Ethereum : Un niveau de rareté élevé en si peu de temps !
Le bear a bel et bien abandonné le monde d’Ethereum. Il ne se passe plus un jour sans que le roi des altcoins affiche de jolies performances. Hier encore, l’ether s’échangeait à 2 060 dollars la pièce. Ce jour, la barre des 2 100 dollars a été franchie. Que se passe-t-il vraiment ? Nous vous expliquons tout !
Ethereum, un taux de burn élevé
Outre le réveil des baleines, ayant occasionné une tendance bullish pour l’ether ces derniers temps, nous conviendrons également un point crucial derrière son ascension : la hausse du taux de combustion.
« L’augmentation du taux de burn de l’Ethereum est le signe d’une confiance croissante et d’une hausse de sa valeur. »
L’article d’AZCoin News joint à ce tweet parle d’une augmentation du taux de combustion de l’Ethereum pour le mois d’octobre 2024. Heureusement que cela n’a pas manqué d’affecter positivement le cours de l’ETH. Dans le monde des cryptomonnaies, plus on brule des pièces, plus le restant de l’offre gagne de la valeur.
Qu’est-ce qui a motivé ces burns massifs ? CoinTurk News a dressé une petite liste de facteurs :
- accroissement des activités sur la blockchain Ethereum ;
- hausse du nombre de transactions (et corolairement hausse du frais de gaz en ETH) ;
- usage des applications décentralisées (dApps) ;
- expansion de l’écosystème ;
- etc.
En ce moment, l’ether est de nouveau sous les feux des projecteurs. À nouveau, les investisseurs affichent un sentiment positif pour la crypto native d’Ethereum. Certaines ne manquaient pas de nantir leurs portefeuilles de cet actif nanti de valeur réelle et d’utilité. D’ailleurs, l’infrastructure sur laquelle l’ETH est déployé a une belle réputation : elle peut accueillir une multitude de smart contracts, de projets DeFi et NFT.
Un Ethereum 2.0 pour bientôt ?
En ce moment, les blockchains notoires rivalisent d’inventivité pour devenir de plus en plus rapides, réduire les frais de gaz et aussi prendre la première position que l’on tend à attribuer à Ethereum. Polygon, par exemple, pense déployer d’ici peu Polygon 2.0 au centre duquel trônera la décentralisation.
À ce stade, nous ne manquerons pas d’évoquer l’intention des développeurs d’Ethereum d’améliorer coûte que coûte le réseau. Cela a peut-être commencé par les séries de mises à jour The Merge, Shapella, etc. Et il ne faut pas non plus oublier les fréquentes publications de Vitalik Buterin à travers lesquelles il parle d’amélioration de la blockchain ou de dérapage des DAO. Que ce soit au niveau de la sécurité ou de la confidentialité.
Plus Ethereum s’améliore, plus il devient attractif au niveau des observateurs.
Cerise sur le gâteau, certains facteurs économiques externes ont aussi impacté l’évolution de l’ether. Actuellement, cette cryptomonnaie s’offre le statut de réserve de valeur. Or, on ne l’avait attribué qu’au bitcoin auparavant.
Comme quoi, le bear market a rendu Ethereum solide et résilient. Ainsi, les banques ne voient aucun inconvénient d’en ajouter dans leurs portefeuilles, aux côtés du bitcoin et du XRP.
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