L'avocat Jeremy Hogan s'exprime à nouveau sur le procès SEC/Ripple.
L'avocat Jeremy Hogan s'exprime à nouveau sur le procès SEC/Ripple.
Soit la TradFi est au bord du gouffre, soit Adrienne Harris, du NYDFS, tente de calmer les esprits crypto.
Un groupe de plaignants soutenu par Coinbase mène une bataille juridique contre le gouvernement américain. Le but est de mettre fin aux sanctions imposées en aout 2022 au protocole Tornado Cash. Ces dernières interdisent aux citoyens et aux entreprises américaines d’utiliser le mixeur de cryptomonnaies.
Dubaï renforce les règlementations pour les demandeurs de licence de cryptomonnaies, mettant Binance sous pression. Les régulateurs émiratis ont exigé des informations supplémentaires sur la propriété, la gestion et l'audit de Binance et d'autres entreprises. L'autorité de régulation des actifs virtuels de Dubaï (VARA) veille à la conformité aux normes réglementaires les plus strictes.
Les législateurs et la SEC semblent avoir du mal à se mettre d'accord sur la réglementation crypto américaine.
Récemment, durant une interview, la sénatrice américaine Elizabeth Warren a cité les problèmes du secteur bancaire aux États-Unis. Elle a mentionné notamment les frais élevés, la lenteur dans les transactions et le manque de transparence. Pour la sénatrice américaine, il y a bien une solution pour résoudre ces problèmes. Mais, il ne s’agit certainement pas des cryptos. Elizabeth Warren invite plutôt à se tourner vers les CBDC soutenues par le gouvernement.
Il est rare de voir une entreprise du secteur des crypto-monnaies résister aux pressions des régulateurs. Pourtant, Binance a réussi à le faire...jusqu'à récemment. En effet, selon la plateforme d'analyse blockchain Kaiko, la part de marché de Binance a commencé à décliner de manière significative. Cette chute pourrait être liée à la décision de mettre fin aux échanges à frais zéro pour certaines paires de négociation, plutôt qu'au procès intenté par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC).
Mike McGlone s’est entretenu avec Dave Weisberger et Scott Melker à propos du bitcoin (BTC), ce 3 avril. Durant l’interview, l’analyste crypto a décrit Bitcoin comme un actif fort qui ne cédera pas face aux pressions réglementaires. Il a fait l’éloge de la crypto phare et a suggéré qu’elle est plus fiable que plusieurs autres actifs numériques.
Deux cabinets d’avocats ont collaboré pour déposer un recours collectif dans la soirée du 31 mars. Il s’agit de Moskowitz Law Firm et de Boies Schiller Flexner. L’action collective a été intentée contre Binance, CZ et plusieurs influenceurs crypto. La plainte a été déposée dans le district sud de la Floride. Les deux cabinets ont précédemment mené une action similaire contre Voyager avant sa faillite.
La complexité de la réglementation crypto est un vrai casse-tête pour les entreprises du secteur aux États-Unis. Les régulateurs américains ont durci leur position à l'égard des Exchanges, qui se retrouvent désormais pris au piège. Face à cette situation, certaines bourses américaines, telles que Bittrex, sont contraintes de lever l'ancre et de partir chercher des cieux plus cléments.
Pour le moment, 4 exchanges crypto vont devoir régler leur compte auprès de la FSA du Japon. Assurément, d’autres sociétés vont suivre.
Au Royaume-Uni, les sociétés crypto peinent à accéder aux différents services bancaires. Résultat : les sociétés crypto portent plaintent.
La victoire de Ripple contre la SEC est imminente et le verdict sera connu dans 2 mois maximun.
La sénatrice du Massachusetts Elizabeth Warren ne manque pas d’occasion de critiquer les cryptos de manière virulente. Elle a fait une déclaration sur le sujet dans un article d’opinion du Wall Street Journal, après l’effondrement de FTX. Elle a indiqué que la nouvelle classe d’actifs risque de ruiner l’économie américaine. Aujourd’hui, Elizabeth Warren a décidé de mettre en avant un programme anti-crypto dans le cadre de sa campagne de réélection. Mais, il semble que cela ne lui soit pas très avantageux.
Hong Kong vise à devenir une plaque tournante du Web3 et des cryptos, et il semble sur le bon chemin. Il faut dire que malgré sa position anti-crypto, la Chine reconnaît que le Web3 pourrait stimuler son économie numérique. Dans ce contexte, il y a des rumeurs selon lesquelles certains fonctionnaires chinois participent aux événements cryptos de Hong Kong. Parallèlement, les banques d’État chinoises offrent désormais des services aux entreprises crypto locales. Pour la directrice de l’organisme de régulation de Hong Kong, il ne manque plus qu’une chose : protéger les investisseurs. Pour ce faire, voici ce que Julia Leung propose.
La croissance exponentielle des cryptomonnaies ces dernières années a suscité l'intérêt des investisseurs et des régulateurs financiers du monde entier. Ces derniers mois, le secteur des cryptomonnaies aux États-Unis a fait l'objet d'une répression réglementaire importante. Cela suscite des inquiétudes quant au traitement inéquitable de ce secteur en plein essor. Cependant, Sean Lee, conseiller du Crypto Council for Innovation, estime qu'un traitement équitable des cryptomonnaies aux États-Unis est possible, bien que difficile à obtenir.
Gemini, la bourse de cryptomonnaies fondée par les frères Winklevoss, ne se laisse pas décourager par les obstacles réglementaires. Alors que les régulateurs américains intensifient leur surveillance sur les bourses de cryptomonnaies, Gemini annonce le lancement de contrats à terme perpétuels pour les clients internationaux. Cette décision intervient dans un contexte où l'entreprise est sous le coup d'une enquête de la SEC.
La question du potentiel rôle de l’industrie crypto dans l’effondrement bancaire récent fait polémique. Certains responsables américains ont des avis bien tranchés. Pour d’autres, la réponse n’est pas aussi évidente.
Elizabeth Warren, la sénatrice de l'État de Massachusetts, n'a pas abandonné sa bataille contre les cryptomonnaies. Après l'échec de sa proposition de loi de décembre dernier, elle revient à la charge avec un nouveau projet de loi visant à interdire purement et simplement l'utilisation des wallets à chaud, sous prétexte de lutter contre le blanchiment d'argent.
Depuis maintenant deux ans, les entreprises crypto aux États-Unis font face à une lutte acharnée menée par la SEC. Dans sa volonté de réglementer les marchés financiers, la SEC a mis en place plusieurs règles strictes, parfois malvenues, qui ont contraint certaines entreprises à suspendre leurs activités, tandis que d'autres envisagent sérieusement l'exil fiscal. Cette frénésie réglementaire soulève des questions légitimes : quelles sont les véritables intentions de la SEC envers les cryptomonnaies ? Pourquoi une telle obsession sur ce secteur en particulier ?
Partout dans le monde, les investisseurs utilisent le P2P pour échanger directement des cryptos, sans passer par un tiers de confiance. Ils échangent leurs cryptos contre d’autres tokens ou contre de l’espèce. C’est ainsi que le P2P a permis aux investisseurs nigérians de continuer à utiliser les cryptos malgré les restrictions de la CBN. En effet, la Banque centrale du Nigéria a annoncé une réglementation en 2021 qui empêchait les institutions financières d’offrir des services crypto. À présent, elle décide de signaler les comptes bancaires des investisseurs crypto en P2P.
Depuis quelque temps, la Chine contredit son interdiction des cryptos en s’impliquant activement dans le développement du secteur. Selon le PDG de Galaxy Digital, le fait que le pays soit moins hostile pourrait considérablement avantager l’industrie. Mike Novogratz a précisé les effets que cela pourrait avoir précisément sur le bitcoin (BTC).
Le Bitcoin est en train de sortir de sa période de stagnation et retrouve sa dynamique sur le marché. De nombreux analystes ont prédit un « bull run » prochainement. La dernière prédiction en date est celle de Mike McGlone, stratège macroéconomique senior de Bloomberg Intelligence. Lors d’une interview avec Scott Melker,…
La Chine conserve une position anti-crypto, mais elle reste très active en matière de développement de la technologie blockchain. À ce propos, un livre blanc national a révélé que plus de 1 400 entreprises blockchain opèrent dans le pays. En fait, les autorités chinoises ont utilisé la nouvelle technologie pour développer de manière plus active leur industrie fintech. Au fil du temps, la Chine a réalisé des avancées notables dans le secteur de la blockchain. Aussi, le gouvernement a récemment indiqué que le pays entend continuer dans ce sens.
Le Parlement européen a récemment annoncé son intention de modifier certaines règles du projet de loi anti-blanchiment d’argent. La décision a été prise suite aux plaintes de la communauté crypto concernant certaines restrictions dans le projet de loi. Après avoir révisé les règles concernées, les décideurs politiques de l’UE viennent de voter le projet de loi.
Ces derniers jours n'ont pas été rose pour la monnaie numérique de la banque centrale américaine, qui a essuyé de multiples contestations. Deux législateurs se sont en effet opposés catégoriquement à son utilisation la semaine dernière, mettant en lumière leur méfiance envers ce projet de la Fed. Tout d'abord, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a tiré le premier. Suivi de près par le sénateur texan Ted Cruz, qui n'a pas mâché ses mots pour exprimer sa défiance totale envers la CBDC. Face à ce tollé politique, la monnaie numérique de la banque centrale semble être sur la corde raide, au grand dam de ses défenseurs.
Certaines entreprises décident de fuir les mains ensanglantées de la SEC en cette période d’avant-récession aux Etats-Unis.
Les responsables de Ripple entrevoient une victoire contre la SEC. Un jugement devrait avoir lieu avant la fin de cette année. L’issue de l’affaire aura un impact considérable sur la réglementation crypto aux États-Unis.
Depuis plusieurs semaines, les régulateurs américains mènent la vie dure aux firmes cryptos. Plusieurs des mastodontes du secteur ont déjà ouvertement critiqué cette dynamique en appelant les régulateurs à changer de fusil d’épaule. Jusqu’ici, la pilule ne passe pas auprès de ces derniers.
Dans un thread tweet récent, le PDG de Circle, Jeremy Allaire, a exprimé son inquiétude quant aux risques réglementaires pour le marché crypto et leur impact potentiel sur le dollar américain. Allaire a appelé à une politique claire, cohérente et pragmatique pour aider les États-Unis à maintenir leur position de leader dans l'espace technologique de la blockchain.