FTX

Le dossier de faille de FTX déposé au tribunal du Delaware indique que la société souhaite vendre quatre de ses entreprises filiales. Alors que l’effondrement de l’exchange a entraîné un effet de cascade sur plusieurs entreprises, il souhaite limiter les dégâts. La vente rapide des entreprises Embed Financial Technologies, LedgerX, FTX Japan et FTX Europe peut les soustraire des problèmes juridiques de FTX. D’autant plus que ces filiales ont encore de la valeur. Si le tribunal donne son feu vert, la procédure de vente peut commencer au début de la nouvelle année.

Après la faillite de FTX, Sam Bankman-Fried s’est plusieurs fois excusé auprès des clients de l’exchange. Toutefois, il a nié toute responsabilité pénale dans cette affaire, tout en reconnaissant que l’entreprise crypto avait plusieurs défaillances. Alors que les investisseurs craignaient que SBF s’en sorte indemne, les autorités des Bahamas l’ont arrêté. Voici ce qui s’est passé ensuite.

Scandale FTX oblige, les autorités des marchés financiers américaines musclent leur jeu. Après les CSA canadiens, la SEC américaine hausse également le ton. Sale temps pour les casin

Que de rebondissements dans la saga FTX ! De nouvelles révélations viennent suggérer que Sam Bankman-Fried était sur le point de commettre d’autres malversations après l’effondrement de FTX. Elles pourraient fortement aggraver la mésentente actuelle entre les responsables de la restructuration de FTX aux États-Unis et les autorités des Bahamas.

Sam Bankman-Fried aurait tenté de déstabiliser le marché de la crypto dans une tentative désespérée de sauver FTX.

Selon CREW, Sam Bankman-Fried aurait fait des dons secrets au parti républicain GOP. Une démarche considérée comme illégale !

Les crises qui s'enchaînent dans l’écosystème crypto poussent les régulateurs à prendre des mesures drastiques. Après des débats controversés, les Autorités canadiennes de réglementation des valeurs mobilières décident de prendre les choses en main et de protéger les investisseurs. Pour cela, de nouvelles règles s’imposent !

Depuis le début du mois de novembre, l’affaire FTX est toujours aussi présente dans les mémoires. Dans les médias, de nombreuses personnalités ont donné leurs points de vue sur la question, la majorité attribuant la responsabilité de ce fiasco à l’équipe dirigeante de l’entreprise, en l’occurrence Sam Bankman-Fried. Pour sa part, David Schwartz, le CTO de Ripple, s’est récemment lancé dans un exercice d’autopsie de FTX. Il a retenu trois points majeurs qui auraient conduit l’exchange de cryptos à la faillite.

Mike McCaffrey a annoncé qu'il quitte son poste de PDG du site d'information The Block. Dans un fil Twitter, il admet avoir secrètement reçu 27 millions de dollars d'investissements du tristement célèbre Sam Bankman-Fried (SBF). Le nouveau PDG, Bobby Moran, a déclaré qu'il n'y avait aucune preuve que Mike McCaffrey avait influencé "de manière inappropriée" la couverture de Sam Bankman-Fried, FTX ou Alameda Research sur le site d'information.

SBF de FTX serait un escroc comparable à Bernie Madoff. Telle est l’avis de CK Zheng, fondateur des fonds spéculatifs ZX Squared Capital.

Brian Armstrong, PDG de Coinbase, a déclaré que le chiffre d’affaires de la société sera réduit de moitié par rapport à l’année dernière. Il n’a pas manqué de faire cette remarque en qualifiant FTX de mauvais acteur dans l’industrie crypto.

Les sénateurs américains font de plus en plus pression sur les régulateurs financiers afin que ceux-ci élucident l’affaire FTX. Ils souhaitent avoir des réponses claires aux nombreuses préoccupations que l’effondrement de l’exchange a soulevées. Le 7 décembre, les sénatrices Elizabeth Warren et Tina Smith ont envoyé une lettre aux régulateurs financiers pour leur soumettre une requête spéciale.

Si SBF estime que CZ est le seul gagnant dans l'effondrement de FTX, ce dernier a répondu par ceci : « personne n'a gagné ».

Mark Yusko est le PDG et le fondateur de la société Morgan Creek Capital Management qui offre des services de conseiller en placement. Il a été interviewé le 2 décembre passé par Michelle Makori qui est la présentatrice principale et la rédactrice en chef de Kitco. Durant l’entrevue, Yusko est revenu sur l’affaire FTX et a fait des révélations plus ou moins intrigantes au sujet du rôle qu’aurait joué SBF.

Ritchie Torres est un membre de la Commission des services financiers de la Chambre des représentants. Il y a quelques mois, il a rédigé une lettre signalant les agissements de la SEC dans l’industrie crypto. Plus récemment, il a soumis une requête spéciale au Government Accountability Office (GAO). Une sorte d'organisme de surveillance du Congrès. Découvrez la nouvelle lettre de Torres sur l’effondrement de FTX et la responsabilité de la SEC dans cette affaire.

FTX et Alameda Research auraient causé la chute de Terra par des opérations de manipulation des prix de TerraUSD (UST) et Luna en mai dernier.

Daniela Cambone, rédactrice en chef et présentatrice de Stansberry Research, et Darcy Daubaras, directeur financier de HIVE, ont interviewé plusieurs acteurs crypto, le 2 décembre dernier. Parmi ceux-ci, on retrouve Mike McGlone, le célèbre stratège de Bloomberg Intelligence. Durant son intervention, McGlone a notamment parlé du marché baissier.

L’effondrement de FTX a ébranlé toutes les économies, y compris celle de l’Angleterre. En effet, depuis la chute de la deuxième plateforme d'échanges crypto, plusieurs mesures ont été prises pour éviter qu’une telle catastrophe ne se reproduise. Ainsi, le Royaume-Uni a opté pour un plan de réglementation plus efficace et plus stricte de l’industrie. À travers celui-ci, le gouvernement entend superviser, restreindre, contrôler et même enquêter sur l’ensemble des activités des sociétés de crypto exerçant sur le sol britannique.  

Pour de nombreux membres de la communauté crypto, Sam Bankman-Fried est le véritable responsable de la faillite FTX, mais l’ancien PDG ne cesse d’affirmer qu’il ne sait pas lui-même ce qui s’est passé. Au fur et à mesure qu’il se défend, il fait des révélations qui surprennent la communauté crypto. Parallèlement, on remarque toute l’étendue des liens qui existaient entre les deux entreprises crypto de SBF, Alameda Research et FTX.

Elon Musk, qui ne cache même plus son dédain pour le milliardaire en crypto déchu, alternait des tweets moins sympathiques le concernant dernièrement.

Lorsqu’il a pris la tête de l’exchange FTX après le dépôt de bilan, John J. Ray III s’est dit ravi de la bonne santé des finances de certaines entreprises de l’écosystème. Il avait évoqué la vente de celles-ci, afin de mobiliser des fonds pour rembourser les créanciers et les investisseurs. Parmi elles, il y a LedgerX. C’est une bourse de contrats à terme et d'options sur devises numériques, réglementée par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC). C’est surtout l’une des rares entreprises solvables de l’empire de Sam Bankman-Fried. Elle est rentrée dans l’escarcelle de FTX en octobre 2021.

En novembre, l’exchange de cryptos, FTX a déposé s’est mis sous la protection du chapitre 11 aux Etats-Unis. Une autre grande société de crypto, BlockFi a également annoncé sa faillite la semaine dernière, à la suite d'autres sociétés comme Celsius Network et Voyager Digital. Pour Joe Lonsdale, c’est le début d’un effondrement de masse, qui emmènera avec lui la majorité des acteurs de l’industrie. Décryptage.

Alors que la cryptosphère ne s’est pas encore remise de la faillite de FTX, on apprend que l’ancien responsable de la filiale américaine de l’exchange a un autre projet d’entreprise. Brett Harrison se serait déjà adressé à au moins un capital-risqueur pour réaliser son projet. Voici ce qu’il en est.

Depuis, l’effondrement de l’exchange de cryptomonnaies FTX, la notion de preuve de réserve a le vent en poupe. De nombreux exchanges ont annoncé leur intention de présenter une preuve de réserve au public. Certains ont même déjà publié leurs PoR pour rassurer les utilisateurs quant à leur solvabilité. Plusieurs acteurs crypto ont annoncé que la preuve de réserve est un gage de confiance et que toutes les entreprises du secteur devraient en élaborer. Mais, voilà qu’un analyste crypto remet totalement en question la fiabilité de ce document.

L’implosion soudaine de FTX continue de ravager les systèmes dépendant de la crypto. Parmi les pays touchés, la Corée du Nord se montre plus vulnérable, selon Troy Stangarone. Cet analyste, directeur principal du Korea Economic Institute of America, a expliqué les implications de l’effondrement de FTX sur les activités de hacks de crypto menées par le régime de Kim Jong Un. La Corée du Nord se livre à des braquages de crypto depuis son adoption de la politique zéro-covid.

L’exchange en faillite FTX suit une procédure de redressement judiciaire dans l’État du Delaware aux États-Unis. Pendant ce temps, son ancien PDG Sam Bankman-Fried a passé un entretien téléphonique avec Axios. Lors de l’entrevue qui a eu lieu le lundi soir, le fondateur d’Alameda Research a parlé de l’état de ses finances. Il a également suggéré que l’effondrement de l’exchange de cryptos FTX aurait pu être évité.

L’effondrement de l’exchange FTX impacte non seulement l’univers crypto mais également celui de la cinématographie. Après qu’Apple ait déclaré vouloir acheter les droits du livre de Michael Lewis retraçant l’histoire de Sam Bankman-Fried, aujourd’hui c’est au tour d’Amazon de s’y mettre. Le conglomérat technologique se rend compte de l’engouement du public pour cette histoire. Il a fait alors appel à des célèbres réalisateurs des Avengers pour donner vie à la mini-série sur FTX.

Depuis un mois, la plateforme FTX navigue en eau trouble. L’exchange crypto ne s’est jamais remis de la mauvaise gestion de ses dirigeants, qui auraient investi l’argent des clients sur un nouveau projet nommé Alameda. Un mauvais placement aux lourdes conséquences, puisque dans la foulée, le géant aux pieds d’agile va faire faillite.  L'ex-PDG de FTX est justement invité à se prononcer sur la raison de ce fiasco devant les services financiers du Parlement. Avant même son intervention, il aurait déjà convaincu Maxine Waters, présidente des services financiers au Parlement, par sa franchise lors du crash de son entreprise.