IOTA collabore avec l'agence nationale japonaise de R&D NEDO

IOTA rejoint un projet lancé par les principales sociétés de soutien japonaises, Best Materia et IMC, ont annoncé les responsables de IOTA le 27 octobre. Le projet est financé par la New Energy and Industrial Technology Development Organization, une agence nationale de recherche et développement relevant du ministère japonais de l’Économie, du commerce et de l’industrie.

#IOTA continues to strengthen the security, longevity and durability of critical #infrastructure assets in #Japan 🇯🇵

Our successfully-completed @nedo_info project demonstrates the viability of IOTA as a trust anchor for critical data.
Read about it: https://t.co/paemrVWep0

— IOTA (@iota) May 16, 2022

Quel est l’objectif du projet NEDO-IOTA ?

NEDO (New Energy and Industrial Technology Development Organization) est la plus grande organisation de gestion publique du Japon. Elle promeut la recherche ainsi que le développement et surveille le déploiement des technologies industrielles, énergétiques et environnementales. L’objectif du projet est de développer une technologie pour renforcer la sécurité, la longévité et la durabilité des actifs d’infrastructure critiques, au Japon et à l’étranger.

L’intelligence artificielle et la technologie IOTA Tangle pour Risk-Based Maintenance (RBM) doivent se déployer dans les centrales électriques, les centrales énergétiques, les usines industrielles, la pétrochimie et les usines de raffinage du pétrole. Grâce à cela, le groupe espère conquérir une part importante du marché national de la conservation des infrastructures sociales, évalué à 170 000 milliards de yens (13 000 milliards de dollars).

Comment IOTA aidera-t-il à protéger les données sensibles ?

Le projet conçoit un logiciel SaaS basé sur le cloud avec des fonctionnalités exceptionnelles. En construisant RBM avec l’aide de IOTA, les sociétés de support peuvent fournir des solutions aux partenaires d’infrastructures ainsi qu’aux cyberattaques, tout en protégeant les données sensibles.

Les systèmes de gestion existants reposent sur les connaissances de techniciens qualifiés, ce qui rend la normalisation difficile. Avec le vieillissement de la population japonaise, le risque de perte d’informations lors du départ en retraite reste élevé. En créant un système d’intelligence artificielle, les données peuvent être enregistrées, partagées et modifiées par des équipes du monde entier.

Actuellement, le stockage des données d’usine au Japon s’effectue manuellement et non numériquement. Cela peut entraîner de nombreux problèmes en termes d’intégrité ainsi que de capacités de partage. En numérisant l’infrastructure de données, les entreprises de maintenance peuvent permettre aux partenaires de la chaîne d’approvisionnement de s’unir plus facilement et de partager des informations de façon sécurisée et efficace.

Tout d’abord, pour numériser les données, le coût de main-d’œuvre des techniciens qualifiés s’élève à 30 millions de yens. Ensuite, pour les bases de données distribuées et l’IA est de 30 millions de yens par an. Enfin, le coût initial d’un contrat de saisie de données arrive à hauteur de 30 à 50 millions de yens. De plus, les frais initiaux de saisie de données externalisées par entreprise sont de 30 à 50 millions de yens. Si l’IA progresse dans la recherche et le développement, les coûts doivent également réduire de moitié.

Conclusion

La préservation des données dans le monde est actuellement une préoccupation planétaire. En utilisant l’IA, NEDO-IOTA créer un projet unique en son genre, pour aider les gens à résoudre le problème. Non seulement les données seraient efficacement protégées, mais les coûts de leur conservation seraient également réduits.