Le bitcoin (BTC) va conquérir l’Afrique, ce n’est qu’une question de temps
À l’instar des États-Unis, les pays africains sont plus réceptifs aux innovations apportées par les monnaies virtuelles. De ce fait, la cryptomonnaie gagne du terrain en Afrique, surtout le bitcoin (BTC). Ce ne sont pas tous les pays africains qui accueillent les cryptomonnaies à bras ouverts, certes. Mais, les pays réticents finiront par succomber. Quel actif numérique séduit le plus les pays africains ? Là est toute la question.
Le continent africain est séduit par les cryptomonnaies
D’abord, le cliché sur le fait que les cryptomonnaies sont faites pour les superpuissances a maintenant disparu. Beaucoup d’économies émergentes s’intéressent davantage aux actifs numériques, dont le bitcoin. Si elles s’y intéressent, c’est parce qu’il y a de réels avantages à en tirer. La cryptomonnaie n’est pas limitée par les frontières géographiques. Elle dépend entièrement d’internet et toutes les transactions sont enregistrées sur les blockchains, une base de données propre aux cryptomonnaies.
Ensuite, les pays qui souffrent constamment d’inflation, comme beaucoup de nations africaines, se tournent plus facilement vers les cryptomonnaies et notamment la reine, le bitcoin. Ces pays voient la cryptomonnaie comme une alternative aux pratiques des banques centrales. D’ailleurs, les politiques adoptées par les banques traditionnelles ne sont pas toujours rentables pour tant de pays victimes d’inflation. En revanche, les cryptomonnaies sont de plus en plus convoitées, car elles sont fondées sur un principe de décentralisation.
Puis, il faut admettre que les cryptomonnaies conviennent parfaitement à toutes les personnes non bancarisées. Ainsi, les populations africaines qui ne font pas confiance à la résistance du système bancaire se tournent immédiatement vers ces actifs cryptographiques ainsi que les NFT. De plus, le fait d’opter pour les cryptomonnaies fait gagner du temps tout en supprimant les procédures trop lentes empruntées par les services bancaires traditionnels. Enfin, elles ne font pas l’objet d’une réglementation en Afrique. Donc, il est évident qu’elles se propagent assez rapidement.
Le bitcoin conquiert lentement mais sûrement le territoire Africain
Le Salvador et la République centrafricaine cautionnent et encouragent même l’utilisation du bitcoin. Ces deux pays le considèrent comme une monnaie à la fois bénéfique pour le peuple ainsi que pour l’État. D’ailleurs, le bitcoin devient la monnaie virtuelle la plus convoitée par les gouvernements soucieux de l’avenir. Ils commencent à croire que le bitcoin deviendra aussitôt la monnaie de réserve mondiale.
Le bitcoin peut également favoriser l’émergence économique des pays africains. Pour en arriver là, il faut comprendre le fonctionnement de cet actif et exploiter la transformation rendue possible par son adoption.
Ensuite, le bitcoin résout un problème important en Afrique : la difficulté des transactions monétaires. Dans beaucoup de pays africains, au Nigéria par exemple, recevoir et envoyer de l’argent à l’étranger est encore une affaire difficile. Or, avec le bitcoin, le transfert est à la fois rapide et simplifié. Aucune autorisation n’est requise et ce n’est pas l’État qui détermine le prix, c’est le marché mondial.
Conclusion
L’adoption des cryptomonnaies, notamment du bitcoin (BTC), s’avère être bénéfique pour beaucoup de pays en pleine émergence. Actuellement, le bitcoin gagne en notoriété dans la quasi-totalité des pays africains. Les quelques pays réticents face à son adoption, comme le Nigéria, ne tarderont pas à céder quand les banques traditionnelles comme CBN (Banque Nationale du Nigéria) se laisseront convaincre.
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Passionné par la technologie blockchain et les cryptomonnaies, nous contribuons à vulgariser et à démocratiser ce nouveau monde. « Chancellor on brink of second bailout for banks »
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