La vie privée des millions d’américains serait en danger si la FED insiste sur son projet de CBDC. Parole d’un membre du conseil des gouverneurs de cette même institution.
La vie privée des millions d’américains serait en danger si la FED insiste sur son projet de CBDC. Parole d’un membre du conseil des gouverneurs de cette même institution.
Las des exactions de la SEC, Coinbase signerait par l’obtention de cette licence aux Bermudes son grand départ.
L’investisseur macroéconomique Luke Gromen a récemment fait des révélations concernant les projets des autorités américaines sur le bitcoin (BTC). C’était lors d’un entretien avec Peter McCormack sur le podcast What Bitcoin Did. L’investisseur macroéconomique a indiqué que les autorités américaines se coordonnent pour agir sur le prix de la crypto phare. Il n’a pas manqué d’expliquer ce qu’elles essaient d’atteindre comme objectif en agissant ainsi.
Réglementation crypto aux États-Unis : le Congrès demande des comptes au président de la SEC, Gary Gensler.
En Russie, la Banque centrale envisage d'utiliser la crypto pour les règlements internationaux et de légaliser les exchanges.
Selon son PDG Brian Armstrong, Coinbase pourrait quitter les États-Unis en raison d’une réglementation crypto toujours floue.
En France, une proposition de loi encadrant l’activité des influenceurs est dans les coulisses de l’Assemblée nationale. L’initiative n’a pas trouvé écho au sein de la communauté des influenceurs cryptos. Plusieurs y ont vu un moyen déguisé de les réduire au silence. Stéphane Vojetta, l’un des porteurs du projet, apporte des clarifications.
Plusieurs décideurs politiques s’opposent aux monnaies numériques de banques centrales pendant que la FED étudie la possibilité d’en créer une. C’est le cas du gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis. L’homme politique a exprimé ouvertement son opposition aux CBDC. Ceci a suscité des critiques de la part de l’économiste Paul Krugman, lauréat du prix Nobel. Découvrez l’opinion de Krugman par rapport aux CBDC.
Entre crise bancaire et effondrement de grandes firmes crypto, l’industrie traverse une période difficile. Ces circonstances ont eu un effet positif sur le secteur. Ce dernier semble avoir réussi à s’adapter en trouvant des solutions pour continuer de progresser.
Le 20 mars, le chatbot ChatGPT d'OpenAI aurait commis une violation des données, selon une autorité italienne. Cette dernière a alors temporairement bloqué le 31 mars le chatbot. Elle a ensuite entamé une enquête pour en savoir plus sur les risques que l’outil représente. Elle a également demandé à OpenAI de limiter immédiatement le traitement de données pour les utilisateurs italiens. Le 4 avril, le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada a annoncé une enquête sur OpenAI. Philippe Dufresne, commissaire principal à la protection de la vie privée, a précisé que son ministère surveillait de près la technologie de l'IA. Malgré tout, ce lundi 10 avril, il a été révélé que le Japon pourrait utiliser une technologie de l’IA comme le chatbot ChatGPT d'OpenAI, dans ses systèmes. Voici ce qu’il en est.
Interview exclusive avec CZ : Le PDG de Binance raconte comment la répression crypto en Chine l'a contraint à fuir.
L'avocat Jeremy Hogan s'exprime à nouveau sur le procès SEC/Ripple.
Le Cato Institute avertit dans un rapport que les CBDC pourraient mettre en danger les libertés fondamentales et la vie privée des Américains.
En Europe, l’Allemagne est certainement l’un des États les plus accessibles aux firmes cryptos. Le pays semble vouloir rester dans cette dynamique en mettant en œuvre des mesures favorables à une meilleure pénétration des start-ups technologiques.
Soit la TradFi est au bord du gouffre, soit Adrienne Harris, du NYDFS, tente de calmer les esprits crypto.
Dubaï renforce les règlementations pour les demandeurs de licence de cryptomonnaies, mettant Binance sous pression. Les régulateurs émiratis ont exigé des informations supplémentaires sur la propriété, la gestion et l'audit de Binance et d'autres entreprises. L'autorité de régulation des actifs virtuels de Dubaï (VARA) veille à la conformité aux normes réglementaires les plus strictes.
Les législateurs et la SEC semblent avoir du mal à se mettre d'accord sur la réglementation crypto américaine.
Le PDG du groupe deVere, une société indépendante de conseil financier, de gestion d’actifs et d’organisation fintech, dénonce les grandes banques britanniques. Nigel Green leur reproche de réprimer les clients qui investissent en crypto. Découvrez les mesures jugées excessives que prennent ces banques à l’encontre de leurs clients souhaitant investir en crypto.
Dans un tweet, John Deaton donne son avis sur $ XRP et $ ETH. Selon lui, ils ne constituent en aucun cas des titres.
La complexité de la réglementation crypto est un vrai casse-tête pour les entreprises du secteur aux États-Unis. Les régulateurs américains ont durci leur position à l'égard des Exchanges, qui se retrouvent désormais pris au piège. Face à cette situation, certaines bourses américaines, telles que Bittrex, sont contraintes de lever l'ancre et de partir chercher des cieux plus cléments.
Depuis un certain temps, les pays du BRICS, dont la Russie et la Chine, manœuvrent pour s’affranchir du dollar américain. Récemment, l’Empire du Milieu a officialisé une entente avec le Brésil pour commercer d’État à État, sans passer par le dollar. Cette volonté d’indépendance financière pourrait se concrétiser à travers l’adoption d’une monnaie numérique.
Actuellement, plusieurs pays s’éloignent des échanges commerciaux en dollars américains. C’est le cas par exemple de la Chine qui préfère désormais effectuer des transactions en yuans avec ses partenaires étrangers. C’est dans ce contexte que Genevieve Roch-Decter a fait des tweets sur la suprématie du dollar, le 29 mars. La PDG de la société d’analyse financière Grit Capital a rédigé tout un fil de discussion sur le sujet. Elle y a expliqué comment « le dollar américain perd son statut de monnaie de réserve ». Plusieurs personnalités ont commenté les déclarations de la PDG de Grit Capital. Elon Musk est l’un d’entre eux. Le PDG de Twitter a répondu à la publication de Roch-Decter en critiquant la politique de la FED.
Le président de la SEC, Gary Gensler, est bien décidé à ne pas lâcher l'industrie de la crypto-monnaie. Il a demandé 2,4 milliards de dollars en plus pour la combattre.
Depuis maintenant deux ans, les entreprises crypto aux États-Unis font face à une lutte acharnée menée par la SEC. Dans sa volonté de réglementer les marchés financiers, la SEC a mis en place plusieurs règles strictes, parfois malvenues, qui ont contraint certaines entreprises à suspendre leurs activités, tandis que d'autres envisagent sérieusement l'exil fiscal. Cette frénésie réglementaire soulève des questions légitimes : quelles sont les véritables intentions de la SEC envers les cryptomonnaies ? Pourquoi une telle obsession sur ce secteur en particulier ?
Actuellement, la réglementation des cryptos est au cœur des débats et les dangers de ces actifs sont mis en avant. Pendant ce temps, l’intelligence artificielle (IA) est décrite comme une technologie innovante et pleine d’avantages. Mike Novogratz, le PDG de Galaxy Digital, a réagi par rapport à cette situation le 28 mars. C’était lors de la conférence téléphonique du quatrième trimestre 2022 de Galaxy Digital avec les actionnaires. Le PDG a déploré le fait que le gouvernement ne se préoccupe pas de la réglementation de l’IA.
Les pays du G7 discuteront en mai de réglementations plus strictes sur les crypto-monnaies pour améliorer la transparence et protéger les consommateurs.
Dans un thread tweet récent, le PDG de Circle, Jeremy Allaire, a exprimé son inquiétude quant aux risques réglementaires pour le marché crypto et leur impact potentiel sur le dollar américain. Allaire a appelé à une politique claire, cohérente et pragmatique pour aider les États-Unis à maintenir leur position de leader dans l'espace technologique de la blockchain.
Le National Bureau of Economic Research (NBER) est un organisme privé américain. Il est connu pour fournir entre autres les dates de début et de fin des récessions. Dans le contexte actuel de crise bancaire, un document publié à la fin de l’année 2020 a refait surface. À l’époque, le NBER avait en effet étudié six des plus grandes banques américaines. Il s’agissait de Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Bank of America, Citigroup et Wells Fargo. Voici ce qui ressort du document de travail qui rend compte de cette étude.
L'autorité bancaire européenne (ABE) jouera un grand rôle dans le cadre de la réglementation crypto de l'Union européenne. En effet, l’agence de l'UE, qui est basée à Paris, s'occupera de la régulation du marché des stablecoins. Elle veillera également à établir des règles liées à l'octroi de licences. Elle rédigera des projets de règles qui viendront compléter les clauses de MiCA laissées en suspens par les législateurs. L’ABE a décidé de prendre d’ores et déjà les mesures appropriées pour remplir ses futures fonctions.
Maison-Blanche : ban ou régulation des cryptomonnaies ? Ce rapport donne plus de chance à la première option.