20h00 ▪
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par
Ralph R.
« Nous ne défendons pas la nature. Nous sommes la nature qui se défend ». Ce proverbe autochtone illustre la capacité du monde naturel à survivre aux crises sans chercher l’optimisation absolue. Il rappelle que la résilience est au cœur du vivant. La nature ne vise ni la vitesse ni l’efficacité immédiate, mais la diversité et l’adaptation. Certaines espèces animales notamment traversent les âges en évoluant face aux menaces. De même, Bitcoin ne mise pas sur la performance instantanée, mais sur sa résilience due à son architecture décentralisée. Il suit les mêmes lois de la nature, en étant capable de résister aux multiples attaques et aux interdictions. Le parallèle, abordé dans cet article, entre la nature et Bitcoin pose une question essentielle sur le modèle à appréhender. Faut-il privilégier l’efficience ou la résilience, afin de garantir la pérennité d’un monde en constante évolution numérique ?