur de s’exprimer devant le parlement mexicain.

Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les dettes souveraines insoutenables, les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Le seul moyen, selon les banques centrales, de sauver ce système moribond est de contrôler toutes les transactions monétaires. D’où les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC). Monnaies numériques manipulables par les banques centrales, elles représentent la pierre angulaire d’un futur dystopique. Le contrôle total de leur circulation va impacter notre liberté financière de manière significative. L’enjeu sociétal est énorme, et les réactions futures promettent d’être vives. Analyse de cet échec prévisible d’une forme de servitude, et des alternatives qui ne manqueront pas d’apparaitre pour y échapper.

Un remake du combat entre Goliath et David ? En tout cas, le petit pays que forme l’Australie a battu les grandes économies asiatiques en matière d’installation d’ATM Bitcoin.

Le bitcoin (BTC) est une révolution technologique qui permet d’avoir une monnaie neutre, incensurable et inarrêtable… ou presque. À condition de ne pas capter plus de la moitié de la puissance de calcul du minage. Ce serait le seul moyen techniquement possible de contrôler le réseau et de censurer des transactions. Ce scénario reste très improbable. Toutefois, 40 % des pools de minage de BTC sont concentrés aux États-Unis depuis l’interdiction, en 2021, du minage en Chine. Le minage de BTC peut-il donc dépendre des États-Unis ? Une attaque à 51% est-elle possible de leur part ou de celle d’autres puissances ? Analysons les conditions d’un éventuel contrôle du minage de BTC par les États-Unis, et toutes les conséquences associées.

Le Salvador mise sur la technologie pour stimuler la croissance et le développement de son économie. Une politique que le pays d’Amérique latine assume pleinement, malgré ses nombreux détracteurs.

Le Salvador a été le premier pays au monde à adopter le bitcoin (BTC) comme monnaie légale. Aussi, cela s’est fait à travers une loi promulguée le 5 juin 2021. Malgré les craintes formulées par de nombreux spécialistes des finances, le pays est resté sur sa position. Récemment, le président salvadorien a révélé que l’adoption de la crypto phare avait eu des conséquences positives sur son pays. À présent, il se fixe comme objectif de faire du Salvador un centre technologique et un hub crypto. Pour atteindre son but, Nayib Bukele veut introduire une nouvelle loi.

Il n’est un secret pour personne que l’écosystème crypto est en plein essor. Depuis l’avènement de cryptomonnaies, le monde de la finance connait d’importantes altérations. Ces nouveaux actifs numériques révolutionnent non seulement le monde de la finance, mais également de nombreux autres secteurs. Il ne se passe plus un seul jour sans que les cryptomonnaies ne fassent les gros titres des journaux. Dans cet article, nous reviendrons sur l’essentiel de l’actualité dans l’univers crypto ces sept derniers jours. 

Alors que le rôle du gouvernement dans la régulation du marché des cryptomonnaies fait encore débat, deux États américains ont pris des mesures importantes pour encourager l'utilisation du bitcoin. Le New Hampshire, comme le Texas, a décidé de prendre la pilule orange. Les États semblent de moins en moins se préoccuper du bear market actuel.

Le Texas fait partie des États américains les plus favorables à la technologie crypto. Il l’a bien démontré en adoptant ces dernières années des lois qui avantagent le secteur. Il a su adapter ses lois commerciales à l’innovation blockchain et à la régulation de la nouvelle industrie. On retrouve au Texas certains des plus grands mineurs de Bitcoin en Amérique du Nord. Plusieurs grandes sociétés de mining, telles que Core Scientific, Riot Blockchain et Genesis Digital Assets, y opèrent. À présent, le Salvador décide d’étendre sa stratégie Bitcoin en installant une ambassade dans le vaste État du sud des États-Unis.

La décision du Salvador de faire du bitcoin une monnaie légale fait encore couler beaucoup d’encre et de salive. Ce choix a fait l’objet de critiques diverses de la part de nombreux spécialistes des finances. Ceux-ci prédisaient notamment l’effondrement économique de ce petit État d’Amérique centrale. Ce n’est pas ce qui se passe.

Quant au bitcoin, le président Naiyb Bukele reste confiant, et le peuple salvadorien se joint progressivement à sa vision.

Le royaume polynésien des Tonga fera-t-il du bitcoin une monnaie légale et officielle avant la fin de cette année ? C’est en tout cas ce qu’a fait savoir Lord Fusitu’a. La nation insulaire du pacifique sud des Tonga pourrait instaurer le bitcoin (BTC) comme monnaie légale d'ici le deuxième trimestre 2023. Il pourrait également procéder à l'exploitation minière de bitcoins grâce à l'énergie géothermique dès le troisième trimestre de cette même année.

Le Salvador marque sans doute l’histoire de l’industrie des cryptos. Récemment, le pays d’Amérique centrale a adopté une loi inédite pour non seulement soutenir le développement de Bitcoin (BTC), mais aussi pour éponger sa dette souveraine. Un choix qui ne fait pas l’unanimité dans le pays. Une nouvelle fois, le président salvadorien Nayib Bukele monte au créneau pour faire taire les critiques.

Nayib Bukele le confirme : El Salvador s’est acquitté de 800 millions de dollars de dettes, les intérêts compris.

Le Salvador a adopté une loi historique qui établit les bases juridiques d'une obligation adossée à des bitcoins. Baptisée « obligation volcanique », elle servira à rembourser la dette du pays et à financer le développement de la « Bitcoin City ». Avec 62 voix pour et 16 voix contre, le projet de loi a été adopté le 11 janvier et devrait être promulgué par le président Bukele.

Le prochain Bitcoin Beach aura lieu le 30 janvier 2023 à El Zonte, El Salvador. Un évènement crypto à ne surtout pas manquer !

Il y a peu, El Salvador devenait le 4e plus grand centre de guichets automatiques de crypto au monde. Une position assez intéressante qui finalement n’aura pas fait long feu, puisque l’Australie vient de s’en emparer. Une fois le bon d’El Salvador enclenché en 2021, l’Australie a continué de multiplier ses activités durant ce temps pour enfin passer devant le premier pays à légaliser le Bitcoin comme monnaie officielle.

Le rapport entre l’utilité sociale du bitcoin et l'empreinte écologique du minage a souvent fait jaser. Ce débat a longtemps relégué le côté disruptif de cette révolution technologique à son impact écologique, souvent exagéré. La loi Mica, visant à interdire le Proof-of-Work dans l’Union Européenne, en est un parfait exemple. C’est oublier un peu vite la vitesse à laquelle le bitcoin opère, malgré toutes ces critiques, sa transition écologique. En effet, il incite d’une part à ne pas consommer ou reporter sa consommation, en qualité de réserve de valeur. D’autre part, la part de consommation d’énergie renouvelable ne cesse d’augmenter au fil des années. Elle tend surtout à réduire progressivement l’inefficience de l’exploitation des énergies renouvelables, afin d’être plus rentable. Le minage de bitcoins représente ainsi une véritable batterie énergétique dans de nombreux pays, contribuant ainsi à leur développement économique.

Le Salvador a légalisé le bitcoin (BTC) comme monnaie officielle, il y a déjà un an. Mais, l’adoption de la crypto phare ne se passe pas aussi bien que prévu dans le pays. Le gouvernement salvadorien a donc décidé de mettre en place des mesures pour favoriser une plus grande adoption du bitcoin.

La ruine du Salvador faisait partie des prévisions des élites et des institutions financières mondiales après sa légalisation du bitcoin en septembre 2021. Or, jusqu’à présent, l’équipe de Nayib Bukele a pu prouver que ce choix judicieux lui fait monter progressivement la pente. La preuve : le pays est à même d’honorer ses dettes et s’offre même quelque 300 millions de dollars d’économies sur le rachat de ses obligations.