L’Iran continue sa lancée dans l’univers crypto. La phase prépilote de la CBDC d’Iran s’achève avec un franc succès.
L’Iran continue sa lancée dans l’univers crypto. La phase prépilote de la CBDC d’Iran s’achève avec un franc succès.
La Russie étudie depuis plusieurs mois les moyens de réduire sa dépendance à l'égard du dollar américain et des systèmes financiers traditionnels. Ceci, en raison des sanctions imposées par les pays occidentaux, en réponse à son invasion de l'Ukraine, en février 2022. Depuis lors, les autorités travaillent d’arrache-pied pour favoriser le développement et l’adoption de technologies blockchain et de crypto paiements, afin de contourner les restrictions. Un pas de géant vient d’être fait dans ce sens.
Le projet d’émission d’une monnaie numérique de banque centrale CBDC ne fait pas l’unanimité dans le pays. Cependant, l’administration Biden attend bien mener le projet à bon port quoi qu’il en coute. Dans une audition sénatoriale, un ancien conseiller du président américain a déclaré qu'il travaillait à cette fin. Selon lui, l’objectif est d’évincer les cryptomonnaies, car celles-ci aident les adversaires de la sécurité nationale des États-Unis à contourner les sanctions.
Les Russes continuent de se servir des cryptomonnaies pour ne pas subir de plein fouet les sanctions occidentales.
Selon le vice-ministre ukrainien du Numérique Alex Bornyakov, 60 % des fournisseurs d’armes et d’équipements pour l’Ukraine acceptent les cryptomonnaies.
C’est une scène digne d’un incident diplomatique qui implique quatre pays qui ne sont trop amis. Il s’agit de Christorpher Douglas Emms, un ressortissant britannique recherché avec une notice rouge d'Interpol pour avoir conseillé la Corée du Nord sur les cryptomonnaies. Il a été arrêté à Moscou sur demande du gouvernement des États-Unis.
Avec la vague de sanctions qui se sont abattues sur la Russie au cours des derniers mois, l’appréhension des autorités vis-à-vis des cryptos a changé. Depuis quelques semaines en effet, on voit la Russie accorder une place de plus en plus importante à cette industrie. Cette dynamique devrait d’ailleurs s’accroître vu l’intérêt particulier que le pays accorde à la monnaie numérique de banque centrale (CBDC).
Derrière le brouillard de guerre ukrainien se joue la domination occidentale maintenue grâce au dollar et le réseau SWIFT. Et en attendant l'avènement du Bitcoin, les fissures dans le système du pétrodollar s’épaississent de jour en jour.
La Russie est prête à autoriser le mining de crypto. Mais pas que ! Elle accordera des incitations fiscales aux mineurs de Sibérie.
Alfa-Bank, une importante banque de Russie, crée sa plateforme d’actifs numériques. Elle vient d'obtenir l’autorisation de la Banque Centrale.
L’intérêt de la Russie pour le minage des cryptos s’est significativement accru ces derniers mois. L’activité jusqu’à récemment, interdite, a rencontré les faveurs des autorités. En octobre, un expert russe des cryptos avait signalé que ces dernières devraient autoriser le minage de cryptos dans certaines régions du pays jugées potentiellement propices à cette opération.
Sberbank, la plus grande banque de Russie, travaille depuis quelque temps sur un projet DeFi. Il s’agit du développement d’une plateforme de finance décentralisée. Actuellement, la banque russe se prépare activement à tester le nouvel outil DeFi. Aussi, elle a décidé de se tourner vers la blockchain Ethereum pour effectuer les tests appropriés dans quelques mois.
L’office of Foreign Assets Control (OFAC) a mis sur liste noire, une adresse Bitcoin et une adresse Ether liées à des tentatives russes d’évasion des sanctions. Cet organisme de surveillance a déclaré que ces adresses sont liées à un intermédiaire russe chargé des exportations d’armes. Cette situation témoigne du rôle essentiel des crypto dans l’élaboration de la guerre moderne.
L'Europe s'enfonce dans une guerre pour le compte d'un empire américain qui refuse le nouveau Bretton Woods. En attendant, le bitcoin ronge son frein.
Ce qui est en jeu en Ukraine, c'est le privilège exorbitant du dollar. Une défaite se soldera par la décomposition de l'Empire US.
Le CEO du sulfureux crypto exchange Bitzlato, Anatoly Legkodymov, arrêté aux États-Unis. Après une année de scams, une année d'arrestations ?
Les stablecoins ont fortement gagné en popularité ces dernières semaines. En décembre 2022, cette crypto totalisait à elle seule près de 80 % du volume total des transactions réalisées sur le marché des cryptos. Si les stablecoins prennent de l’ampleur, c’est parce qu’ils offrent certaines garanties aux utilisateurs. Nombreux sont les pays qui y voient le moyen idéal de pénétrer l’industrie des cryptos sans s’exposer à l’extrême volatilité qui la caractérise.
La Banque centrale d'Iran coopère avec le gouvernement russe en vue de créer conjointement un stablecoin adossé à l'or.
La Banque Centrale de Russie propose à ses partenaires des solutions de paiements en Rouble numérique ou autres CBDC dans le cadre du commerce international.
2023 s’annonce aussi mouvementé que 2022. Les tensions géopolitiques vont se renforcer et offrir un terrain fertile pour le Bitcoin.
Le 26 décembre, Sberbank s’est félicité d’avoir réussi sa première émission d’actifs financiers numériques (DFA) adossés à l’or.
Anatoly Aksakov, président de la commission des finances de la Douma, a déclaré que la Russie compte légaliser le bitcoin et les autres cryptomonnaies pour le commerce international d’ici janvier 2023.
La guerre russo-ukrainienne continue de faire des dégâts. Alex Holden, un expert ukrainien en cyberespionnage rend service à son pays. Avec son équipe de Hold Security, ils réussissent à pirater un des plus grands marchés de la drogue en ligne de Russie appelé Solaris. En jouant au Robin des Bois du dark web, Holden versera les cryptos qu’il réussit à détourner à une organisation caritative. Il s’agit d’ Enjoying Life, une organisation qui fournit une aide humanitaire en Ukraine.
Après l’Iran, la Russie s’apprête aussi à se servir du Bitcoin pour ses échanges internationaux. Devenu officiellement une monnaie grâce au Salvador, le Bitcoin est-il en route pour devenir une monnaie de réserve internationale ? La monnaie est une arme Le monde a découvert que l’Occident pouvait ravir les réserves de…
Cofondateur de la société crypto Libertex, Vyacheslav Taran était un homme d’affaires russe. L’entrepreneur opérait depuis quelque temps dans le secteur de la blockchain. L’investisseur crypto est décédé le 25 novembre passé, à l’âge de 53 ans. Le décès est survenu suite à un accident d’hélicoptère près de son domicile se trouvant dans le sud-est de la France. Divers médias ont affirmé que la disparition de l’homme d’affaires russe serait liée à ses liens avec le Kremlin. Pour d’autres, des magnats de la crypto auraient comploté pour éliminer l’entrepreneur. Face à toutes ces spéculations, la famille du défunt a décidé de mettre les choses au clair.
Le ministère russe de l'Intérieur utiliserait désormais un outil pour identifier les propriétaires de portefeuilles de cryptomonnaies. De cette manière, le ministère est en capacité de suivre les transactions. Le logiciel dispose également d'une fonctionnalité facilitant le suivi des transactions de crypto actifs selon le ministère aux médias russes.
La plus grande banque de Russie franchit un nouveau cap dans son adoption de la technologie blockchain. Après le lancement de son stablecoin, la Sberbank annonce la prise en charge du wallet crypto Metamask. L’annonce signale également de nouvelles opportunités pour la blockchain propriétaire.
Le 26 février 2022, deux jours après le début de l’invasion russe en Ukraine, le paquet de sanctions des pays occidentaux a prévu l’exclusion de certaines banques russes du réseau mondial de messagerie de paiement SWIFT. Une sanction qui implique que les transactions bancaires entre la Russie et les pays membres du réseau deviendront impossibles. Mais elle n’affectera pas beaucoup les échanges de la Russie avec ses partenaires économiques. En 2014, alors que la tension autour de l’annexion de la Crimée était vive et que la Russie avait été bombardée de sanctions, Moscou a mis en place le système de transfert de messages financiers (SPFS). C’est un équivalent du réseau SWIFT, qui compte 70 organisations dans une douzaine de pays. On apprend que les cryptos, notamment le bitcoin (BTC) servent aussi dans les paiements du Kremlin. Pour contourner définitivement le SWIFT, Vladimir Poutine a une idée.
Dans le cadre du lancement d’une bourse crypto nationale, les législateurs russes travaillent sur des amendements à une législation existante. Il semble que la Russie s'ouvre de plus en plus aux cryptos.
Le manque d’argent se fait ressentir à travers le monde. Face aux problèmes croissants, la Banque centrale de Russie revoit ses priorités concernant les cryptos. Si jusqu’ici les actifs numériques n’ont pas toujours fait l’unanimité, la Russie voit les choses différemment et pense qu’ils pourraient relever une économie en difficulté.