Coinbase

Selon son PDG Brian Armstrong, Coinbase pourrait quitter les États-Unis en raison d’une réglementation crypto toujours floue.

Lors d'une interview accordée à Decrypt, Paul Grewal, directeur juridique de Coinbase, a abordé le sujet du "test Howey" de la SEC. Un test utilisé pour déterminer si un actif crypto doit être réglementé en tant que sécurité. Selon lui, le problème ne vient pas de l'ancienneté de ce test, datant de 1946. Mais plutôt de la manière dont il s'applique aux technologies modernes.

Le réseau Bitcoin Lightning, qui garantit des transactions plus rapides et moins onéreuses, suscite un intérêt grandissant chez les consommateurs et les entreprises du secteur crypto. De ce fait, de nombreuses plateformes, telles que Kraken, Bitfinex, BitStamp et OKX, l'ont déjà adoptée. Récemment, le 8 avril, Brian Armstrong, PDG de Coinbase, a loué les mérites de ce réseau et a partagé une nouvelle qui a reçu les éloges de plusieurs acteurs du monde crypto sur Twitter. Découvrez ce qu'il en est.

Un groupe de plaignants soutenu par Coinbase mène une bataille juridique contre le gouvernement américain. Le but est de mettre fin aux sanctions imposées en aout 2022 au protocole Tornado Cash. Ces dernières interdisent aux citoyens et aux entreprises américaines d’utiliser le mixeur de cryptomonnaies. 

Gemini, la bourse de cryptomonnaies fondée par les frères Winklevoss, ne se laisse pas décourager par les obstacles réglementaires. Alors que les régulateurs américains intensifient leur surveillance sur les bourses de cryptomonnaies, Gemini annonce le lancement de contrats à terme perpétuels pour les clients internationaux. Cette décision intervient dans un contexte où l'entreprise est sous le coup d'une enquête de la SEC.

Certaines entreprises décident de fuir les mains ensanglantées de la SEC en cette période d’avant-récession aux Etats-Unis.

Coinbase, l'un des plus importants Exchange, fait à nouveau face à des ennuis avec la Securities and Exchange Commission (SEC). Et cette fois-ci, la situation est sérieuse. La plateforme risque des mesures d'application après avoir reçu un avis Wells. Pourtant, Coinbase avait pris des mesures préventives en soumettant une pétition à la SEC en début de semaine pour demander des règles claires sur le staking. Quel est donc le véritable fond de cette affaire ?

L’écroulement inattendu de la Silicon Valley Bank (SVB) a provoqué un séisme sur les marchés financiers et boursiers. Dans ce contexte, les régulateurs sont rapidement intervenus pour essayer de contenir la vague. Les choses se seraient peut-être passées différemment s’ils avaient été moins frileux.

Selon une étude menée par Coinbase, la crise bancaire aux États-Unis améliore les perspectives à long terme de la crypto.

Le pionnier de la crypto a offert 1 million de dollars à 1000 tweets qui exposent le mieux la crise financière furtive déguisée en renflouement bancaire.

Si Ripple gagne le procès contre le gendarme de la bourse américain, une remise en vente de son XRP sur le plus échange grand crypto d'Amérique est envisagée.

Depuis plusieurs mois, l’écosystème crypto est soumis à une forte pression. Une onde de choc qui frappe surtout les compagnies cryptos qui multiplient les initiatives pour rester compétitives. Une nécessité vitale quand plusieurs parmi elles disparaissent du marché.

Il n’est plus à prouver que la présence des cryptomonnaies met mal à l’aise les adeptes des monnaies de banques centrales. Cependant, elle semble menacée le dollar américain. Ces derniers mois, la SEC s’est montré trop impliquée dans la réglementation du marché crypto. Dans les jours avenirs, cette dernière pourrait voir une refonte majeure. Les sénateurs républicains annoncent des mesures fortes pour réorganiser la surveillance des cryptoactifs.

Depuis le début de l’année, bon nombre d’entreprises crypto ont procédé à des licenciements massifs. Il y a eu notamment les exchanges Kraken, Coinbase, Gemini et Blockchain.com. Ce dernier a licencié précisément 28 % de son personnel pour réduire ses coûts. Fait intriguant, cela est survenu juste quelques mois après qu’il ait obtenu un financement d’un montant non divulgué. Maintenant, la plateforme crypto basée aux Caïmans annonce la fermeture de sa branche de gestion d’actifs lancée en avril 2022. Découvrez pourquoi.

La Maison Blanche suit de près l’affaire de la banque crypto Silvergate. Telle est la déclaration de son porte-parole, Karine Jean-Pierre.

Alors que le marché crypto a connu des fluctuations importantes ces derniers temps, certaines voix se font entendre pour annoncer le début d'un nouveau cycle haussier. Selon Eric Peters, PDG de One River Asset Management, l'hiver crypto est déjà derrière nous et un cycle haussier particulièrement puissant se dessine pour les mois et les années à venir. 

La plus grande plateforme d’échange cryptographique américain, Coinbase, refuse d'assumer la responsabilité d'une faille de sécurité qui a entraîné d’énormes pertes. L’échange refuse catégoriquement de rembourser les pertes subies par ses clients suite à une violation de sécurité.

Binance est au plus mal. La capitalisation boursière de son stablecoin, le BUSD, est actuellement en chute libre

De plus en plus de voix s’élèvent contre la SEC. Après l’annonce de l’intention de Coinbase de traîner le gendarme boursier américain devant les tribunaux pour défendre des intérêts, c’est au tour de Brad Garlinghouse, le PDG de Ripple, de hausser le ton. Il estime que le régulateur américain est sur le point de tuer l’industrie crypto dans l'œuf.

Rien ne va plus chez Silvergate Bank, les sociétés crypto comme Coinbase, Paxos et Circle suspendre la collaboration avec elle.

Les régulateurs continuent de mettre la pression à l’industrie crypto malgré la reprise en 2023. Face aux menaces que subit le secteur, Coinbase décide de prendre les choses en main et de montrer les avantages de ces actifs aux membres du Congrès.

Brian Armstrong réclame un règlement clair pour les cryptos. Il estime que cela assurera une bonne protection des consommateurs. Cela pourra également faire développer les systèmes financiers, à commencer par celui des États-Unis.

Doit-on s’attendre à l’accélération de la résurrection de Voyager Digital avec ces histoires de transfert de SHIB vers Coinbase ?

Quelques heures après son lancement, la blockchain de couche 2 de Coinbase « Base » rencontre d’énormes problèmes.

La SEC a fait cesser le programme de staking de l’exchange Kraken aux États-Unis au début de ce mois. Pour le régulateur américain, il s’agit d’une « victoire pour les investisseurs » de la région. Mais, pour beaucoup d’acteurs crypto, cette décision manque de pertinence et n’avantage en rien les investisseurs. Le commissaire de la SEC, Hester Peirce, l’a d’ailleurs qualifiée d’approche paternaliste et paresseuse. Dans ce contexte, il s’en est pris aux amendes infligées à l’exchange Kraken par la SEC. Parallèlement, beaucoup se demandent ce que le régulateur reproche concrètement au staking. Timothy Massad, l’ancien président de la Commodity Futures Trading Commission, a fait des déclarations sur le sujet dernièrement.

Jusqu’ici, la compagnie crypto était optimiste quant à ses résultats opérationnels, au terme de l’année 2022. Car, bien que le marché baissier ne l’ait pas épargnée, Coinbase restait déterminée à reconquérir un marché qui semble lui échapper. Cette ardeur pourrait s’émousser au vu des performances financières négatives de l’entreprise au quatrième trimestre de l’année dernière.

Depuis quelque temps, les régulateurs américains, comme la SEC, mènent une répression contre la crypto. Pour beaucoup d’analystes, cette répression risque de freiner l’adoption de la nouvelle industrie aux États-Unis. L’investisseur américain Cameron Winklevoss a donné son avis sur le sujet le 19 février, sur Twitter. Le cofondateur de l’exchange Gemini a expliqué que l’Asie semble plus à même de stimuler la prochaine hausse des cryptos. Découvrez pourquoi.

Le bear market est le quotidien de l’industrie crypto depuis de nombreux mois. Une situation liée à la crise de confiance que traverse le secteur, suite à l’effondrement de plusieurs firmes. Mais cette vague de naufrages spectaculaires aurait-elle pu être évitée ou limitée ? C’est ce que suggèrent les récentes révélations d’éminents acteurs de l’industrie.