Le sénateur républicain Pat Joseph Toomey s’est joint au représentant de la Caroline du Nord Patrick Timothy McHenry pour faire un rappel à l’ordre à la SEC.
Aux États-Unis, la Commission and Exchanges travaille à une meilleure régulation de l’industrie des cryptos. Ces dernières années, elle s’est engagée dans un grand nombre de bras de fer contre des acteurs du secteur. Elle enquêtait notamment sur LBRY depuis 2016 et a finalement engagé des poursuites contre la start-up. Un juge du tribunal de New Hampshire vient de sonner le glas de cette affaire.
Silk Road a été une plateforme d’envergure via laquelle on pouvait se procurer des articles et des services illégaux. Les utilisateurs pouvaient y effectuer leurs achats sur le dark web, dans l’anonymat. Dans ces conditions, la plateforme ne pouvait pas se servir des méthodes bancaires classiques. Elle avait donc décidé d’autoriser les paiements en bitcoins. Finalement, les autorités américaines ont procédé à la fermeture de Silk Road. Ensuite, le 9 novembre 2021, elles ont fait perquisitionner le domicile d’un homme appelé James Zhong. Les forces de l’ordre ont réussi à y saisir 50 676,178 518 97 BTC. À l’époque, il s’agissait de la plus grande saisie de cryptos réalisée par le ministère américain de la Justice. James Zhong a été accusé de fraude électronique commise en septembre 2012.
L'Internal Revenue Service (IRS) est l'agence du gouvernement fédéral des États-Unis qui collecte l'impôt sur le revenu et des taxes diverses sur l'emploi, l’impôt sur les sociétés et les successions notamment. Elle est chargée de faire respecter les lois fiscales concernant le budget fédéral des États-Unis. Face à la flambée des violations des normes fiscales, par le biais des cryptos, elle a créé en 2021 un Bureau afin de centraliser ses efforts en matière d'enquêtes sur les actifs numériques. Les prérogatives du Bureau sont élargies à la cybercriminalité, à la criminalistique numérique et au soutien à la criminalistique physique. Le Bureau travaille actuellement sur des centaines de dossiers de fraudes fiscales, menées par le biais des cryptos.
La plateforme Binance aurait-elle aidé l’Iran à profiter du système financier mondial malgré les sanctions américaines ? Telle est la question que se posent les analystes aujourd’hui, alors que des rumeurs d’une collaboration entre l’exchange et le pays font écho. Selon les informations en notre possession attestent que Binance aurait facilité de nombreuses transactions iraniennes. Plus grave encore, cette assistance durerait depuis 2018 et près de 8milliards de dollars de transactions aurait été traité. Ce sont les données de la blockchain qui permettent d’avoir ces chiffres assez hallucinants.
Les démocrates et les républicains soutiennent que la crypto représente l’avenir de la finance. Source : Grayscale Investments et Harris Poll.
Âge de 27 ans, Jay Mazini est un influenceur Instagram, originaire du New Jersey. Il est connu pour mener une vie de luxe et offrir des cadeaux en espèces aux inconnus. Mais, le résident d’Edgewater a été récemment accusé de fraude électronique et de tentative de blanchiment d’argent. Voici ce qui s’est passé.
Metaverse : La star de la NBA Stephen Curry a déposé une demande de protection de la marque « Curryverse » le 26 octobre dernier.
Mort dans des circonstances troubles de Nikolai Muchgian, co-fondateur de MakerDAO à l'origine du stablecoin DAI. Il était âgé de 29 ans.
Les élections générales battent leur plein aux Etats-Unis. Alors que les candidats s’affrontent sans relâche, les dons en crypto pleuvent et changent la donne. Mais si l’industrie semble avoir une place prépondérante dans ces campagnes, une question demeure : les cryptos pourraient-elles acheter un siège au Congrès ? Rien n’est impossible quand Sam Bankman-Fried, le PDG de FTX s’y met.
La Securities and Exchange Commission (SEC) semble s’acharner contre les entreprises de cryptos. Les acteurs de l’industrie trouvent que le régulateur met en place des mesures inappropriées et exagérées en matière de réglementation. Ils accusent la SEC de ne pas apporter des réponses claires à leurs préoccupations majeures. Récemment, un membre de la SEC s’est, lui aussi, indigné contre la façon dont l’agence fédérale réglemente le secteur crypto.
Dans certains domaines aux États-Unis, il est facile pour des agents de la fonction publique de rebondir dans le secteur privé. D’ailleurs, certains profils venant du public sont hautement recherchés par les entreprises. C’est ainsi que ces dernières années, on a assisté à un nombre important d’agents des régulateurs financiers, qui ont été embauchées par des entreprises crypto. Généralement, ceux-ci interviennent dans des rôles de lobbying pour le compte de l’industrie de la crypto. Cela inquiète un groupe de législateurs américains, qui ont ouvert une enquête à ce sujet.
Depuis quelque temps, l’agence fédérale indépendante américaine Commodity Futures Trading Commission (CFTC) s’intéresse de très près à la réglementation des cryptos. À l’approche du forum crypto 2022 de l’International Swaps and Derivatives Association, une commissaire de l’agence a fait des déclarations au sujet de ce secteur. La commissaire Christy Goldsmith Romero a notamment parlé du risque que présente la cryptomonnaie pour l’économie mondiale.
Plus de 30 % des travailleurs appartenant à la Génération Z et Millennial seraient propices à un investissement dans les rentes et les cryptomonnaies dans leur 401(k).
BTC-e était l’un des exchanges crypto les plus importants aux Etats-Unis entre 2011 et 2017. Pendant cette période, la société y avait l’un de ses marchés les plus lucratifs avec des volumes de transactions de près de 10 milliards de dollars pendant cette période. Mais les autorités locales ont très vite remarqué que l’activité de BTC-e n’était pas totalement légale. Selon le ministère de la Justice, ses dirigeants permettaient aux utilisateurs (dont beaucoup étaient des criminels) d'échanger des bitcoins (BTC) de manière anonyme et de blanchir de l'argent. Pour faire la lumière sur l’affaire, les autorités ont saisi les responsables Google. Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu.
Compte tenu de la démocratisation de l’industrie crypto, les banques centrales souhaitent riposter en proposant, elles aussi, des monnaies fiduciaires en version numérique. En mars dernier, le président américain Joe Biden dévoilait son plan d’émettre le dollar numérique, une idée qui n’a jamais plu à la Réserve fédérale américaine. D’ailleurs, son gouverneur, Christopher Waller, vient encore de réaffirmer la position de l’institution qu’il dirige. Il aurait repoussé une fois de plus l’idée selon laquelle, la banque centrale américaine devrait concevoir le dollar américain. Les jours passent donc, mais la logique reste la même, la FED ne compte pas céder un centimètre au dollar numérique.
Les relations internationales entre les États-Unis et la Chine sont au plus mal actuellement. Elles le sont davantage depuis que le gouvernement américain a décidé de poursuivre Huawei, le géant chinois de la téléphonie. C'est justement en marge de ces poursuites, qu’un autre scandale est venu amplifier la rupture entre les deux puissances. En effet, Washington accuse deux agents de renseignements à la solde de l’empire du Milieu d’entraver l’enquête en cours. C'est ce qui ressort de la conférence de presse entre les cadres du FBI et le ministère de la Justice.
À partir de maintenant, les 40 millions d’utilisateurs de Cash App pourront envoyer et recevoir des bitcoins via le réseau Lighning Network (LN).
La capacité des cryptos à offrir des rendements supérieurs à ceux des placements bancaires fait qu’elles attirent davantage de monde. Quand le marché était stable, de plus en plus de personnes en profitaient pour augmenter leurs revenus. Désormais, certains en veulent plus et souhaitent profiter des fruits des actifs numériques dans leurs plans de retraite.
Janet Yellen réitère son appel pour la réglementation de la crypto lors de son intervention durant la réunion annuelle de SIFMA.
L’expansion des cryptomonnaies entraîne un taux de cybercriminalité sans pareil. Bien que décentralisés, les exploitants des actifs numériques doivent respecter certaines règles sous peine de poursuites judiciaires. Larry Dean Harmon, le PDG de Coin Ninja, en paie les frais depuis plusieurs mois et quand on croyait l’affaire classée, les États-Unis mettent de nouveau l’affaire sur le tapis.
Les NFT, tout comme les cryptomonnaies, évoluent à une vitesse inestimable et effraient les régulateurs. Si le secteur commence à reprendre du poil de la bête, l’Internal Revenue Service (IRS), une sous-section du Département du Trésor américain, compte établir certaines règles fiscales concernant le domaine. Cependant, elles risquent de ne pas plaire à tout le monde.
Les régulateurs du Texas enquêteraient sur SBF et FTX pour des potentielles violations de valeurs mobilières liées à l’acquisition des actifs de Voyager Digital.
Michael Hsu, a reconnu son scepticisme à l’égard des cryptos lors de deux conférences thématiques liées le 11 octobre dernier. Le contrôleur de la monnaie aux Etats-Unis, a déclaré que la crypto est « une industrie immature basée sur une technologie immature ». L’adoption des crypto monnaies est de plus en plus courante alors qu’elle présente d’énormes risques. Le chef de l’OCC (Office of the Comptroller of the Currency) a voulu attirer l’attention sur l’accroissement de ces risques et conflits. Il souligne la nécessité d’avoir une vision plus complète et précise des dangers de cette industrie en plein essor. Pour lui, le secteur de la crypto doit encore déployer beaucoup d’efforts pour convaincre les régulateurs.
Le chef de la surveillance bancaire aux États-Unis conscientise les banques contre les risques liés à l’acceptation des dépôts crypto.
Ces derniers temps, on ne parle presque plus de répression des cryptomonnaies mais de réglementation. Nous gouvernants auraient-ils changé d’avis au point de vouloir abandonner la méthode dure pour enrayer le développement de ces nouveaux actifs. En tout cas, les icônes de l’univers crypto apprécient leurs initiatives d’instauration de dispositif…
Une réglementation sur les stablecoins ? C’est bien ce qu’espère Patrick McHenry. Des résolutions pour réguler et contrôler l’écosystème s’enchaînent et aucun aspect n’est négligé. Alors que certains régulateurs s’acharnent sur les cryptomonnaies, le Trésor américain et les républicains ont jeté leur dévolu cette fois sur les pièces stables.
L'exchange de cryptomonnaies basé à Washington doit remettre 35 milliards de dollars à l’Office of Foreign Assets Control.
Lawrence Lepard annonce que le bitcoin occupera une place prépondérante dans l’économie américaine, au détriment de la monnaie fiduciaire.
L’institut national des normes et de la technologie des États-Unis (NIST) vient de publier un rapport accablant sur les stablecoins. En effet, l’agence rattachée au ministère du Commerce américain a mené un certain nombre d’investigations relatives aux problèmes de sécurité et de technologie autour des stablecoins. Cette étude portait sur les 20 tokens stables ayant les meilleures capitalisations boursières de l’industrie. Parmi ces 20 pièces stables, uniquement cinq d’entre elles auraient maintenu leur parité au cours de l’année en cours. Dans ce nouveau rapport, l’agence évalue toutes les failles de sécurité et la confiance liées aux stablecoins.