Le président de la SEC, Gary Gensler, est bien décidé à ne pas lâcher l'industrie de la crypto-monnaie. Il a demandé 2,4 milliards de dollars en plus pour la combattre.
Le président de la SEC, Gary Gensler, est bien décidé à ne pas lâcher l'industrie de la crypto-monnaie. Il a demandé 2,4 milliards de dollars en plus pour la combattre.
Depuis maintenant deux ans, les entreprises crypto aux États-Unis font face à une lutte acharnée menée par la SEC. Dans sa volonté de réglementer les marchés financiers, la SEC a mis en place plusieurs règles strictes, parfois malvenues, qui ont contraint certaines entreprises à suspendre leurs activités, tandis que d'autres envisagent sérieusement l'exil fiscal. Cette frénésie réglementaire soulève des questions légitimes : quelles sont les véritables intentions de la SEC envers les cryptomonnaies ? Pourquoi une telle obsession sur ce secteur en particulier ?
Actuellement, la réglementation des cryptos est au cœur des débats et les dangers de ces actifs sont mis en avant. Pendant ce temps, l’intelligence artificielle (IA) est décrite comme une technologie innovante et pleine d’avantages. Mike Novogratz, le PDG de Galaxy Digital, a réagi par rapport à cette situation le 28 mars. C’était lors de la conférence téléphonique du quatrième trimestre 2022 de Galaxy Digital avec les actionnaires. Le PDG a déploré le fait que le gouvernement ne se préoccupe pas de la réglementation de l’IA.
Les pays du G7 discuteront en mai de réglementations plus strictes sur les crypto-monnaies pour améliorer la transparence et protéger les consommateurs.
Dans un thread tweet récent, le PDG de Circle, Jeremy Allaire, a exprimé son inquiétude quant aux risques réglementaires pour le marché crypto et leur impact potentiel sur le dollar américain. Allaire a appelé à une politique claire, cohérente et pragmatique pour aider les États-Unis à maintenir leur position de leader dans l'espace technologique de la blockchain.
Le National Bureau of Economic Research (NBER) est un organisme privé américain. Il est connu pour fournir entre autres les dates de début et de fin des récessions. Dans le contexte actuel de crise bancaire, un document publié à la fin de l’année 2020 a refait surface. À l’époque, le NBER avait en effet étudié six des plus grandes banques américaines. Il s’agissait de Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley, Bank of America, Citigroup et Wells Fargo. Voici ce qui ressort du document de travail qui rend compte de cette étude.
L'autorité bancaire européenne (ABE) jouera un grand rôle dans le cadre de la réglementation crypto de l'Union européenne. En effet, l’agence de l'UE, qui est basée à Paris, s'occupera de la régulation du marché des stablecoins. Elle veillera également à établir des règles liées à l'octroi de licences. Elle rédigera des projets de règles qui viendront compléter les clauses de MiCA laissées en suspens par les législateurs. L’ABE a décidé de prendre d’ores et déjà les mesures appropriées pour remplir ses futures fonctions.
Maison-Blanche : ban ou régulation des cryptomonnaies ? Ce rapport donne plus de chance à la première option.
La Securities and Exchange Commission (SEC) a depuis longtemps engagé une lutte contre les entreprises crypto. Toutefois, le PDG de SkyBridge Capital, Anthony Scaramucci, préconise une réglementation plus subtile, qui prendrait en compte les particularités de cette industrie florissante. Selon ses dires, les décideurs politiques devraient s'atteler à stopper les pratiques malveillantes sans entraver le développement de cette industrie prometteuse.
L’État américain du Texas offre un environnement favorable à la réglementation. Ceci explique pourquoi on y retrouve de nombreuses entreprises axées sur la crypto et la technologie blockchain. Les décideurs de cet État continuent de mettre en place des mesures favorables à la crypto. C’est le cas de Cody Harris qui est un membre de la Chambre des représentants du Texas. En effet, le 21 mars, le législateur texan a publié une résolution axée sur les mineurs Bitcoin et les hodlers. Cette dernière est intitulée "House Concurrent Resolution 89". Voici de quoi il s’agi
Un récent rapport révèle que 53% des utilisateurs de cryptomonnaies pourraient provenir de l’Inde à la fin de cette année. Ce chiffre représente plus de cinq fois le nombre d’investisseurs crypto États-Unis.
Le vote final sur le règlement MiCA est imminent et l'impact sur les crypto-monnaies dans l'UE reste incertain. Quels enjeux majeurs et conséquences cachées pour le secteur des crypto-actifs ?
Depuis l’effondrement de la Silicon Valley Bank, les autorités craignent le phénomène de contagion. Certaines juridictions prennent déjà des mesures pour endiguer les effets de ce dernier. En Australie, l’APRA, qui est l’Autorité de régulation prudentielle, a exhorté les banques à se montrer plus vigilantes. Voici ce que préconise le régulateur australien.
Les autorités de Hong Kong envisagent de faire de ce territoire chinois indépendant, un hub en matière de crypto. Elles ont récemment publié une déclaration de politique générale à ce sujet. Cette dernière n’a pas laissé indifférentes les compagnies cryptos à travers le monde.
Les détenteurs de l’USDC ont vécu des montagnes russes émotionnelles avec les récents évènements impliquant ce stablecoin. Après s’être spectaculairement écrasée, cette crypto a, en quelques jours, retrouvé ses lettres de noblesse. Il semble néanmoins que sa consistance à long terme ait été durablement compromise.
La commission des finances du Sénat américain a organisé une audition le 16 mars. Ce fut l’occasion pour les législateurs et la secrétaire au Trésor Janet Yellen de s’entretenir. Ils ont notamment mené une discussion concernant le budget 2024 du président Biden. Lors de l’audition, Michael Bennet, sénateur représentant l’État du Colorado, a parlé de la chute de la Signature Bank. Il a également évoqué l’instabilité des cryptomonnaies.
Les régulateurs européens critiquent la Réserve fédérale pour le renflouement des déposants SVB. Pour eux, la Fed n’avait pas raison de faire une exception.
La FDIC dément la rumeur selon laquelle elle obligerait tout acheteur de Signature Bank à céder ses activités crypto.
Suite au naufrage brutal de Sivergate, Signature et Silicon Valley Bank, les mesures se sont multipliées pour sauvegarder l’écosystème bancaire. Le but étant de limiter le risque que le système financier américain se retrouve aux abois. Pour certains toutefois, des efforts supplémentaires doivent encore être fournis pour limiter cette menace.
La banque californienne Silvergate, qui offrait ses services aux entreprises crypto, a fermé ses portes la semaine dernière. Peu de temps après, ce fut le tour de la Silicon Valley Bank qui comptait des sociétés crypto parmi ses clients. Le département californien de la protection financière et de l’innovation s’est chargé de sa fermeture. Ensuite, les régulateurs de l’État de New York ont fait fermer la banque new-yorkaise Signature. Brian Brooks, ancien directeur intérimaire de l’Office of the Comptroller of the Currency (OCC), a récemment donné son avis sur tous ces événements. Il a déclaré que ces derniers indiquent que le gouvernement américain essaie de retirer la crypto du système bancaire.
L'effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) a provoqué un mouvement massif de 70 000 bitcoins vers l'auto-détention. Découvrez pourquoi cette tendance prend de l'ampleur et comment elle pourrait affecter l'avenir des institutions financières.
La Réserve Fédérale (FED) américaine a annoncé la nuit dernière son intention de renflouer les banques. Pour cela, un plan de soutient de 25 milliards de dollars a été actionné afin de sauver les institutions financières secouées par une crise de liquidités.
fermeture des banques cryptofriendly américaines comme Silvergate et Signature Bank : tempête en vue pour les exchanges de cryptos ?
Circle prévoit de couvrir le manque de liquidités de la Silicon Valley Bank avec des fonds d'entreprise. Les opérations de liquidité de l'USDC reprennent.
Quels sont les défis auxquels les banques sont confrontées lorsqu'elles proposent des services liés aux cryptos et quelles sont les capacités nécessaires pour mettre en place un cadre efficace de lutte contre le blanchiment d'argent dans ce domaine ? Ce sont les questions auxquelles le directeur de la croissance de Bullieverse, Arunkumar Krishnakumar a apporté des éléments de réponse, dans une tribune publiée sur Coin Telegraph. Bullieverse est une société qui offre des expériences de jeux d’arcade à des communautés en ligne.
En 2021, la plus grande société de gestion de cryptos au monde a déposé une demande auprès de la SEC. Il s’agissait d’une requête pour convertir son titre, le GBTC, en ETF au comptant basé sur le bitcoin (BTC). La Securities and Exchange Commission des États-Unis a rejeté la demande de Grayscale. Le régulateur a avancé comme raison qu’il y avait un risque de manipulation du marché avec les ETF spot Bitcoin. Il a également déclaré qu’à travers son rejet, il cherche à protéger les investisseurs. À présent, le PDG de Grayscale explique pourquoi le régulateur américain désapprouve autant les ETF spot Bitcoin.
Les membres de l’association russe de l’industrie crypto ont récemment adressé une lettre au chef de l’État de la Russie. Il faut noter que cette organisation, appelée Racib, prend en compte la crypto-économie, la blockchain et l’intelligence artificielle. Dans sa lettre, elle a évoqué l’attitude du gouvernement russe par rapport à la réglementation du secteur des cryptos. Découvrez le contenu de la lettre de l’association russe de l’industrie crypto.
Avec sa politique de répression des cryptos, la SEC n’hésite pas à interférer dans les affaires judiciaires des entreprises crypto. Les acteurs de la nouvelle industrie ont en vain critiqué ce comportement de la Securities and Exchange Commission des États-Unis. À présent, un juge du district sud de New York rend une décision qui pourrait freiner le régulateur dans ses ardeurs.
Après plus d’une décennie d’existence, les cryptos et l’industrie des cryptomonnaies en général ont connu un essor considérable. En dépit des nombreux avantages offerts par cette nouvelle classe d’actifs, leur adoption peine à se généraliser pour plusieurs raisons. L’une des solutions envisagées ces derniers mois pour changer la donne est l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA). À cet effet, ChatGPT, le service IA lancé par OpenAI, est plébiscité par de nombreux acteurs de l’industrie crypto et amateurs de cryptomonnaies. Nous explorerons donc dans cet article de quelle manière l’utilisation de ChatGPT peut révolutionner le secteur des cryptomonnaies.
La PRA tiendra compte des règles de Bâle III pour établir un meilleur cadre de réglementation crypto au Royaume-Uni.