Découvrez l'enquête révélant l'émergence de 24 CBDC d'ici 2030 et le rôle des banques centrales dans cette révolution financière.
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Le yuan a le vent en poupe. Après la Russie et le Brésil, c'est au tour de l'Argentine et de l'Inde d'adopter la monnaie chinoise.
Un nouveau Bretton Woods le 22 août ? La réunion des BRICS pourrait être le plus grand chamboulement monétaire depuis 1971. L’alliance des BRICS enfle Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud pourraient dévoiler à Durban une nouvelle monnaie de réserve internationale (ou plusieurs) en vue de se passer…
Le climat de guerre froide ne s'estompe pas. La réduction de la production de pétrole saoudite et la réunion des BRICS pointent furieusement vers un nouvel ordre mondial.
Neuf pays emmenés par l'Iran lancent une alternative au réseau SWIFT. Parallèlement, les BRICS et une dizaine d'autres pays discutent d'une nouvelle monnaie à Cape town.
Mahesh Kumar Jain, sous-gouverneur de la Reserve Bank of India (RBI), s’est adressé aux directeurs des banques des secteurs public et privé à l’occasion de la Conférence organisée fin mai par la Reserve Bank of India à Mumbai et à New Delhi. Son discours a évoqué la nécessité pour les banques indiennes d’adopter les technologies de la blockchain et l’IA. Il s’est également penché sur les défis autour de la croissance durable et de la stabilité du secteur bancaire indien ainsi que sur les stratégies à adopter. Décryptons en quelques lignes ces propos.
Il ne sera pas si facile de se débarrasser du dollar. La Russie commence déjà à bouder la roupie indienne pour le paiement de son pétrole.
Alors que la Fed rehausse les taux pour tenter d’endiguer l’inflation, le cartel des pays producteurs de pétrole vient jouer les trouble-fêtes.
Un récent rapport révèle que 53% des utilisateurs de cryptomonnaies pourraient provenir de l’Inde à la fin de cette année. Ce chiffre représente plus de cinq fois le nombre d’investisseurs crypto États-Unis.
Pendant que le bear market semble s’implanter durablement, les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) gagnent du terrain. De plus en plus nombreux sont les États qui travaillent activement à leur déploiement dans leur système financier.
L’année dernière, les pays du G20 ont fait part de leur ambition de mettre en œuvre une norme uniforme concernant le marché des cryptos. Depuis lors, le projet a beaucoup progressé avec la tenue d’une première rencontre des parties prenantes, en Inde, mi-février. Les récents développements montrent que l’Inde tient à accélérer le processus.
L’Inde dispose d’un réseau de paiement national appelé UPI (interface de paiements unifiés). De son côté, Singapour dispose d’un système de paiement rapide appelé PayNow. Récemment, le gouverneur de la Reserve Bank of India et le directeur général de l’Autorité monétaire de Singapour ont lancé une opération. À travers celle-ci, les résidents des deux pays pourront effectuer des transferts d’argent transfrontaliers rapides.
La première réunion des chefs financiers du G20 a lieu du 23 au 25 février à Bengaluru. La ministre indienne des Finances, Nirmala Sitharaman, joue le rôle d’hôte pour l’évènement. Précédemment, elle avait fait une déclaration concernant le fait que le G20 envisageait de réglementer les cryptos de façon collective. Dans ce contexte, une approche pour une réglementation commune des actifs numériques pourrait voir le jour durant la réunion.
L’administration des impôts indirects au cours de l’exercice en cours aide à détecter une évasion fiscale de 22 000 roupies indiennes à New Delhi. Le président central des impôts et des douanes indirects soutient que cette évasion fiscale concerne près de 48 000 cas à ce jour.
La réglementation de l’industrie est actuellement au cœur des débats. Ces dernières semaines en effet, plusieurs spécialistes des finances et nombreux dirigeants ont appelé à renforcer le contrôle des activités de ce secteur. Un moyen pour les Etats d’intervenir dans un écosystème qui jusqu’ici est la chasse gardée de quelques investisseurs.
Les signes de défiance vis-à-vis du dollar s’amoncèlent. Notamment en Inde où l'on s'arrache le pétrole russe, quitte à se mettre l'Empire à dos.
Depuis plusieurs mois, la plateforme d’échange de cryptos, Binance et son homologue indienne WazirX se sont embourbées dans une polémique interminable. Fin 2019, la première a annoncé avoir racheté la seconde. Mais l’année dernière, alors qu’une enquête pour blanchiment de capitaux a été ouverte en Inde contre WazirX, les deux sociétés se rejettent réciproquement la propriété de WazirX. La société de CZ indique que l’accord avec Zanmai Labs, la société qui exploite Wazirx, est limité à certains actifs. Mais la pilule semble ne pas passer. Pendant ce temps, ce sont les utilisateurs de la plateforme qui font les frais de cette mésentente.
Il n’y a pas d’autre issue que le ban des cryptos, souligne le gouverneur de la Reserve Bank of India.
« La crypto n’est qu’un jeu de hasard. Elle n’a aucune valeur sous-jacente en Inde, même pas une tulipe », dixit le gouverneur de la RBI.
La banque centrale indienne a annoncé que la recherche d’une régulation mondiale sur les cryptomonnaies sera une priorité pour le G20.
Conscients de l’importance de la technologie blockchain et du Web3, de plus en plus de secteurs commencent à les utiliser. Aujourd’hui, c’est au tour de la branche Idol de la police de Tamil Nadu de s’y mettre. Cette initiative permettrait de relever de nombreux défis que rencontre la police dans le traitement des plaintes. Elle marque aussi la volonté de l’Inde d’intégrer le Web3 dans son quotidien.
Après les conclusions aguichantes d’un sénateur américain, c’est au tour du gouverneur de la Banque centrale de l’Inde de parler d’ « interdiction ».
Les cryptos s’utilisent désormais dans de nombreux pays du monde entier. Au vu de l’ampleur que prend le secteur, les gouvernements du G20 pensent avoir trouvé la solution. Et s’ils développaient un consensus politique sur les cryptomonnaies ? Un projet ambitieux, mais qui pourrait prendre différentes tournures.
L’association indienne Bharat Web3 fait pression pour réduire les taxes élevées sur la crypto. Elle exige aussi une réglementation stricte.
Après des mois de débats et de discussions, la Reserve Bank of India annonce enfin le lancement de la roupie numérique. Un mois après le lancement de la roupie numérique de gros, la Banque centrale indienne amorce un nouveau projet porteur de nombreux avantages selon certaines personnes.
Au début du mois de novembre, la Banque centrale indienne (RBI) a lancé la vente de la roupie numérique de gros. Cette dernière, surnommée CBDC-W, est réservée au marché secondaire des titres gouvernementaux. Elle permet de régler des transactions sur ce marché ainsi qu’entre les banques. Tout ceci à faible coût. À l’annonce du lancement de la CBDC-W, la RBI avait déclaré qu’une autre forme de CBDC serait lancée le 1er décembre.
Le prêteur de crypto Vauld ne sera plus protégée contre les créanciers au-delà de la date du 20 janvier.
Devant accueillir le sommet du G-20 l’année prochaine, l’Inde voit de plus en plus l’importance des cryptos. Et il ne s’en cache pas ! Alors qu’un mauvais vent souffle toujours sur les marchés, le ministre indien des Finances pense que la réglementation crypto devrait être une priorité internationale.
Une grande majorité de Banques centrales dans le monde travaille à élaborer leur propre monnaie numérique de Banque centrale (CBDC). Les objectifs poursuivis ne sont pas les mêmes dans chaque cas. Si certains gouvernements souhaitent prendre une part active dans le développement de ce marché, il en existe dont le but est de créer une CBDC pour combattre la croissance des cryptos. C’est le cas de l’Inde. Le pays a, depuis le début, affiché son opposition au marché des actifs numériques. Récemment, Rabi Sankar, vice-gouverneur de la Banque centrale, a déclaré qu’il croit fermement que les CBDC peuvent « tuer » les cryptos. D’après lui, ces dernières portent en elles, le germe de la « déstabilisation de la stabilité monétaire et fiscale ».
La base d'utilisateurs du Web3, qui est actuellement de 320 millions de personnes devrait atteindre 1 milliard d'ici 2030. L’Inde devrait jouer un rôle capital dans la croissance de ce segment de la blockchain.