Diplômé de Sciences Po Toulouse et titulaire d'une certification consultant blockchain délivrée par Alyra, j'ai rejoint l'aventure Cointribune en 2019. Convaincu du potentiel de la blockchain pour transformer de nombreux secteurs de l'économie, j'ai pris l'engagement de sensibiliser et d'informer le grand public sur cet écosystème en constante évolution. Mon objectif est de permettre à chacun de mieux comprendre la blockchain et de saisir les opportunités qu'elle offre. Je m'efforce chaque jour de fournir une analyse objective de l'actualité, de décrypter les tendances du marché, de relayer les dernières innovations technologiques et de mettre en perspective les enjeux économiques et sociétaux de cette révolution en marche.
Le verdict concernant le procès de Ripple contre la SEC continue de défrayer la chronique. Depuis le prononcé de la décision, plusieurs acteurs de l’industrie crypto se sont exprimés sur l’affaire. Le politique Stephen F. Lynch n'a pas fait exception.
La semaine dernière a été riche en actualités dans le monde des cryptos. De l'affaire Ripple-SEC à l'optimisme de Raoul Pal pour un rallye crypto massif, en passant par les résultats financiers de Binance France, les nouvelles ont été diverses et variées. Ces événements ont une fois de plus souligné l'importance croissante des cryptomonnaies dans l'économie mondiale et ont mis en évidence les défis réglementaires auxquels le secteur est confronté.
Lancé hier seulement sur le marché des cryptos, Worldcoin (WRL) suscite déjà des préoccupations. Et ce sont particulièrement les régulateurs financiers du Royaume-Uni qui s’inquiètent du mode de fonctionnement de cette crypto.
L’édition 2023 du World Series of Trading (WSoT) organisé par l’exchange Bybit aura bel et bien lieu. Après les succès des précédentes éditions, la plateforme d’échange envisage de faire les choses en grand cette année pour offrir des moments uniques et mémorables à tous les participants. Voici tout ce que vous devez savoir sur cette compétition à ne rater sous aucun prétexte !
L’identité de créateur du Bitcoin est l’un des sujets les plus controversés de l’industrie crypto. C’est l'un des mystères les plus savamment entretenus depuis le lancement de la blockchain en 2008. On sait que ce dernier était l’œuvre d’un certain Satoshi Nakamoto. Mais personne ne connaît celui qui se cache sous ce nom. Sauf un certain Craig Steven Wright qui s’en revendique.
Après plusieurs jours de suspens, la SEC a finalement annoncé qu’elle ferait appel de la décision favorable à Ripple. Le régulateur a même indiqué ce qu’il comptait contester dans le cadre de cette prochaine bataille judiciaire. Certains estiment qu’elle perd son temps et qu’en définitive, la justice pourrait maintenir sa décision.
Ces derniers mois, l’industrie des cryptos a connu des performances mitigées. Une tendance souvent marquée par le succès spectaculaire de certains actifs malgré la recrudescence des déboires réglementaires. Ces évolutions auraient eu de l’impact sur le marché crypto, qui semble concurrencer par celui de l’IA en termes d’engouement.
Un groupe de hackers soutenu par le gouvernement nord-coréen est parvenu à entrer dans le système de JumpCloud, une société américaine de gestion informatique. Il s’est servi de cette dernière pour cibler des sociétés de cryptomonnaies dans le but de voler des actifs numériques. Ce nouveau cas de piratage, qui rejoint la longue liste des méfaits orchestrés par les hackers nord-coréens, a un mode opératoire assez différent. Faut-il s’en inquiéter ? La réponse dans cet article.
En mai, plusieurs députés britanniques ont soumis une proposition de loi, entrant dans le cadre de la régulation crypto. D’après eux, l’incertitude autour de la valeur des actifs numériques est de nature à les considérer comme un jeu d’argent. Ceci, alors qu’une bonne partie des législateurs les voient comme un service financier. Cette idée a donné lieu à de vifs échanges entre les différentes parties prenantes.
Ces derniers mois, les cryptos ont gagné en popularité dans le monde. Évidemment, le continent africain n’est pas en reste. Aux dernières nouvelles, de plus en plus d’Africains s’intéressent aux cryptos. Mais ce sont six pays qui se démarquent particulièrement.
Depuis que la SEC a jeté son dévolu sur Binance.US, la filiale américaine de l’exchange américain Binance vit de longues semaines d’incertitude. Après avoir déposé une plainte de 136 pages portant sur 13 différents chefs d’accusation, l’autorité américaine de régulation des marchés financiers avait exigé un gel total des actifs de Binance. US pendant 10 jours consécutifs, faisant ainsi planer l’ombre d’une éventuelle faillite du mastodonte. De mémoire d’homme, c’est l’action la plus sévère que la SEC ait intentée contre un exchange. Plus d’un mois après cette plainte, comment se porte le BNB ? Le token est-il destiné à une mort prochaine ? Précisions.
Actuellement et depuis toujours, le bitcoin (BTC) domine le marché des cryptos. Pour autant, certains pensent que son leadership pourrait s’estomper et que l’ethereum (ETH) pourrait prendre sa place.
Le groupe des 20 pays les plus avancés du globe (G20) a émis l’idée d’une réglementation mondiale des cryptos. Son ambition dans ce sens vient de connaître un nouveau développement. Le groupe de pays a reçu des recommandations pour mettre son projet à exécution.
Les cryptos ont gagné tant de popularité dans les systèmes financiers que certains pays leur reconnaissent le statut de monnaie. Une option, généralement opportune, car les pays qui font ce choix le font à dessein. Sauf que ce choix ne fait pas toujours les affaires du Fonds monétaire international (FMI).
Récemment, on a vu les prix d’un certain nombre d’altcoins s’envoler suite à la victoire de Ripple contre la SEC. Certains analystes ont indiqué que ces actifs pourraient connaître un cycle haussier important. D’autres restent un peu sceptiques quant à cette perspective. Voici pourquoi.