EvidenZ & BCDT, vous n’avez pas les bases ? On reprend tout !
Existant depuis 2018, le projet EvidenZ ne cesse d’attirer de nouveaux partenaires. Universités francophones, canadiennes, américaines ou même Binance, tous ont compris la puissance d’EvidenZ. Pourtant nombre d’entre nous se posent encore des questions quant au lien entre BCdiploma et Evidenz. Et d’ailleurs quid du Blockchain Certified Data Token (BCDT), leur token natif ? Aujourd’hui nous allons revoir tout ça ensemble, afin que vous puissiez sereinement aborder ce projet novateur.
Avertissement : Cet article vous est présenté par la société EvidenZ. Les investissements crypto sont risqués par nature, faites vos propres recherches et n’investissez que dans les limites de vos capacités financières. Cet article ne constitue pas une incitation à l’investissement
Une ICO pour résoudre un problème mondial
Début 2018, à l’heure où les ICO se portaient encore relativement bien, une compagnie française se lance avec un objectif : lutter contre la fraude et l’usage de faux certificats. Si à première vue, ce sujet peut sembler de niche, sachez que près de 33 % des français qui répondent à une offre d’emploi, mentent ou falsifient leur diplôme ! Au niveau mondial, le marché du Background checking, représente aujourd’hui la coquette somme de 3 milliards de dollars ! Malheureusement pour tous ces usurpateurs, la blockchain de par son immuabilité permet de régler ce problème, mais encore faut-il qu’une entreprise s’en occupe ! C’est là qu’EvidenZ entre en jeu, avec son premier use case : l’application BCdiploma.
BCdiploma, blockchain, EvidenZ et BCDT, quel est le lien ?
Tout d’abord, il convient de dissocier le protocole blockchain EvidenZ derrière ce projet, de leur première application grand public BCdiploma. BCdiploma est à EvidenZ ce que Windows est à Microsoft, à savoir l’application clé en main pour répondre au problème de la falsification. Si l’application phare du projet s’appelle certes BCdiploma, réduire l’entreprise au seul champ de diplôme infalsifiable serait une erreur. Microsoft n’est-il concentré que sur un seul secteur ? Eh bien non et il en est de même d’EvidenZ. S’il est possible de falsifier un document, quelle que soit sa nature, la solution EvidenZ ne sera jamais bien loin pour l’en empêcher. C’est clair ? Parfait ! Continuons ensemble notre métaphore en nous attaquant maintenant au rôle central de la blockchain.
La blockchain Ethereum, sur laquelle se base à l’origine la solution EvidenZ représente tout simplement votre ordinateur portable ou votre mobile. Sans lui, aucune application ne fonctionnerait et vous ne seriez d’ailleurs pas en train de lire ces quelques lignes… S’il existe plusieurs marques d’appareils pour répondre aux besoins et à la vision de chaque utilisateur, engendrant même parfois des guerres idéologiques (Apple VS le reste du monde), pourquoi EvidenZ ne devrait-il fonctionner que sur une seule blockchain ? Ne souhaitant pas se limiter et se voulant véritablement utilisable par tous, EvidenZ fonctionne également sur la Binance Smart Chain de Binance, qui a récemment récompensé ses utilisateurs français par des diplômes et NFT haut en couleur.
Avoir un appareil c’est bien, avoir un appareil qui marche, c’est mieux ! Mais que faut-il pour que ceux-ci puissent fonctionner ? Beaucoup de choses certes, mais accordons-nous sur l’électricité. Si cette énergie n’est que consommée lorsque votre appareil est allumé, il en va de même du BCDT, le token natif d’EvidenZ. Sans lui, aucun document ne pourrait être certifié et la falsification continuerait à battre son plein.
Cette métaphore trouve d’ailleurs son apogée dans la nature presque fossile du token. À la manière dont l’uranium est consommé chaque jour pour notre production électrique, diminuant petit à petit son supply et augmentant sa rareté, des BCDT sont quant à eux burn à chaque appel au smart contract d’EvidenZ. Rassurez-vous, ici nul besoin de gérer des déchets toxiques, mais juste d’apprécier la future croissance exponentielle d’un token utilitaire, d’une solution déjà existante, utilisée entre autres par Binance, Em lyon business school, l’Afnor, Alyra, Berkeley…et soutenue depuis ses débuts par Microsoft. Implanté sur 4 continents et 16 pays, la liste est assez longue, ainsi si vous êtes curieux, je vous invite à vous rendre directement sur l’annuaire des institutions onboardées dans le smart contract d’EvidenZ.
La prochaine fois que vous aurez un doute sur le lien entre ces éléments, rappelez-vous : la blockchain est mon mobile, sur lequel fonctionne le protocole EvidenZ, alimenté par des BCDT. Alors, était-ce vraiment si difficile ?
Si vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à regarder la vidéo de Karen et Guillaume :
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Président et Cofondateur de MinedHack et fervent défenseur de la Blockchain depuis 2017, je suis conscient que sans explications et vision de l’industrie son adoption n’aura jamais lieu. J’ose espérer en tant que Reporter et Rédacteur de CoinTribune aider à cette mission.
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