Les actions de Core Scientific ont inopinément bondi de 273 % un jour après sa déclaration en faillite mercredi 21 décembre.
Les actions de Core Scientific ont inopinément bondi de 273 % un jour après sa déclaration en faillite mercredi 21 décembre.
Le débat autour de la légitimité et de légalisation des cryptos fait rage dans de nombreuses régions du monde. Certaines organisations dépensent beaucoup d’énergie pour alimenter la problématique. Leur objectif est d’aboutir à l’adoption d’un cadre réglementaire pour les cryptos et la blockchain, dans un sens plus large.
Sam Bankman-Fried, l’ex-patron de l’exchange crypto, FTX a été extradé vers les États-Unis, mercredi soir. Il a accepté de rentrer dans son pays, pour faire face aux poursuites judiciaires dont il fait l’objet. Entre autres, on lui reproche d’avoir utilisé les avoirs de ses clients pour réaliser des investissements personnels. On chiffre le préjudice à plusieurs milliards de dollars. L’affaire FTX est déjà considérée comme l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire des États-Unis.
L'auto-hébergement des cryptomonnaies est fortement défendu par le député américain Warren Davidson. Il la présente comme le remède à la fraude FTX. À cette fin, il fait la promotion de sa proposition de loi Keep Your Coins Act, qui entend « défendre l'auto-hébergement contre toute tentative de le restreindre ».
La débâcle de FTX a rabattu les cartes entre échanges centralisés (CEX), échanges décentralisés (DEX) et Cold Wallets. Justement, Albert Einstein prétendait qu'« au milieu de toute crise se trouve une grande opportunité ».
La session du Congrès fermait ses portes hier, et Pat Toomey, le sénateur allié à l’industrie, s’est encore démarqué. Il aurait proposé un projet de loi portant sur les stablecoins en espérant qu’il servira de guide pour la réglementation des cryptomonnaies. C’était la dernière action du lobby des cryptos au Congrès avant qu’il ne se retire définitivement pour laisser la place aux nouveaux législateurs. Les lignes n’ont pas beaucoup bougé malgré cette ultime tentative, mais la FED ne ferait pas l'unanimité.
La semaine dernière, il n'y avait qu'un sujet qui captivait l'univers crypto, le lancement de la première collection NFT de Donald Trump. Cet évènement a logiquement fait les choux gras de la presse, télévision et Twitter y compris. Ce battage médiatique a permis justement à la collection NFT de l'ancien président américain de connaitre un bond spectaculaire en fin de semaine. Sauf que l'engouement médiatique autour de ces cartes à collectionner s'est depuis calmé et le prix, de même que le volume des transactions, ont régressé de près de 70 %.
Le prêteur de cryptos BlockFi a déposé le bilan en vertu du chapitre 11, le 28 novembre passé. L’entreprise a cessé ses activités à la suite de l’effondrement de l’exchange crypto FTX qui l’a fortement secouée. À présent, elle lance une procédure qui pourrait aider ses clients à récupérer leurs investissements.
Sam Bankman-Fried, le fondateur de l’exchange de cryptos FTX est aux arrêts depuis le 12 décembre dernier aux Bahamas. Son arrestation était le résultat de l’inculpation d’un grand jury du tribunal fédéral de Manhattan aux États-Unis. On lui reproche notamment d’avoir détourné les fonds de ses clients et investisseurs. Ceci, afin de combler les pertes de son fonds spéculatif Alameda Research. Depuis, des milliers de personnes appellent à son extradition immédiate vers son pays d’origine.
Les autorités américaines accusent SBF d’avoir notamment détourné les fonds, estimés à des milliards de dollars, des clients de FTX. L’ancien PDG de l’exchange est également accusé d’avoir trompé les investisseurs de FTX et d’Alameda Research, son fonds spéculatif. Il se trouve que la PDG de ce dernier est Caroline Ellison, l’ex-petite amie de SBF. Pour beaucoup, Sam Bankman-Fried n’a pas pu commettre ses malversations présumées sans collaborer avec la PDG d’Alameda Research.
Un élu de l’Ohio a soufflé au micro de Chuck Todd (NBC) que l’interdiction des cryptos n’est pas à épargner.
La sénatrice Elizabeth Warren propose un nouveau projet de loi visant le blanchiment d'argent crypto.
Alors que la crypto-sphère est en pleine effervescence à l’issue de l’effondrement de FTX, deux sénateurs américains ont introduit un projet de loi bipartisane dénommé « Digital Asset Anti-Money Laundering Act » (DAAMLA).
Le 15 décembre, le Département des services financiers (DFS) de l’État de New York a publié une série de directives. Il s’agit des orientations que les banques doivent désormais respecter avant de proposer des services crypto. Ces lignes directrices ont été conçues spécifiquement pour les banques réglementées. Découvrez le contenu du document de 11 pages produit par le régulateur de l’État de New York, qui est particulièrement exigeant en matière de crypto.
Après des années d’hésitation, l’ancien président des États-Unis s’embarque dans l’aventure NFT.
Une nouvelle affaire vient consolider le temps orageux de l’univers crypto, encore éprouvé par l’effondrement des échanges Terra et FTX. En effet, les avocats de Binance ont tenu des réunions avec certains responsables du Département américain de la Justice. Selon Reuters, des accords de plaidoyer potentiel auraient été signés entre les deux parties. De plus, l'échange a rappelé que des poursuites pénales en ce temps d’incertitude de la crypto pourraient fortement accentuer la crise.
Tom Emmer, un sénateur du Minnesota, s'est adressé à Gary Gensler et la Securities and Exchange Commission sur Twitter. Le sénateur a relevé le doute concernant l’approche de la SEC sur la réglementation crypto.
La conformité de Binance avec les lois américaines contre le blanchiment d’argent et les sanctions laisse à désirer, estime le ministère américain de la Justice.
Le week-end dernier, Sam Bankman-Fried a répondu aux questions de la BBC sur son rôle dans l’effondrement de FTX. Le fondateur de l’entreprise crypto a, comme au cours de ces dernières semaines, déclaré que tout était une erreur. Il a dit ne pas être au courant de la mauvaise gestion faite des avoirs de ses clients. Par ailleurs, il a assuré n’avoir aucun problème avec le fait de répondre aux questions des autorités compétentes dans l’affaire. Alors qu’il était attendu à la Chambre des représentants, SBF a fait une annonce surprise.
Il semble que les détracteurs de la crypto deviennent plus nombreux à mesure que le secteur évolue. Sans compter que les récents effondrements ont rendu les consommateurs et les décideurs politiques plus sceptiques vis-à-vis de la nouvelle industrie. À ce propos, un sénateur démocrate américain a récemment manifesté son hostilité à l’égard des cryptos.
Avec la chute de la valeur des actifs numériques, de nombreux consommateurs se sont dits trompés, notamment parce qu’ils ont acheté des produits que des célébrités ont également acquis. Récemment, un recours collectif a été introduit contre les stars qui ont soutenu FTX. Dans le domaine des NFT, il y a également des affaires similaires.
CNBC a voulu sonder l’opinion des Américains vis-à-vis de la crypto dans ce contexte de crise. C’était le sujet de son enquête économique All-America menée du 26 au 30 novembre 2022. Crypto : le taux des Américains avec une opinion positive a chuté en quelques mois L’effondrement du projet…
Les sénateurs américains font de plus en plus pression sur les régulateurs financiers afin que ceux-ci élucident l’affaire FTX. Ils souhaitent avoir des réponses claires aux nombreuses préoccupations que l’effondrement de l’exchange a soulevées. Le 7 décembre, les sénatrices Elizabeth Warren et Tina Smith ont envoyé une lettre aux régulateurs financiers pour leur soumettre une requête spéciale.
Nouvelle place forte du mining de cryptos après l’interdiction de l’activité en Chine, les États-Unis n’entendent pas pour autant laisser carte blanche aux mineurs présents sur le territoire. Les autorités locales s’inquiètent notamment des potentiels impacts environnementaux qui découlent de la pratique du mining. Les législateurs américains ont donc initié un projet de loi pour obliger les mineurs à déclarer leurs émissions de gaz à effet de serre.
Au Kentucky, les mineurs de cryptomonnaies seraient plus avantagés que les individus ordinaires en matière de facture énergétique. Earthjustice et Sierra Club crient au scandale.
Depuis un mois, la plateforme FTX navigue en eau trouble. L’exchange crypto ne s’est jamais remis de la mauvaise gestion de ses dirigeants, qui auraient investi l’argent des clients sur un nouveau projet nommé Alameda. Un mauvais placement aux lourdes conséquences, puisque dans la foulée, le géant aux pieds d’agile va faire faillite. L'ex-PDG de FTX est justement invité à se prononcer sur la raison de ce fiasco devant les services financiers du Parlement. Avant même son intervention, il aurait déjà convaincu Maxine Waters, présidente des services financiers au Parlement, par sa franchise lors du crash de son entreprise.
Comme les temps semblent très durs pour le PDG déchu de FTX, certains politiciens américains décident de lui rembourser.
Après plusieurs débats autour de la chute de FTX, l’ancien PDG doit maintenant faire face à une audience instaurée par les régulateurs du Texas. Entre ses problèmes avec les investisseurs et la colère des citoyens des Bahamas, Sam Bankman-Fried doit répondre de ses actes et définir quelle est sa part dans l’effondrement de son exchange.
Les autorités américaines interdisent depuis 1979 l'exportation de biens ou de services aux entreprises et aux particuliers iraniens. L'Office of Foreign Assets Control (OFAC) du département du Trésor a accusé Kraken d’avoir des clients dans la République islamique. L’exchange crypto a opté pour un règlement à l’amiable du contentieux. Décryptage.
On connait désormais la date de la première audience relative à la faillite de l'exchange crypto FTX. La présidente du comité des services financiers du parlement a fait une déclaration dans laquelle, elle précise qu’une audience de FTX aura lieu le 13 décembre prochain. Elle entre dans le cadre des enquêtes pour comprendre les évènements qui ont conduit à cette débâcle historique de l’exchange. C’est la deuxième fois qu’une telle annonce est faite. La première audience annoncée le 16 novembre n’avait finalement pas eu lieu.