Neuf pays emmenés par l'Iran lancent une alternative au réseau SWIFT. Parallèlement, les BRICS et une dizaine d'autres pays discutent d'une nouvelle monnaie à Cape town.
Neuf pays emmenés par l'Iran lancent une alternative au réseau SWIFT. Parallèlement, les BRICS et une dizaine d'autres pays discutent d'une nouvelle monnaie à Cape town.
Les actifs financiers numériques (DFA) constituent l’alternative trouvée par la Russie pour contourner les sanctions occidentales. En décembre dernier, la Sberbank se félicitait justement du succès de sa première émission de DFA adossés à l’or. Une dynamique que le Kremlin veut maintenir et la soutenir.
Après l’Iran, ce sera bientôt au tour de la Russie d'utiliser le bitcoin pour contourner les sanctions et réaliser des transactions internationales.
Après avoir affiché des positions mitigées, le gouvernement russe a décidé d’abandonner son plan de création d’un exchange crypto unique, appartenant au pouvoir public. Désormais, il décide de se concentrer sur le vote de lois et l’établissement de lignes directrices pour les sociétés privées évoluant dans l’univers des cryptomonnaies.
Les tensions internationales sont du pain béni pour le Bitcoin. Il est une solution clé en main pour contourner les sanctions financières et maintenir le lien entre les nations.
Accusé de blanchiment d’argent, Alexander Vinnik envisage sa libération via un éventuel échange de prisonniers.
« SWIFT : les banques en Russie toujours exclues, l'UE maintient sa position ». Tel est le message du porte-parole de l’UE.
Vladimir Poutine s’est exprimé en faveur d’un système financier « décentralisé » à l’occasion du Forum de l’Union économique eurasiatique qui se déroulait à Moscou.
Dans l’arène financière, les cryptomonnaies et, en particulier, les stablecoins, sont une force à considérer. Les projets récents de la Commission européenne pourraient changer la donne, en rendant les stablecoins plus accessibles pour les banques commerciales de l’Union européenne (UE). Il s’agit d’une nouvelle direction qui adoucirait la position actuelle…
Les États-Unis pourraient-ils perdre leur avantage concurrentiel dans le domaine des cryptomonnaies ? La Chamber of Digital Commerce met en garde contre le retard des États-Unis en matière de réglementation des cryptos. Face aux actions agressives des pays « adverses », un appel urgent est lancé au Congrès pour adopter un cadre juridique clair.
Il ne sera pas si facile de se débarrasser du dollar. La Russie commence déjà à bouder la roupie indienne pour le paiement de son pétrole.
La Russie occupera jusqu'à 18 % du hashrate mondial de bitcoin si les mineurs de cryptomonnaies migrent à nouveau, selon les experts.
Voudrait-on décapiter le géant des cryptomonnaies Binance ?
Les hackers sont parmi les plus actifs du marché des cryptos. Régulièrement, cette industrie est témoin de leurs actes de bassesse. Parfois, ce sont leurs actes de prouesses, voire de noblesse qui sont mis au jour.
L’industrie du mining russe continue de grandir. Emmenée par BitRiver, la Russie se hisse désormais dans le top 3 mondial.
Russie : plutôt rallier avec d’autres pays que de se confronter toute seule contre les États-Unis ?
En Russie, la Banque centrale envisage d'utiliser la crypto pour les règlements internationaux et de légaliser les exchanges.
Lentement, mais sûrement, la Russie se taille la part du lion dans le mining de cryptomonnaies.
Le bitcoin (BTC) est une révolution technologique qui permet d’avoir une monnaie neutre, incensurable et inarrêtable… ou presque. À condition de ne pas capter plus de la moitié de la puissance de calcul du minage. Ce serait le seul moyen techniquement possible de contrôler le réseau et de censurer des transactions. Ce scénario reste très improbable. Toutefois, 40 % des pools de minage de BTC sont concentrés aux États-Unis depuis l’interdiction, en 2021, du minage en Chine. Le minage de BTC peut-il donc dépendre des États-Unis ? Une attaque à 51% est-elle possible de leur part ou de celle d’autres puissances ? Analysons les conditions d’un éventuel contrôle du minage de BTC par les États-Unis, et toutes les conséquences associées.
Alors que la Fed rehausse les taux pour tenter d’endiguer l’inflation, le cartel des pays producteurs de pétrole vient jouer les trouble-fêtes.
Les États-Unis commencent à s’affoler de voir le reste du monde s’écarter du dollar. La guerre proxy en Ukraine et les tensions avec la Chine se muent en fronde globale contre le billet vert.
La dédollarisation accélère. L'émancipation des nations sur le plan monétaire est de très bon augure pour le Bitcoin.
Les membres de l’association russe de l’industrie crypto ont récemment adressé une lettre au chef de l’État de la Russie. Il faut noter que cette organisation, appelée Racib, prend en compte la crypto-économie, la blockchain et l’intelligence artificielle. Dans sa lettre, elle a évoqué l’attitude du gouvernement russe par rapport à la réglementation du secteur des cryptos. Découvrez le contenu de la lettre de l’association russe de l’industrie crypto.
L’Iran continue sa lancée dans l’univers crypto. La phase prépilote de la CBDC d’Iran s’achève avec un franc succès.
La Russie étudie depuis plusieurs mois les moyens de réduire sa dépendance à l'égard du dollar américain et des systèmes financiers traditionnels. Ceci, en raison des sanctions imposées par les pays occidentaux, en réponse à son invasion de l'Ukraine, en février 2022. Depuis lors, les autorités travaillent d’arrache-pied pour favoriser le développement et l’adoption de technologies blockchain et de crypto paiements, afin de contourner les restrictions. Un pas de géant vient d’être fait dans ce sens.
Le projet d’émission d’une monnaie numérique de banque centrale CBDC ne fait pas l’unanimité dans le pays. Cependant, l’administration Biden attend bien mener le projet à bon port quoi qu’il en coute. Dans une audition sénatoriale, un ancien conseiller du président américain a déclaré qu'il travaillait à cette fin. Selon lui, l’objectif est d’évincer les cryptomonnaies, car celles-ci aident les adversaires de la sécurité nationale des États-Unis à contourner les sanctions.
Les Russes continuent de se servir des cryptomonnaies pour ne pas subir de plein fouet les sanctions occidentales.
Selon le vice-ministre ukrainien du Numérique Alex Bornyakov, 60 % des fournisseurs d’armes et d’équipements pour l’Ukraine acceptent les cryptomonnaies.
C’est une scène digne d’un incident diplomatique qui implique quatre pays qui ne sont trop amis. Il s’agit de Christorpher Douglas Emms, un ressortissant britannique recherché avec une notice rouge d'Interpol pour avoir conseillé la Corée du Nord sur les cryptomonnaies. Il a été arrêté à Moscou sur demande du gouvernement des États-Unis.
Avec la vague de sanctions qui se sont abattues sur la Russie au cours des derniers mois, l’appréhension des autorités vis-à-vis des cryptos a changé. Depuis quelques semaines en effet, on voit la Russie accorder une place de plus en plus importante à cette industrie. Cette dynamique devrait d’ailleurs s’accroître vu l’intérêt particulier que le pays accorde à la monnaie numérique de banque centrale (CBDC).