Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Une rivière d’euros tarie, une forteresse financière ébranlée : la Bundesbank vacille, son or s’évapore, tandis que Merz hérite d’un trône sans trésor, d’un royaume en doute.
Un conseiller de la Banque Centrale Européenne (BCE), Jürgen Schaaf, a récemment réaffirmé la position critique de l’institution à l’égard du bitcoin, déclarant qu’il n’y a « pas de véritable nécessité économique » pour cette cryptomonnaie. Selon Schaaf, contrairement aux réserves stratégiques de matières premières comme le pétrole ou le gaz, le BTC ne présente pas d’utilité économique réelle ni d’usage pertinent.
Les institutions financières du monde entier scrutent la technologie blockchain, et oscillent entre scepticisme et opportunisme. En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE), après des années d’analyse, franchit un cap à travers l’annonce d’un projet de règlement interbancaire basé sur la blockchain. Cette initiative, qui vise à permettre aux banques de régler leurs transactions en monnaie de banque centrale sur une infrastructure blockchain, pourrait marquer un virage décisif dans la modernisation des paiements en Europe.
Les économies européennes font face à une réalité inquiétante : une dette publique qui ne cesse de grimper. Alors que la stabilité budgétaire est censée être une priorité pour les gouvernements, plusieurs pays de l’Union européenne affichent désormais des niveaux d’endettement qui dépassent largement les 100 % de leur PIB. Cette situation provoque des interrogations sur les risques macroéconomiques et les conséquences potentielles pour les marchés financiers.
L’intégration du bitcoin dans les réserves des banques centrales divise profondément les acteurs économiques. D’un côté, certains gouverneurs prônent une diversification des actifs pour adapter les stratégies monétaires à un monde en mutation. De l’autre, la Banque centrale européenne (BCE) campe sur une ligne stricte, et rejette fermement toute légitimité du bitcoin en tant que réserve de valeur. Ce débat vient de prendre une nouvelle dimension après les déclarations de Christine Lagarde. Interrogée lors d’une conférence de presse, la présidente de la BCE a coupé court aux spéculations et affirme que le bitcoin ne répondait à aucun des critères requis pour figurer dans les réserves des banques centrales : « liquides, sûres et sécurisées ». Une prise de position qui contraste avec celle du gouverneur de la Banque nationale tchèque, Aleš Michl, ouvert à l’idée d’explorer de nouvelles classes d’actifs. Cette divergence croissante illustre la fracture entre une approche conservatrice du système financier et une vision plus pragmatique, portée par certains décideurs qui cherchent à anticiper les transformations monétaires à venir.
L'interdiction des monnaies numériques de banque centrale (MNBC ou CBDC) aux États-Unis par Donald Trump bouleverse la dynamique mondiale des projets de devises numériques étatiques. Cette décision historique soulève des questions sur l'avenir des CBDC, particulièrement en Europe où la BCE maintient son cap vers l'euro numérique.
Les relations transatlantiques traversent une période de vives tensions, marquée par le retour de Donald Trump à la présidence américaine. Dans ce contexte, Isabel Schnabel, membre éminente du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a tiré la sonnette d’alarme. Elle affirme qu’une guerre commerciale entre l’Union européenne et les États-Unis est « très probable », en raison des politiques protectionnistes déjà annoncées par l’administration américaine. Si ces mesures, dont des droits de douane élevés sur les importations européennes, venaient à se concrétiser, elles pourraient déstabiliser l’économie mondiale. Cette menace, qui cible particulièrement les secteurs clés en zone euro, pose des enjeux capitaux pour l’avenir des relations économiques internationales.
L’inflation en zone euro continue de faire l’objet d’une attention particulière, alors que les marchés scrutent la publication des chiffres de décembre. Selon les estimations de FactSet, la hausse des prix à la consommation devrait atteindre 2,4 % sur un an, contre 2,2 % en novembre. Cette progression, bien que modérée, provoque des interrogations sur la trajectoire que la Banque centrale européenne (BCE) s’apprête à emprunter. D’un côté, certains investisseurs misent sur un assouplissement monétaire rapide, convaincus que l’inflation reviendra progressivement vers l’objectif des 2 % fixé par la BCE. De l’autre, la durabilité d’une inflation sous-jacente à 2,7 %, alimentée par la hausse des prix des services et des produits alimentaires, incite la banque centrale à la prudence. Alors que la BCE doit tenir sa première réunion de l’année le 30 janvier, l’équilibre entre soutien à l’économie et contrôle des prix s’annonce particulièrement délicat.
L’économie européenne traverse une période d’instabilité où les tensions géopolitiques se mêlent à un ralentissement marqué de la croissance. Dans ce contexte incertain, la Banque centrale européenne (BCE) se retrouve confrontée à un défi majeur : concilier la nécessité de contenir l'inflation avec l'urgence de relancer une économie fragilisée. Pour répondre à ces enjeux, l’institution dirigée par Christine Lagarde a annoncé une nouvelle réduction de son taux directeur, abaissé de 25 points de base à 3 %. Cette décision, la troisième de ce type en six mois, reflète une approche graduelle et prudente. Toutefois, ce choix déclenche des critiques. Alors que certains saluent la continuité de cette politique, d’autres pointent du doigt un manque d’audace, et considèrent même que des mesures plus ambitieuses seraient nécessaires pour stimuler la consommation et l’investissement.
Découvrez les aspects cachés du projet d'euro numérique de la BCE, prévu pour 2025, et ses implications pour l'avenir.
L'introduction de l'euro numérique provoque une confrontation majeure entre la Banque Centrale Européenne et les États membres de l'UE. Au cœur de cette bataille : le contrôle d'un nouvel instrument monétaire qui pourrait bouleverser l'équilibre des pouvoirs financiers en Europe. Neuf pays, dont la France et l'Allemagne, s'opposent déjà ouvertement aux ambitions de Francfort.
La BCE mord le Bitcoin : un rapport mordant, des critiques écorchées et une guerre d'intérêts bien sentie en coulisses.
Le déficit français explose ! Une commission d'enquête parlementaire se penche sur les causes de ce dérapage. Alors que la France semble s'enfoncer dans une spirale d'endettement sans précédent, Macron apparaît comme l’unique responsable de cette ruine.
La Banque Centrale Européenne (BCE) a récemment publié un rapport controversé sur le Bitcoin, suscitant de vives réactions dans la communauté crypto. L'institution affirme que les premiers détenteurs de la crypto profiteraient des nouveaux arrivants, appelant à une régulation stricte, voire à son interdiction.
Tandis que le Livret A se ramollit, la BCE ajuste ses lunettes. Verdict en 2025 : ça va piquer !
L'ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, vient de livrer un rapport crucial sur l'avenir de l’économie de l'Union européenne. Ce document, attendu par les observateurs, dresse un constat alarmant et propose des solutions audacieuses pour redynamiser la compétitivité du Vieux Continent.
La banque centrale européenne a de nouveau abaissé son taux directeur. L'augmentation de la masse monétaire va de nouveau accélérer. De bon augure pour le bitcoin.
L’inflation continue de reculer dans la zone euro, ouvrant la porte à de nouvelles baisses. De bon augure pour le bitcoin.
Tous les regards étaient tournés vers Jackson Hole, où Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine, a prononcé son discours annuel très attendu dans le monde des affaires. Les paroles de Powell ont indiqué une nouvelle direction dans les mois à venir : la baisse des taux, après 2 ans d’austérité monétaire. Une telle décision pourrait emmener les marchés vers de nouveaux sommets !
Les Allemands sont sceptiques face à l'euro numérique crypto ! Voici les mesures de la BCE pour les rassurer.
Le déclin du cash et des DAB en France ouvre la voie aux cryptos, malgré les ambitions de la BCE avec l’euro numérique.
Dans un contexte financier en évolution rapide où la crypto gagne en importance, la Banque centrale européenne (BCE) se positionne à l'avant-garde de l'innovation. L'institution pivot de la zone euro intensifie ses recherches sur la technologie blockchain pour le développement de sa monnaie numérique de banque centrale (CBDC).
La BCE doit gérer les incertitudes politiques et économiques pour ajuster les taux d'intérêt et satisfaire les investisseurs européens.
L’Arabie saoudite a rejoint le projet de nouveau système de paiement international mBridge. Un pas de plus vers la fin du pétrodollar et le bitcoin...
La BCE a publié son rapport annuel sur le rang international de l’euro. Sera-t-il bientôt en concurrence avec le bitcoin dans les réserves de change ?
Le nouveau Parlement européen sort le tapis rouge pour les cryptomonnaies.
La dissolution de l'Assemblée nationale fait souffler un air de grande incertitude sur les marchés. En une semaine, le CAC 40 a décroché de près de 7 % pour effacer ses gains depuis le 1er janvier. De son côté, le CAC pour les petites capitalisations a chuté de près de 11 %.
La BCE a rendu sa décision : les taux baisseront de 25 points de base. Une baisse inédite depuis plus de 8 ans.
La transition vers l’euro numérique de la BCE vise à endiguer le phénomène crypto et la diminution de l’utilisation des espèces.
La Banque centrale européenne vient d'entamer la baisse des taux. De très bon augure pour le bitcoin.