Le Bitcoin atteint des sommets historiques au Nigeria, offrant une protection contre la dévaluation rapide du Naira nigérian.
Le Bitcoin atteint des sommets historiques au Nigeria, offrant une protection contre la dévaluation rapide du Naira nigérian.
Quand 134 pays jouent aux apprentis sorciers avec les CBDC, c’est 98 % de l’économie mondiale qui entre en zone de turbulences numériques.
Nouveau clou dans le cercueil du dollar. L'inde et le Nigeria ne veulent plus commercer avec le billet vert.
L'économie algérienne brille sur le continent, portée par son secteur pétro-gazier et des réformes judicieuses.
Alors que le bitcoin réalise une performance plutôt moyenne ces derniers jours, il intéresse de nombreux pays. Mais dans ce lot, cinq États se démarquent particulièrement. Et parmi ces pays, les données montrent que le Salvador s’impose de manière assez notable. Il est suivi par le Nigéria et 3 autres pays d’Europe.
L’exchange crypto Binance se retrouve aujourd’hui confronté à des obstacles réglementaires majeurs. Les détails dans cet article !
Le conflit opposant Binance, leader mondial des échanges de cryptomonnaies, aux autorités nigérianes a pris une nouvelle tournure. Un tribunal nigérian a ordonné à la plateforme de fournir les données exhaustives de tous ses utilisateurs nigérians, marquant ainsi un nouveau chapitre dans cette confrontation qui dure depuis plusieurs mois.
Les défis de l’exchange crypto Binance se sont fait quelque peu oublier. Mais ils sont bien présents et plus corsés que jamais, notamment au Nigéria où deux cadres de l’entreprise sont sous écrou. Pendant ce temps, l’étau se resserre sur Changpeng Zhao, l’ex-patron de la société dont les droits de voyager sont restreints.
Alors qu’il essaie de sortir la tête de l’eau après les déboires judiciaires qui ont coûté très cher, l’exchange crypto Binance fait face à de nouveaux défis réglementaires. Cette fois-ci, les problèmes viennent du Nigéria où les autorités fustigent l’influence potentielle de la plateforme sur l’économie du pays, suscitant l’inquiétude des traders locaux.
Le Nigeria veut rejoindre les BRICS, mais aura-t-il le courage de dédollariser pour y parvenir ?
Alors que la banque centrale du Nigeria autorise désormais les banques à ouvrir des comptes crypto, elle maintient des restrictions sévères, notamment l'interdiction de négocier ces actifs pour leur propre compte. Une évolution majeure dans un pays où posséder des bitcoins était encore tout récemment illégal.
Le bitcoin est déjà bien au-dessus de son plus haut historique dans plusieurs pays en proie à l’hyperinflation.
Lorsqu’on pense au Bitcoin, on pense souvent aux grandes puissances économiques ou aux paradis des cryptomonnaies comme le Salvador. Pourtant, une récente étude dévoile une surprise de taille : le Nigeria domine largement le classement des pays les plus intéressés par cette monnaie numérique, laissant même le Salvador dans l’ombre.
Chainalysis vient de publier son rapport de 2023 sur l’adoption crypto sur le plan mondial. Dans ce nouveau classement où la plupart des pays riches sont à la traîne, ce sont les pays à faible revenu par habitant qui se retrouvent aux premiers rangs. L’Inde, le Vietnam, le Nigeria occupent ainsi les trois premières positions, devançant les États-Unis qui sont pourtant un géant en matière de cryptomonnaie. Toutes les précisions dans cet élément.
Ces derniers mois, les cryptos ont gagné en popularité dans le monde. Évidemment, le continent africain n’est pas en reste. Aux dernières nouvelles, de plus en plus d’Africains s’intéressent aux cryptos. Mais ce sont six pays qui se démarquent particulièrement.
Après plus d’un an d’exploitation de sa CBDC, le constat est le même : l’eNaira ne perce pas. Elle est rejetée par une large majorité de Nigérians. Mais ce n’est pas le seul problème. Un nouveau rapport du Fonds monétaire international (FMI) pointe du doigt d’autres problèmes plus profonds.
La mise en œuvre de la politique nationale sur la blockchain a été approuvée par le gouvernement fédéral du Nigéria.
Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les dettes souveraines insoutenables, les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Le seul moyen, selon les banques centrales, de sauver ce système moribond est de contrôler toutes les transactions monétaires. D’où les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC). Monnaies numériques manipulables par les banques centrales, elles représentent la pierre angulaire d’un futur dystopique. Le contrôle total de leur circulation va impacter notre liberté financière de manière significative. L’enjeu sociétal est énorme, et les réactions futures promettent d’être vives. Analyse de cet échec prévisible d’une forme de servitude, et des alternatives qui ne manqueront pas d’apparaitre pour y échapper.
Comparée aux autres continents, l’Afrique constitue l’un des marchés les plus prometteurs pour le développement de la blockchain. La technologie semble y gagner un peu plus de terrain chaque année, portée par un pays comme le Nigéria. Mais ce n’est désormais plus le seul État d’Afrique à miser sur son potentiel.
Partout dans le monde, les investisseurs utilisent le P2P pour échanger directement des cryptos, sans passer par un tiers de confiance. Ils échangent leurs cryptos contre d’autres tokens ou contre de l’espèce. C’est ainsi que le P2P a permis aux investisseurs nigérians de continuer à utiliser les cryptos malgré les restrictions de la CBN. En effet, la Banque centrale du Nigéria a annoncé une réglementation en 2021 qui empêchait les institutions financières d’offrir des services crypto. À présent, elle décide de signaler les comptes bancaires des investisseurs crypto en P2P.
Avec les crises économiques qui vont venir, les Nigérians peuvent se vanter d’avoir la meilleure arme : le bitcoin et les cryptomonnaies.
Le taux d’inflation en Argentine a atteint un sommet historique de 100% en février. Un tel fait ne s’était pas produit depuis 1991. Pendant que la monnaie s'effondre, de plus en plus d’Argentins se tournent vers le Bitcoin.
Les réglementations existantes au Nigeria ne sont pas favorables à l’utilisation des cryptos pour les transactions dans les banques locales. Cette situation a suscité jusqu’ici de vives réactions de la part des adeptes de la crypto dans le pays. Ces derniers ont souvent milité pour qu'on intègre les dispositions favorables à de telles opérations aux réglementations. Ils pourraient voir leurs souhaits se réaliser avec la récente annonce du président élu nigérian Bola Tinubu.
Depuis l’enquête de CoinDesk sur FTX, qui a ouvert les yeux de la communauté crypto sur la situation délétère de FTX, les révélations diverses ne cessent de s’enchaîner. La dernière en date concerne un système peu commun, mis en place par les responsables de l’exchange. Il consiste à faire travailler des étudiants africains, qui doivent notamment convaincre leurs collègues à s’inscrire sur l’exchange et à y faire des opérations. Ceci, moyennant de l’argent. Décryptage.
La réglementation de l’industrie est actuellement au cœur des débats. Ces dernières semaines en effet, plusieurs spécialistes des finances et nombreux dirigeants ont appelé à renforcer le contrôle des activités de ce secteur. Un moyen pour les Etats d’intervenir dans un écosystème qui jusqu’ici est la chasse gardée de quelques investisseurs.
Après l’effondrement de la crypto Terra Luna l’an passé, la banque des règlements internationaux a pris un ensemble de mesures. Notamment le plafonnement à 1 % des réserves en bitcoins des banques. En 2023, elle entend développer une plateforme de surveillance des stablecoins et se concentrer davantage sur les CBDC des…
Le BTC affiche son meilleur début d’année depuis 2013. Il s’est apprécié de 39.5 % au mois de janvier.
Depuis leur apparition en 2009 avec l’invention du célèbre anonyme Satoshi Nakamoto, les cryptomonnaies séduisent plus d’un. Leur présence dans le circuit financier mondial s’est imposée et plus personne ne peut les ignorer. Même les plus grands banquiers conservateurs qui ne jurent que par la monnaie traditionnelle n’y peuvent plus rien. Contre toute attente, ces nouveaux actifs numériques se sont frayé un chemin jusqu’en Afrique, un continent pourtant réputé moins avancé en matière technologique. Au cours de l'année 2022, un pays africain est allé jusqu'à adopter le bitcoin comme monnaie officielle. Un deuxième au monde. Au cours de la même année, il a été organisé sur le continent l’une des plus grandes rencontres des acteurs de l'écosystème crypto. Face à cette inarrêtable adoption de cryptos par les populations locales, les banques centrales africaines fléchiront-elles ?
Le Nigéria domine désormais les recherches Google pour « Acheter Bitcoin » après que la banque centrale du pays a limité les retraits d’argent à 44 $.
L’amélioration de la scalabilité est l’un des défis majeurs de l’écosystème Bitcoin. Jusqu’ici seule l’approche Lightning Network semble résoudre concrètement les problèmes de scalabilité. En Afrique où le développement de la blockchain Bitcoin et des cryptos est encore embryonnaire, le Lightning Network a encore du chemin à parcourir.