Avec 55 % des voix, Javier Milei devient le président de l’Argentine. 40 ans après la dictature des généraux, c’est un populiste ultralibéral niant les crimes de la dictature qui l’emporte.
Avec 55 % des voix, Javier Milei devient le président de l’Argentine. 40 ans après la dictature des généraux, c’est un populiste ultralibéral niant les crimes de la dictature qui l’emporte.
Les BRICS ont annoncé un plan visant à lancer leur commune dans un avenir proche. Le projet menace le dollar américain, mais aussi l’euro, une monnaie notamment utilisée par un pays comme l’Allemagne. Il semble que ce pays travaille à anéantir ce plan en misant notamment sur la version numérique de l’euro qu’il compte introduire.
Dans le paysage politique américain en constante évolution, la montée en puissance des cryptos a créé un nouveau front de débat. Une sorte de discorde qui transcende les lignes traditionnelles entre technologie, finance et politique. Cette évolution a placé les deux principaux partis politiques, démocrate et républicain, dans des positions distinctes, chacun adoptant une approche qui reflète ses principes et ses priorités. Alors que les démocrates se concentrent sur la régulation et la protection des consommateurs, les républicains voient dans les cryptos un symbole de liberté financière et d’innovation. Cette dichotomie entre régulation et liberté économique offre un aperçu fascinant de la manière dont ces actifs numériques sont perçus et gérés au sein du spectre politique américain. Dans cet article, nous explorons en profondeur les nuances de ces deux positions. Ceci, en mettant en lumière les implications politiques, économiques, voire sociales, de cette nouvelle ère de la finance numérique.
Actuellement, seuls le Salvador et la Centrafrique ont légalisé l’usage du bitcoin (BTC) en tant que monnaie ayant cours sur leur territoire respectif. L’Allemagne sera-t-elle la prochaine ? Une parlementaire du Bundestag le souhaite vivement et veut visiblement travailler à la concrétisation de cette ambition crypto.
Les détracteurs de l’écosystème Bitcoin l’accusent d’être très peu soucieux de l’environnement parce que consommant énormément d’énergie avec à la clé un impact carbone conséquent. Selon une récente analyse, cette idée n’est pas du tout vraie parce que cet écosystème consommerait énormément d'énergie renouvelable. Ceci, en bien plus grande quantité que nombre d'autres secteurs économiques majeurs.
Kristalina Georgieva soutient activement la CBDC. Elle considère ces monnaies numériques comme une alternative prometteuse au cash physique.
Hier encore épinglé, aujourd'hui intrépide. PayPal vient de lancer un défi aux autorités en affirmant sa détermination à poursuivre ses innovations blockchain. Analysons cette déclaration qui sonne comme une déclaration de guerre.
Les pays des BRICS veulent se défaire de l’influence du dollar américain. L’enjeu est grand pour ce groupe de pays, notamment pour la Russie, qui subit une batterie de mesures financières prises par l’occident en réponse à l’invasion de l’Ukraine. Il semble que le pays manœuvre pour se défaire de ces sanctions. Et il y arrive vraisemblablement puisque le rouble, la monnaie russe, a dépassé le dollar sur le marché des changes.
Au cours des dernières décennies, de nombreux analystes ont fait valoir que le monde se dirigeait vers une forme de multipolarité géopolitique. On voit, en effet, plusieurs pays vouloir jouer un rôle plus important sur la scène politique internationale aux côtés d’acteurs traditionnels comme les États-Unis. Cette tendance ne serait pas profitable pour la crypto. Voici pourquoi.
La députée allemande Joana Cotar a réveillé le parlement allemand en vilipendant la CBDC ainsi qu’en faisant la part belle au Bitcoin.
Ripple et Onafriq révolutionnent les transferts d’argent en Afrique grâce à la blockchain crypto. Plus de détails dans cet article !
DZ Bank, la troisième plus grande banque d’Allemagne, brave les risques pour satisfaire ses clients institutionnels en adoptant la crypto.
La volonté des BRICS de se débarrasser de l’influence du dollar est certaine. L’idée, clairement exprimée depuis plusieurs mois, connaît un nouveau développement qui suggère une avancée à grands pas du plan. Encore faut-il régler les querelles internes qui menacent la cohésion du groupe.
Lorsque Charlie Munger, l'éminence grise de l'investissement et bras droit de Warren Buffett chez Berkshire Hathaway, évoque ses préoccupations quant à l'ascension fulgurante du Bitcoin, ses paroles résonnent avec le poids de décennies d'expérience financière. Dans une interview récente, Munger qualifie le Bitcoin de "venin pour rat" et exprime son inquiétude face à sa récente montée en valeur. Cette méfiance envers la cryptomonnaie la plus emblématique n'est pas isolée, mais elle survient à un moment où le marché semble amorcer un virage haussier potentiel, attirant à nouveau les projecteurs sur l'ensemble du secteur crypto. Après une période de marché baissier où le silence était presque assourdissant, les critiques s’intensifient à nouveau. Avec la hausse des prix vient un regain d'attention, et inévitablement, les critiques ressurgissent, prêtes à dénoncer les cryptomonnaies comme la dernière incarnation d'une certaine arnaque financière. Cependant, ces critiques semblent souvent ignorer les fondamentaux qui sous-tendent la valeur des cryptomonnaies. Alors que les sceptiques voient une bulle prête à éclater, de nombreux experts et investisseurs y voient une révolution technologique en gestation, portée par des années de développement et d'innovation. Dans cet article, nous allons explorer pourquoi les cryptomonnaies ne sont pas l'arnaque que certains prétendent et comment, au contraire, elles représentent un tournant dans notre compréhension et notre utilisation de l'argent.
La dédollarisation continue en Asie. Après des nations comme l’Inde ou l’Indonésie, la Thaïlande snobe à son tour le dollar. Dollar non gratta La Banque de Thaïlande soutient l’utilisation des monnaies locales au lieu du dollar américain pour régler ses échanges avec ses partenaires internationaux. C’est ce que souhaite la…
Comme pour l’ETF Bitcoin au comptant, l’approbation éventuelle d’un ETF Ethereum au comptant fait parler d’elle. Aux dernières nouvelles, la communauté doit encore patienter quelques mois pour savoir si la SEC en approuverait un ou pas.
X (anciennement Twitter) a perdu plus de la moitié de son prix d'achat. Le coupable est connu !
Depuis 2017, la SEC est restée célèbre pour son refus des demandes d’approbation des ETF Bitcoin au comptant. En 2021, lorsque Gary Gensler est devenu patron de l’institution, la même tendance a continué. L’institution de régulation s’est toujours arrangée pour retarder, reporter ou rejeter l’approbation des ETF Bitcoin Spot. Actuellement, certains pensent que la SEC pourrait surprendre la communauté en rejetant les demandes d’ETF bitcoin au comptant à la dernière minute.
Les BRICS ont officiellement décidé de sortir du dollar. En attendant, la question de l’usage de la monnaie dans le règlement des transactions internationales semble être un point de discorde entre les pays membres. Voici ce qu’il en est dans les lignes qui suivent.
L'Inde, champion en matière d'adoption des cryptomonnaies, va tout faire pour booster sa CBDC.
Les guichets automatiques crypto sont des machines électroniques conçues pour permettre aux utilisateurs d’acheter, de vendre ou d’échanger des cryptos. Ceci, en utilisant des devises traditionnelles, comme le dollar américain ou l’euro. Leur nombre a drastiquement chuté.
Découvrez le partenariat stratégique entre MasterCard et MoonPay dans l’écosystème en constante évolution des crypto-monnaies.
Quel est l’état d’adoption de la crypto au Maghreb ? La question n’est pas anodine surtout que la région est loin d’être la locomotive crypto du continent. En la matière, c’est surtout l’Afrique subsaharienne qui s’impose, portée notamment par le Nigéria. Les chiffres montrent que dans ce pays d’Afrique occidentale, de plus en plus de personnes détiennent des cryptos ou sont informées de leur existence. À la vérité, plusieurs des pays du Maghreb ne sont pas en reste de cette dynamique même s’il faut reconnaître la faiblesse relative de cet engouement. Dans les lignes qui suivent, nous nous intéressons aux tendances de l’adoption des cryptos au Maghreb et aux raisons qui les sous-tendent.
On connaissait jusqu’ici les ambitions hégémoniques de la Chine en matière économique. La volonté de l’ogre asiatique et de ses partenaires des BRICS de se défaire du dollar est essentiellement l’expression de cette ambition. Cette dernière a connu une récente avancée impliquant l’euro, la monnaie utilisée dans l’espace européen.
Ce mois d’octobre, une série d’articles et de lettres ont circulé dans les médias pour crucifier les cryptomonnaies à la potence du terrorisme. Signés par une centaine de législateurs américains anti-crypto, ces écrits ont poussé le département du Trésor américain à s’en prendre, à nouveau, aux mixeurs de cryptomonnaies. Pour rétablir la vérité, Elliptic répond aux allégations du Wall Street Journal (WSJ), dénonçant l’inexactitude et l’exagération.
Le bitcoin (BTC) n’est pas la seule crypto à faire montre d’un dynamisme remarquable. Le XRP de Ripple s’inscrit dans une tendance similaire. Sur les 7 derniers jours, la crypto a vu sa valorisation augmenter de 14,48 %. Évidemment, Ripple œuvre, dans ce contexte, à soutenir la pertinence opérationnelle de sa crypto native.
La Chine vient d’acheter pour la première fois du pétrole en utilisant son le yuan numérique (CBDC). Le pétrodollar a du plomb dans l’aile.
Aujourd’hui, au sein de l’Union économique eurasiatique, les transactions économiques sont réglées avec les monnaies nationales qui éclipsent désormais le dollar. De même, la plupart des échanges économiques impliquant la Russie se font avec le rouble. L’euro et le dollar sont en train de subir un évincement. Cette mutation du paysage financier mondial ne peut pas passer inaperçue. L’éventualité de l’émergence d’une monnaie commerciale commune au sein des BRICS revient au centre des débats. Dans une récente interview, la Sergueï Glaziev, économiste et homme politique russe, lâche la bombe : la monnaie commune des BRICS est inévitable. Précisions.
En mars 2022, le maire de Lugano avait dit qu’il serait possible d’y « passer dix jours de vacances avec du bitcoin, du Tether ou du Luga ». Pour y arriver, les autorités municipales ont lancé plusieurs initiatives destinées à « inciter la communauté crypto à venir vivre et dépenser du bitcoin à Lugano ». 18 mois plus tard, nous faisons le point du chemin parcouru par cette ville Suisse qui ambitionne de devenir la capitale européenne de la cryptomonnaie.
Pour le respect de la vie privée, il faudra instaurer « un seuil de protection de la vie privée » dans les transactions en euro.