Le bitcoin, après avoir fait illusion, retombe dans l’incertitude. Les traders suent à grosses gouttes, pris entre espoir évanoui et frayeur grandissante.
Le bitcoin, après avoir fait illusion, retombe dans l’incertitude. Les traders suent à grosses gouttes, pris entre espoir évanoui et frayeur grandissante.
Le Bitcoin, roi vacillant, chute sous 90 000 $, pleuré par des ETF en cavale, noyé dans un milliard liquidé, sur fond de querelles sino-américaines burlesques.
Dans le tourbillon des tensions sino-américaines, les ETF Bitcoin perdent 1,14 milliard de dollars en deux semaines, victime d’un cataclysme géopolitique, entre menaces de tarifs et l’incertitude des marchés.
La Bourse de Paris traverse une période d'hésitation marquée, confrontée à un double défi : les menaces de guerre commerciale de Donald Trump et les développements géopolitiques autour de l'Ukraine. Ce lundi 17 février 2025, le CAC 40 affiche une légère baisse de 0,03 % à 8.176,47 points, reflétant la prudence des investisseurs face à ces enjeux majeurs.
Comme un cow-boy dégainant son six-coups, Trump dégaine les tarifs réciproques, réveillant d’anciens fantômes économiques et semant la panique du Bitcoin aux places boursières.
Le cours du bitcoin est passé sous la barre des 100 000 dollars suite à l'annonce par la Chine de nouvelles taxes douanières sur les importations américaines. Cette décision, qui s'inscrit dans un contexte de tensions commerciales croissantes entre les deux puissances, a provoqué une onde de choc sur les marchés. Les analystes redoutent une période de volatilité accrue si les négociations sino-américaines ne progressent pas.
Le yuan titube, l’empire du Milieu vacille. L’ombre de Trump, armée de taxes, plane et ravive les vieux démons économiques.
L'Indonésie, première économie d'Asie du Sud-Est, vient d'intégrer officiellement le bloc des BRICS en janvier 2025, marquant ainsi un tournant majeur dans la reconfiguration des alliances économiques mondiales. Cette adhésion renforce significativement le poids du groupe, qui représente désormais plus de 51% de la population mondiale et 40% du PIB global.
Bitcoin, cet or numérique, intrigue puissants et législateurs. Franklin Templeton prédit : demain, nations et crypto marcheront main dans la main, tissant une nouvelle ère stratégique d’audace monétaire.
Nouveau mandat pour Trump : un cocktail explosif d'économie musclée, entre forages frénétiques et tarifs douaniers percutants. La fête commence !
Pékin a du souci à se faire : les milliards en dollars menacent de s'évaporer si l’Oncle Sam change de ton.
Le burger voit rouge : McDonald's, frappé par l’E. Coli et les boycotts, enfile son gilet de sauvetage boursier.
Tandis que le Moyen-Orient s’embrase, le Bitcoin trébuche. L’or, lui, étincelle comme un Napoléon retrouvé sous un matelas.
Dans un contexte géopolitique tendu, l'économie russe démontre une dépendance persistante au dollar. Malgré les interdictions d'exportation de devises, 2,3 milliards de dollars en billets verts ont pénétré le territoire russe.
Alors que le cours du bitcoin stagne depuis plusieurs semaines, les analystes techniques entrevoient la possibilité d'un renversement haussier. Cependant, les indicateurs macroéconomiques à venir pourraient fortement influencer la trajectoire à court terme du BTC.
Dans un revirement significatif de sa position, la France a annoncé vendredi son appui à l'octroi à la Palestine du statut d'État membre à part entière des Nations Unies. Cette décision marque une étape cruciale dans la quête de longue date des Palestiniens pour une reconnaissance internationale.
Michael Saylor, président de MicroStrategy, estime que le chaos géopolitique actuel est bénéfique pour le Bitcoin, et ce malgré les lourdes pertes essuyées par sa société. Une perspective qui ne fait pas l'unanimité sur les réseaux sociaux.
La tension monte au Moyen-Orient alors que l'Iran brandit la menace d'une fermeture du détroit d'Ormuz, voie maritime vitale pour l'approvisionnement mondial en pétrole. Cette escalade géopolitique pourrait avoir des conséquences majeures sur l'économie globale et les cours de l'or noir.
Le présentateur américain Tucker Carlson crée la surprise en annonçant une prochaine interview exclusive avec le président russe Vladimir Poutine. Connue pour ses positions controversées, la personnalité médiatique compte diffuser l'entretien via la plateforme X, dont le patron Elon Musk soutient l'initiative.
Au Forum économique mondial de Davos en 2024, la Chine a fait une démonstration de force économique qui a ébranlé les fondements des prévisions occidentales. Avec une croissance économique annoncée à 5,2 %, surpassant l'objectif de 5 % fixé par le gouvernement, la Chine a non seulement défendu sa position de puissance économique globale mais a aussi lancé un défi implicite aux modèles économiques occidentaux.
Le Forum économique mondial de Davos bat son plein pour cette 54ème édition. Réunissant les grands dirigeants politiques, économiques et intellectuels du monde entier, ce sommet annuel vise à discuter des défis globaux actuels et à trouver des solutions communes.
Les BRICS ont coopté plusieurs pays cette année. Un moment géopolitique historique qui devrait se poursuivre en 2024. Un officiel du groupe de pays a révélé que six nouveaux pays vont intégrer l’organisation l’année prochaine.
Au cours des dernières décennies, de nombreux analystes ont fait valoir que le monde se dirigeait vers une forme de multipolarité géopolitique. On voit, en effet, plusieurs pays vouloir jouer un rôle plus important sur la scène politique internationale aux côtés d’acteurs traditionnels comme les États-Unis. Cette tendance ne serait pas profitable pour la crypto. Voici pourquoi.
Entre le tumulte et le déchirement d’un conflit ancien et persistant, le monde observe, souvent impuissant, la dévastation au Proche-Orient. Cependant, dans ce tourbillon de tragédies et de violences, le Bitcoin demeure un roc apparemment inébranlable, dont la résilience interpelle autant qu’elle étonne.
Dernièrement, pas moins de 6 pays ont rejoint les BRICS dans ce qu’on appelle désormais les BRICS+. L’organisation a rejeté les demandes d’adhésion de certains pays. Elle semble faire un appel du pied à d’autres. C’est le cas de l’Indonésie.
Le 15e sommet des BRICS s’est clôturé, jeudi 24 août, avec une grande nouvelle. Celle de la création des BRICS+. Une version élargie du nombre de membres de l’organisation. Des membres qui comptent dans leur rang, plusieurs des plus gros fournisseurs de brut du monde. La géopolitique globale n'est potentiellement plus la même.
Les BRICS sont au cœur de l’actualité géopolitique et géostratégique globale. Depuis mardi, les pays membres de cette organisation sont réunis à Johannesburg dans le cadre du sommet de l’alliance. Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie russe, s’est exprimé sur la raison d’être de l’organisation, quelques heures avant l’ouverture du sommet.