« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
« America First » rugit Trump, martelant taxes et forages comme une rengaine. Le Green New Deal expire, l’économie tremble, l’euro s’interroge.
Dans un contexte géopolitique particulièrement tendu, le Forum économique mondial 2025 s'est ouvert hier à Davos, en Suisse. Cette 54e édition réunit plus de 3 000 dirigeants mondiaux pour aborder les défis majeurs de notre époque, dans un climat marqué par le retour de Donald Trump à la présidence américaine.
Bayrou, prophète inquiet, dépeint une Europe spectatrice d’un dollar conquérant et d’un Trump martial, broyant nos rêves d’indépendance. L’heure n’est plus au déni : place au sursaut.
Du 31 janvier au 2 février 2025, Alephium, blockchain de nouvelle génération, s’invite à CryptoXR, la deuxième plus grande conférence crypto en France, pour organiser un hackathon d’envergure en partenariat avec LSW3 (Ligue pour la Sécurité du Web3). Cet événement promet de faire d’Auxerre la capitale française du Web3, attirant plus de 3 000 visiteurs, 70 intervenants et des projets novateurs.
Quand Trump se pose, les cryptos explosent : Bitcoin flirte avec 108K, Ethereum rebondit, Ripple éclate. Un marché en transe ou une bulle qui danse ?
La notion de richesse est complexe à cerner, car elle varie selon les contextes sociaux, économiques et culturels. Pourtant, elle provoque un intérêt constant dans les débats publics. À partir de quel montant peut-on être qualifié de riche ? Une récente étude, fondée sur des données de la Banque de France et les critères de l'Observatoire des inégalités, apporte un éclairage précis. Elle fixe ce seuil à 555 000 euros de patrimoine net, bien loin des images de luxe extrême souvent associées à la richesse. En effet, ce chiffre, qui concerne environ 20 % des ménages français, pose des questions essentielles sur la répartition des patrimoines et les inégalités sociales. Comment cette définition influe-t-elle sur notre perception de la richesse ? Et quelles en sont les implications pour les politiques publiques et la justice sociale ?
Dans un monde où l’énergie façonne les rapports de force géopolitiques, la crise qui frappe Gazprom révèle les fractures d’un géant autrefois inébranlable. Pilier de l’économie russe et instrument stratégique du Kremlin, le groupe est confronté à une chute brutale de ses revenus, aggravée par la perte de ses marchés européens et des sanctions internationales. Désormais contraint de réduire ses effectifs de manière historique, Gazprom se retrouve à une étape décisive, où ses choix stratégiques détermineront son avenir, mais aussi celui de l’économie russe.
Les États-Unis font face à un déficit budgétaire historique, qui atteint 711 milliards de dollars en seulement trois mois, soit une hausse de 39 % par rapport à l’année précédente. Cette explosion des dépenses publiques, couplée à une baisse des recettes fiscales, met à rude épreuve les finances fédérales. Donald Trump, sur le point de retrouver la Maison-Blanche, devra concilier ses promesses de baisse d’impôts avec la nécessité de contenir la dette. Pour l’y aider, Elon Musk a été placé à la tête d’une commission dédiée à l’efficacité gouvernementale. Son ambition : réduire les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars, même si un objectif à moitié atteint serait déjà un « super résultat ». Entre rigueur budgétaire et impératifs économiques, la future administration se retrouve face à une équation périlleuse, où chaque décision pourrait redéfinir l’équilibre financier du pays.
Les relations économiques mondiales évoluent sous l’effet des tensions géopolitiques et des repositionnements stratégiques des grandes puissances. Dans ce contexte, la Chine et la Russie consolident leur partenariat commercial, qui atteint un record historique de 240 milliards d’euros en 2024. Cet essor illustre un rapprochement stratégique renforcé par les sanctions occidentales contre Moscou et la volonté de Pékin d’étendre son influence. Plus qu’une simple alliance économique, cette coopération envoie un signal clair aux États-Unis et à l’Union européenne, qui cherchent à limiter leur ascendant sur la scène mondiale. Ainsi, l’essor des flux commerciaux, l’usage accru du yuan dans les transactions et la restructuration des circuits financiers internationaux posent désormais la question des conséquences à long terme de cette entente sino-russe.
En fin de cette année, le 3 décembre 2024, Agartha, incubateur suisse dédié aux startups Web3, et SwissBorg, leader dans la gestion d’actifs numériques, ont marqué les esprits en organisant un événement phare : la Crypto Village X-Mas Édition.
Le paysage économique mondial, longtemps dominé par les puissances occidentales et soutenu par la prééminence du dollar, semble à l’aube d’un changement. Face à un système financier centralisé autour des États-Unis et de l’Europe, de nombreuses nations expriment une volonté croissante de se tourner vers des alternatives. Cette tendance s’accélère avec l’annonce récente : plus de vingt pays, issus de plusieurs continents, ont officiellement déposé leur candidature pour rejoindre les BRICS en 2025. Si ce projet aboutit, l’élargissement du bloc formé pourrait renforcer son poids économique, mais également redéfinir l’équilibre des pouvoirs à l’échelle mondiale.
Les innovations techniques, l’essor des nouveaux protocoles et l’intérêt croissant des institutions ont posé les jalons d’une finance décentralisée (DeFi) en pleine ébullition. Au cœur de ce tourbillon, Bitcoin tire son épingle du jeu grâce à son statut de « valeur sûre » du secteur. Pourtant, son potentiel reste encore sous-exploité dans le domaine DeFi. En 2025, cette dynamique pourrait changer. Les experts sont unanimes : la finance décentralisée native du Bitcoin a tout pour devenir un phénomène majeur.
Tandis que Los Angeles suffoque sous un brasier, The Giving Block allume la flamme de l’espoir : crypto-dons rapides, généreux et fiscalement avantageux. Un miracle moderne au goût numérique.
Les marchés financiers détestent l'incertitude, pourtant l’économie mondiale entre dans une période d’instabilité. À l’aube de 2025, les craintes de ralentissement économique, les tensions inflationnistes et les incertitudes politiques se multiplient. Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), alerte sur des « vents contraires » et des « divergences » qui menacent l’équilibre économique mondial. L’Europe s’essouffle, les États-Unis surprennent par leur résilience, la Chine affronte une pression déflationniste, et le Brésil lutte contre l’inflation. Derrière ces disparités, un autre facteur préoccupe : l’érosion des investissements dans l’éducation freine l’innovation et la croissance à long terme. Alors que le FMI s’apprête à publier son rapport actualisé, une question demeure : ces fractures économiques creusent-elles un fossé irréversible ou préfigurent-elles un nouvel ordre mondial ?
À Los Angeles, les incendies dansent. Portefeuilles brûlés, clés privées oubliées, les fortunes numériques s’effacent, emportant rêves et cryptos dans l’oubli d’un brasier apocalyptique.
La dette française suscite aujourd’hui de vives inquiétudes. La flambée du taux à dix ans, qui a récemment frôlé les 3,4 %, illustre les défis colossaux auxquels fait face le gouvernement. D’un côté, le ministre de l’Économie, Éric Lombard, doit composer avec une charge d’intérêt galopante. De l’autre, la prime de risque, frôlant les 90 points de base, vient rappeler que l’écart se creuse peu à peu avec l’Allemagne et se rapproche dangereusement de l’Italie.
Une nouvelle ère semble s’ouvrir pour les conseillers financiers américains. Selon une récente enquête menée par Bitwise, 56 % d’entre eux se disent plus enclins à investir dans les crypto-monnaies après la victoire de Donald Trump. Un tel engouement intrigue autant qu’il fascine, surtout lorsqu’on sait que les marchés crypto évoluent à la vitesse de l’éclair. Certains professionnels y voient un vent favorable, prêt à propulser la finance traditionnelle vers de nouveaux horizons. D’autres, plus prudents, y décèlent un terrain encore semé d’incertitudes. Toutefois, une chose est sûre : les dynamiques autour du Bitcoin et des autres actifs numériques ne cessent de se renforcer.
La blockchain Cardano et le légendaire club de football FC Barcelone viennent d'officialiser un partenariat stratégique visant à transformer l'expérience des supporters. Cette alliance historique entre la technologie blockchain et l'un des plus grands clubs de football au monde promet de redéfinir l'engagement des fans à travers des initiatives Web3 innovantes.
Les investisseurs surveillent de près le XRP, altcoin qui a déjà connu une envolée spectaculaire. Sa récente consolidation laisse entrevoir un possible mouvement violent, surtout si les indicateurs techniques continuent de pointer vers une rupture au-dessus de la résistance actuelle. Au-delà des simples fluctuations de prix, l’optimisme grandit quant à une éventuelle percée au-dessus de 2,90 $.
Le 7 janvier, la politique canadienne a connu un séisme : Justin Trudeau, au pouvoir depuis 2015, a annoncé sa démission suite au départ abrupt de sa ministre des Finances, Chrystia Freeland. Depuis, tous les regards se tournent vers Pierre Poilievre, le leader du Parti conservateur, dont la popularité monte en flèche à l’approche des élections du 20 octobre. Parmi ses soutiens, un milliardaire a fait sensation : Elon Musk, l’emblématique PDG de Tesla et SpaceX, a encensé ses déclarations sur l’inflation et la responsabilité budgétaire.
Binance, la plus grande plateforme d’échange crypto au monde, a récemment publié son rapport de fin d’année 2024, révélant des chiffres impressionnants. Parmi les faits marquants, la société a annoncé avoir franchi le seuil des 250 millions d’utilisateurs enregistrés, confirmant ainsi sa position dominante dans le secteur des actifs numériques. Voici les innovations qui ont rendu cela possible…
Le monde de la crypto évolue à une vitesse vertigineuse. Même les collaborations les plus prometteuses ne garantissent pas toujours une hausse immédiate des prix. C’est exactement ce que l’on observe avec Ripple et Chainlink, dont le partenariat n’a pas empêché leurs jetons, XRP et LINK, de reculer subitement.
Le Bitcoin gagne du terrain à travers le monde. Pourtant, l’idée de voir cette crypto-monnaie apparaître dans les coffres d’une banque centrale peut sembler folle. C’est pourtant le scénario évoqué par Aleš Michl, gouverneur de la Banque nationale tchèque, qui envisage de diversifier ses réserves grâce à Bitcoin. Pourquoi une telle audace ? Découvrons-le.
L'Indonésie, première économie d'Asie du Sud-Est, vient d'intégrer officiellement le bloc des BRICS en janvier 2025, marquant ainsi un tournant majeur dans la reconfiguration des alliances économiques mondiales. Cette adhésion renforce significativement le poids du groupe, qui représente désormais plus de 51% de la population mondiale et 40% du PIB global.
Au cœur du vieux continent, l’Union européenne fait un pas décisif vers l’avenir crypto. L’entrée en vigueur du cadre réglementaire MiCA, tant attendue, souffle un vent de renouveau sur l’industrie crypto. Les acteurs du secteur saluent cette avancée, tout en redoutant un possible excès de zèle administratif. Pourtant, malgré ces craintes légitimes, l’optimisme demeure. Les investisseurs institutionnels se préparent à injecter des capitaux frais. Dans le même temps, les gouvernements peaufinent leurs stratégies de surveillance. La tension est palpable, mais MiCA promet, à long terme, de solidifier l’essor des cryptomonnaies en Europe.
Le Bitcoin ne cesse de déchaîner les passions. Hier encore, franchir la barre des 100 000 dollars relevait de l’utopie, et pourtant, la crypto phare démontre une fois de plus qu’elle n’a pas fini de surprendre. Si certains traders envisagent désormais un objectif autour de 138 000 dollars, d’autres soulignent un retour inattendu de la « prime Coinbase » à un niveau neutre. Faut-il y voir l’amorce d’une nouvelle flambée ou un simple répit avant la tempête ?
La fortune de Bernard Arnault, magnat français du luxe et PDG de LVMH Moet Hennessy Louis Vuitton, a subi un coup dur en 2024, perdant 31,9 milliards de dollars en une seule année suite à la chute des cours en bourse.
La crypto traverse une période charnière, et les analystes du secteur retiennent leur souffle. Un signal historique, observé seulement deux fois au cours des huit dernières années, semble indiquer une altseason imminente. Pour les investisseurs et passionnés de crypto, cette nouvelle pourrait bien redéfinir les opportunités à court terme.
Les réseaux sociaux sont devenus bien plus que de simples plateformes d’échange. Ils sont aujourd’hui le terrain d’un affrontement idéologique entre liberté d’expression, modération des contenus et engagement des utilisateurs. Chaque modification des règles qui régissent ces espaces numériques déclenche des débats passionnés, et X (anciennement Twitter) ne fait pas exception. Elon Musk a annoncé il y a peu une refonte de l’algorithme de X, qui vise à privilégier les contenus éducatifs et informatifs au détriment de ceux jugés trop négatifs. Selon lui, cette mise à jour répond à un problème central : certaines publications encouragent une consommation excessive du réseau social sans réellement enrichir l’expérience des utilisateurs. Toutefois, cette décision a rapidement provoqué des critiques. De nombreux utilisateurs dénoncent un risque de contrôle de l’information et s’interrogent sur les critères qui définiront la « négativité ». Certains y voient une forme de censure masquée, tandis que d’autres considèrent ce changement comme une tentative d’influencer la manière dont les débats s’organisent sur la plateforme.
Adieu gazoduc, adieu pactole : sous les bombes, Kiev souffle un vent glacial qui éteint les fourneaux russes et chauffe l’Europe d’embarras.