Les hackers sont parmi les plus actifs du marché des cryptos. Régulièrement, cette industrie est témoin de leurs actes de bassesse. Parfois, ce sont leurs actes de prouesses, voire de noblesse qui sont mis au jour.
Les hackers sont parmi les plus actifs du marché des cryptos. Régulièrement, cette industrie est témoin de leurs actes de bassesse. Parfois, ce sont leurs actes de prouesses, voire de noblesse qui sont mis au jour.
L’industrie du mining russe continue de grandir. Emmenée par BitRiver, la Russie se hisse désormais dans le top 3 mondial.
Russie : plutôt rallier avec d’autres pays que de se confronter toute seule contre les États-Unis ?
En Russie, la Banque centrale envisage d'utiliser la crypto pour les règlements internationaux et de légaliser les exchanges.
Lentement, mais sûrement, la Russie se taille la part du lion dans le mining de cryptomonnaies.
Le bitcoin (BTC) est une révolution technologique qui permet d’avoir une monnaie neutre, incensurable et inarrêtable… ou presque. À condition de ne pas capter plus de la moitié de la puissance de calcul du minage. Ce serait le seul moyen techniquement possible de contrôler le réseau et de censurer des transactions. Ce scénario reste très improbable. Toutefois, 40 % des pools de minage de BTC sont concentrés aux États-Unis depuis l’interdiction, en 2021, du minage en Chine. Le minage de BTC peut-il donc dépendre des États-Unis ? Une attaque à 51% est-elle possible de leur part ou de celle d’autres puissances ? Analysons les conditions d’un éventuel contrôle du minage de BTC par les États-Unis, et toutes les conséquences associées.
Alors que la Fed rehausse les taux pour tenter d’endiguer l’inflation, le cartel des pays producteurs de pétrole vient jouer les trouble-fêtes.
Les États-Unis commencent à s’affoler de voir le reste du monde s’écarter du dollar. La guerre proxy en Ukraine et les tensions avec la Chine se muent en fronde globale contre le billet vert.
La dédollarisation accélère. L'émancipation des nations sur le plan monétaire est de très bon augure pour le Bitcoin.
Les membres de l’association russe de l’industrie crypto ont récemment adressé une lettre au chef de l’État de la Russie. Il faut noter que cette organisation, appelée Racib, prend en compte la crypto-économie, la blockchain et l’intelligence artificielle. Dans sa lettre, elle a évoqué l’attitude du gouvernement russe par rapport à la réglementation du secteur des cryptos. Découvrez le contenu de la lettre de l’association russe de l’industrie crypto.
L’Iran continue sa lancée dans l’univers crypto. La phase prépilote de la CBDC d’Iran s’achève avec un franc succès.
La Russie étudie depuis plusieurs mois les moyens de réduire sa dépendance à l'égard du dollar américain et des systèmes financiers traditionnels. Ceci, en raison des sanctions imposées par les pays occidentaux, en réponse à son invasion de l'Ukraine, en février 2022. Depuis lors, les autorités travaillent d’arrache-pied pour favoriser le développement et l’adoption de technologies blockchain et de crypto paiements, afin de contourner les restrictions. Un pas de géant vient d’être fait dans ce sens.
Le projet d’émission d’une monnaie numérique de banque centrale CBDC ne fait pas l’unanimité dans le pays. Cependant, l’administration Biden attend bien mener le projet à bon port quoi qu’il en coute. Dans une audition sénatoriale, un ancien conseiller du président américain a déclaré qu'il travaillait à cette fin. Selon lui, l’objectif est d’évincer les cryptomonnaies, car celles-ci aident les adversaires de la sécurité nationale des États-Unis à contourner les sanctions.
Les Russes continuent de se servir des cryptomonnaies pour ne pas subir de plein fouet les sanctions occidentales.
Selon le vice-ministre ukrainien du Numérique Alex Bornyakov, 60 % des fournisseurs d’armes et d’équipements pour l’Ukraine acceptent les cryptomonnaies.
C’est une scène digne d’un incident diplomatique qui implique quatre pays qui ne sont trop amis. Il s’agit de Christorpher Douglas Emms, un ressortissant britannique recherché avec une notice rouge d'Interpol pour avoir conseillé la Corée du Nord sur les cryptomonnaies. Il a été arrêté à Moscou sur demande du gouvernement des États-Unis.
Avec la vague de sanctions qui se sont abattues sur la Russie au cours des derniers mois, l’appréhension des autorités vis-à-vis des cryptos a changé. Depuis quelques semaines en effet, on voit la Russie accorder une place de plus en plus importante à cette industrie. Cette dynamique devrait d’ailleurs s’accroître vu l’intérêt particulier que le pays accorde à la monnaie numérique de banque centrale (CBDC).
Derrière le brouillard de guerre ukrainien se joue la domination occidentale maintenue grâce au dollar et le réseau SWIFT. Et en attendant l'avènement du Bitcoin, les fissures dans le système du pétrodollar s’épaississent de jour en jour.
La Russie est prête à autoriser le mining de crypto. Mais pas que ! Elle accordera des incitations fiscales aux mineurs de Sibérie.
Alfa-Bank, une importante banque de Russie, crée sa plateforme d’actifs numériques. Elle vient d'obtenir l’autorisation de la Banque Centrale.
L’intérêt de la Russie pour le minage des cryptos s’est significativement accru ces derniers mois. L’activité jusqu’à récemment, interdite, a rencontré les faveurs des autorités. En octobre, un expert russe des cryptos avait signalé que ces dernières devraient autoriser le minage de cryptos dans certaines régions du pays jugées potentiellement propices à cette opération.
Sberbank, la plus grande banque de Russie, travaille depuis quelque temps sur un projet DeFi. Il s’agit du développement d’une plateforme de finance décentralisée. Actuellement, la banque russe se prépare activement à tester le nouvel outil DeFi. Aussi, elle a décidé de se tourner vers la blockchain Ethereum pour effectuer les tests appropriés dans quelques mois.
L’office of Foreign Assets Control (OFAC) a mis sur liste noire, une adresse Bitcoin et une adresse Ether liées à des tentatives russes d’évasion des sanctions. Cet organisme de surveillance a déclaré que ces adresses sont liées à un intermédiaire russe chargé des exportations d’armes. Cette situation témoigne du rôle essentiel des crypto dans l’élaboration de la guerre moderne.
L'Europe s'enfonce dans une guerre pour le compte d'un empire américain qui refuse le nouveau Bretton Woods. En attendant, le bitcoin ronge son frein.
Ce qui est en jeu en Ukraine, c'est le privilège exorbitant du dollar. Une défaite se soldera par la décomposition de l'Empire US.
Le CEO du sulfureux crypto exchange Bitzlato, Anatoly Legkodymov, arrêté aux États-Unis. Après une année de scams, une année d'arrestations ?
Les stablecoins ont fortement gagné en popularité ces dernières semaines. En décembre 2022, cette crypto totalisait à elle seule près de 80 % du volume total des transactions réalisées sur le marché des cryptos. Si les stablecoins prennent de l’ampleur, c’est parce qu’ils offrent certaines garanties aux utilisateurs. Nombreux sont les pays qui y voient le moyen idéal de pénétrer l’industrie des cryptos sans s’exposer à l’extrême volatilité qui la caractérise.
La Banque centrale d'Iran coopère avec le gouvernement russe en vue de créer conjointement un stablecoin adossé à l'or.
La Banque Centrale de Russie propose à ses partenaires des solutions de paiements en Rouble numérique ou autres CBDC dans le cadre du commerce international.
2023 s’annonce aussi mouvementé que 2022. Les tensions géopolitiques vont se renforcer et offrir un terrain fertile pour le Bitcoin.