Économie et tensions : La puissance de la Chine en question
Économie et tensions : La puissance de la Chine en question
L’adoubement des ETF Bitcoin par la SEC pourrait décanter les choses en Asie. Il se murmure que Hong Kong donnera son feu vert avant le mois de juin.
Une mystérieuse adresse fait le buzz depuis quelques mois en raison de ses achats récurrents par salves de 100 bitcoins.
Effet boomerang : la guerre technologique opposant la Chine et les Etats-Unis a relativement impacté les grands fabricants de puces électroniques américains.
En Corée du Sud, il est désormais possible de se procurer des lingots d’or aussi facilement qu’on pourrait s’acheter des boissons énergétiques. Depuis le mois de septembre 2022, des distributeurs automatiques d’or ont été installés dans les centres commerciaux par l’entreprise GS Retail. Ils sont accessibles en libre-service et sont d’ailleurs très utilisés par les citoyens ! Chose intéressante, la plupart des acheteurs sont des personnes dans la vingtaine et la trentaine. Ce constat remet sur la table le débat de l’accès aux métaux précieux physiques.
« Not your key, not your coin » ? On dirait que les autorités sud-coréennes ne sont pas d’accord là-dessus.
En Corée du Sud, deux exchanges crypto se retrouvent sous le coup d'une perquisition. Le motif : transactions suspectes d’un politicien.
Le groupe technologique Samsung a déjà manifesté un intérêt significatif pour le marché des cryptos. Ceci, en mettant à profit son expertise technique au service d’une amélioration du ratio d’efficacité énergétique du bitcoin.
La saisie des biens mal acquis de Do Kwon commence enfin.
Un nouveau rapport révèle que Do Kwon, fondateur de Terra, aurait envoyé des millions de dollars à un cabinet d'avocats en Corée du Sud juste avant l'effondrement de l'écosystème Terra.
L'Asie est le berceau du développement de jeux blockchain à l'échelle mondiale ; Xangle se penche sur les stratégies utilisées par les entreprises les plus performantes et sur les opportunités qui se présentent.
Do Kwon a tout préparé dès le départ, même incarcéré, il garde précieusement ses bitcoins au chaud quelque part.
Quelques semaines après l’arrestation de Do Kwon au Monténégro, les investigations sur sa société se poursuivent. Le défi maintenant est de déterminer comment les fonds détenus par Terraform Labs ont pu se dissiper dans la nature. En Corée du Sud, une avancée a été réalisée en ce sens.
Do Kwon, qui était un utilisateur de Twitter particulièrement prolifique, est devenu silencieux ces dernières semaines. Mais, ce n’est pas pour autant que la chasse au fondateur de l’écosystème Terra a cessé. Bien au contraire, il semble qu’elle se soit plutôt intensifiée.
Le présumé propriétaire de la grande exchange crypto Bithumb vient d’être arrêté en Corée du Sud. Selon les médias locaux, des allégations l'accuse de détournement de fonds. Les autorités sud-coréennes ont également lancé une enquête sur Bithumb.
Depuis plusieurs mois, les autorités sud-coréennes ont mis en œuvre une série de mesures visant à réglementer les activités crypto. Cette démarche s’est accentuée avec la chute de la plateforme d’exchange FTX, qui a près de 6 000 utilisateurs en Corée.
Ces derniers mois, l’intérêt pour le monde du metarvers a été moins important que sur les dernières années. Des acteurs clés de cette nouvelle technologie tels que The Sandbox et Decentraland, ont enregistré une baisse d'environ 80 % du nombre de leurs utilisateurs. Meta, qui a placé cette technologie au cœur de son plan de développement, a vu l’activité s’effondrer de plus de 60 % depuis le changement de nom. Entre autres, l’entreprise propriétaire de The Sandbox, Animoca Brands, a réduit de moitié ses prévisions de dépenses d’investissements dans le metavers. Cela fait passer l’enveloppe nécessaire à ce projet à 1 milliard de dollars. Mais le metaverse intéresse toujours. C’est le cas de LG, qui a fait une grande annonce à ce propos.
Profitant de la mort de son propriétaire, le hacker a volé l’équivalent de 6,7 millions de dollars en crypto-monnaies. L’argent appartient au PDG de BitStamp.
L'autorité financière coréenne a lancé une enquête sur les exchanges afin de vérifier si certains d'entre eux inscrivaient eux-mêmes leurs propres pièces. Cette enquête est la conséquence de la faillite de l'exchange FTX. Déjà abordé dans une multitude d'articles, FTX a déposé son bilan aux États-Unis le 11 novembre en laissant plus de 100 000 créanciers lésés. Les clients ont fui l'exchange massivement en raison de doutes quant à la suffisance du capital de FTX.
La société fintech Chai Corporation, de Daniel Shin, cofondateur de Terraform Labs Pte, fait l’objet d’une enquête sud-coréenne, d’après Forkast. Chai Corporation aurait utilisé les informations personnelles des clients sans leur consentement afin de lancer les services de paiement Terra de Chai. Les autorités sud-coréennes enquêtent sur ces allégations ainsi que sur le décalage de gains de plus de 100 millions $. Toute l’attention est sur Shin depuis l’effondrement de Luna et les profits mal acquis. Interpol a aussi émis une notice rouge contre PDG de Terra, Do Kwon.
Lee Jung-hoon est l’ancien président de l’exchange de cryptos Bithumb. Créé en 2014, l’exchange se présente en deux versions : le site Web et l’application. Cela dit, l’ancien président de la plateforme sud-coréenne a récemment été accusé de fraude. Découvrez de quoi il s’agit.
Imbroglio judiciaire autour du statut juridique de Terra (LUNA) : en cas d'arrestation, Do Kwon ne sera pas emprisonné.
Le gouvernement sud-coréen compte pourvoir ses citoyens d’une identité numérique basée sur la blockchain. Cette digitalisation apparaît comme un catalyseur de développement économique, une vision impulsée par le McKinsey Global Institute et partagée par de nombreux pays.
L’archipel des Tuvalu est menacé de submersion d’ici 2100, mais veut garder une trace de son existence dans le futur en se dédoublant dans le metaverse.
L’histoire de l’effondrement de l’écosystème crypto Terra (LUNA) de Terraform Labs a fait le tour monde. L’affaire continue d’ailleurs d’être au cœur de l’actualité, avec Do Kwon (fondateur de Terraform Labs), qui est accusé de fraude et est recherché par les autorités sud-coréennes. Terraform Labs est récemment monté au créneau pour s’insurger contre la forte politisation de l’affaire Luna en Corée du Sud.
Depuis la chute de Terra, plusieurs cryptomonnaies sont dans le rouge. Pour ne citer que le bitcoin et l’ethereum. Mais l’effondrement de cet écosystème a également poussé Do Kwon, fondateur de TerraForm Labs, à fuir les autorités sud-coréennes et singapouriennes. Si ce dernier ne cesse de prouver qu’il n’a pas…
Après la chute de Terra, Do Kwon a soudainement quitté la Corée du Sud pour se terrer au Singapour. Heureusement, vu que plusieurs investisseurs mécontents voulaient s’en prendre à lui sans devoir passer par le tribunal. En ce moment, les autorités sud-coréennes sont à ses trousses. Et quand ces derniers…
Les fraudes fiscales via les actifs numériques prennent de l’ampleur avec la décentralisation et le développement du secteur crypto. Face à la menace croissante, plusieurs gouvernements décident donc de passer à l’action et de lutter contre le phénomène. Cette fois, c’est au tour de la Corée du Sud de marquer un pas de géant avec ce coup.
Se rapproche-t-on de l’arrestation de Do Kwon ? En tout cas, un mandat d’arrêt a déjà été émis à son encontre. La police sud-coréenne, aidée par les autorités singapouriennes, affirme qu’il reste introuvable physiquement. Sur internet, Kwon ne cache pas qu’il est toujours présent et qu’il n’est pas en cavale. Sur…
En ce moment, les autorités sud-coréennes réétudient le cas de l’écosystème Terra. Ils ont pour objectif d’évaluer les caractéristiques des tokens qui lui sont associés, à l’instar de Luna Classic (LUNC), TerraClassicUSD (USTC), etc. Au terme de cet examen, les enquêteurs pourront mener de nouvelles charges contre Terraform Labs et Do Kwon.