Luc Jose A.

Dans une nouvelle escalade des tensions commerciales internationales, la Chine a officiellement déposé une plainte contre l’Union européenne auprès de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Ce geste fait suite à la décision de l’UE d'imposer des droits de douane significatifs, entre 8 % et 35 %, sur les véhicules électriques importés de Chine. Selon l’Union européenne, ces taxes visent à corriger une concurrence jugée déloyale due aux subventions étatiques chinoises. Face à cette mesure, la Chine riposte, et dénonce une atteinte aux principes du libre-échange. Ce conflit intervient alors que les deux puissances économiques tentent de se positionner comme leaders mondiaux de la transition écologique et de l'innovation technologique.

Il y a onze ans, un jeune développeur de dix-neuf ans, nommé Vitalik Buterin, publiait un document qui allait bouleverser les bases de la technologie blockchain. Ce « White Paper » d’Ethereum, apparu pour la première fois en novembre 2013, posait les fondations d’une nouvelle ère de finance et de décentralisation. Bien plus qu'un simple prolongement du Bitcoin, Ethereum proposait une vision innovante : un écosystème programmable, qui permet à des applications autonomes d’opérer sans intermédiaire. Aujourd’hui, alors que ce document célèbre son 11ème anniversaire, il est capital de revenir sur l’impact colossal de cette initiative, ses succès et les défis qui l’attendent encore dans un secteur en perpétuelle mutation.

À l’heure où le marché des cryptos se prépare potentiellement à un nouveau bull run, les investisseurs scrutent avec attention les projets qui offrent une performance exceptionnelle, mais aussi des cas d’usage solides et innovants. Dans cet univers volatil, des cryptos comme Solana (SOL), Cardano (ADA) et le XRP pourraient tirer leur épingle du jeu, car elles combinent rapidité, scalabilité et adoption dans le secteur financier.

Un indicateur technique redouté a fait irruption dans les graphiques hebdomadaires : le « Doji en Pierre Tombale ». Cette figure, souvent associée à un retournement de tendance, pourrait signaler une phase de turbulence pour le marché. L’intérêt pour cette formation en forme de croix sans ancrage haussier est d’autant plus vif que les investisseurs avaient espéré voir le Bitcoin franchir la barre symbolique des 74 000 $. Au lieu de cela, la crypto reine s'est repliée sous les 67 000 $, ce qui ébranle les certitudes des plus optimistes.

Alors que la lutte contre le dérèglement climatique est au cœur des préoccupations mondiales, certains gouvernements envisagent de bannir le minage de Bitcoin, un processus énergivore souvent décrié pour son impact environnemental. Pourtant, une nouvelle étude menée par le groupe de recherche Exponential Science révèle un paradoxe qui pourrait surprendre plus d’un législateur : interdire le minage de Bitcoin pourrait aggraver les émissions de carbone, et aller ainsi à l'encontre des objectifs climatiques. Cette étude, intitulée Les conséquences carbone inattendues des interdictions de minage de Bitcoin : un paradoxe dans la politique environnementale, éclaire davantage sur les effets de déplacement potentiels provoqués par ces interdictions.

Après un rallye vertigineux qui a suscité l'optimisme des investisseurs, le Bitcoin semble vaciller face à une pression baissière croissante. En effet, avec l’atteinte récente des résistances majeures, la crypto phare est désormais exposée à un risque de correction significative, avec un seuil clé situé autour des 65 000 $ qui pourrait déterminer l’orientation de sa trajectoire à court terme.

Le projet de loi de finances pour 2025 a suscité un vif débat, et révèle les tensions autour de la fiscalité appliquée aux plus hauts revenus en France. Au cœur de la polémique, un amendement qui vise à exempter certaines catégories de revenus de la nouvelle « contribution différentielle sur les hauts revenus » (CDHR), introduite pour limiter les pratiques de défiscalisation chez les contribuables les plus fortunés. Cet amendement, destiné à maintenir une fiscalité attractive pour les investisseurs dans l’innovation, a été rejeté par l’Assemblée nationale, ce qui constitue une défaite pour le gouvernement et une victoire pour l’opposition qui milite pour un élargissement de cette contribution.

SafePal, plateforme reconnue pour ses portefeuilles sécurisés, franchit un pas majeur via le lancement d’une application intégrée à Telegram, l'un des services de messagerie les plus populaires au monde. Ce lancement répond à une demande croissante pour des solutions de paiement crypto accessibles et adaptées aux standards de sécurité internationaux. Avec cette nouvelle offre, SafePal permet l’utilisation d’un portefeuille crypto, mais ouvre aussi l’accès à un compte bancaire suisse crypto-friendly, intégré directement dans Telegram.

Alors que le Bitcoin semble glisser sous les 70 000 USD, une vague de panique s’installe parmi les spéculateurs à court terme. En l’espace de quelques heures, ce sont près de 54 000 BTC, soit environ 3,76 milliards de dollars, qui ont été transférés vers des plateformes d’échange, ce qui constitue l’un des plus importants mouvements de vente de ces derniers mois. Cet afflux massif d’actifs reflète une dynamique négative pour le marché, particulièrement parmi les détenteurs de court terme qui, face à la volatilité, choisissent de liquider leurs positions. Une telle situation ne résulte pas seulement d’un ajustement momentané du marché, mais bien d’un sentiment de précipitation qui interpelle sur l’évolution à venir du prix de la crypto phare.

Les prévisions pessimistes de Peter Brandt, l’un des traders les plus aguerris de la scène financière, plongent la communauté crypto dans une inquiétude palpable. En effet, le cours d’Ethereum pourrait bien s’effondrer jusqu’à 1550 $, un niveau rarement vu ces dernières années. Dans un contexte de correction généralisée du marché des cryptos, cette prédiction choque autant qu’elle interpelle. Ethereum, pourtant considéré comme l’un des piliers du secteur, est en effet embourbé dans une spirale baissière marquée, sans qu’aucun signal de reprise ne se profile à l’horizon.

L’ampleur de l’amende infligée à Google par la Russie laisse le monde sans voix. Pour la première fois, une sanction à 36 zéros s’abat sur un géant de la tech, et défie toute mesure économique connue. Ce montant insensé, qui dépasse de loin le PIB mondial, constitue une étape inédite dans la guerre de la souveraineté numérique. La Russie, par cette pénalité sans précédent, dénonce la suppression de comptes et de chaînes de médias russes par Google sur sa plateforme YouTube, une action qu’elle considère comme une atteinte directe à sa souveraineté médiatique.

Le voile sur l'identité de Satoshi Nakamoto, créateur anonyme du Bitcoin, pourrait-il enfin être levé ? C’est du moins ce qu’affirme Stephen Mollah, un macroéconomiste britannique d’origine asiatique, lors d’une annonce inattendue à Londres ce jeudi 31 octobre 2024. Dans un monde crypto où chaque rumeur peut déstabiliser les marchés et raviver les débats, la prétention d’un homme à être le mystérieux inventeur du Bitcoin suscite un intérêt particulier, entre fascination et scepticisme. Alors que le débat autour de la vraie identité de Satoshi Nakamoto continue de captiver les experts et les investisseurs, cette revendication pourrait bien rouvrir la chasse à l’un des secrets les mieux gardés de l’univers financier moderne.

Alors que le Bitcoin semblait franchir la barrière symbolique des 72 000 dollars le 31 octobre 2024, les dernières données économiques américaines ont brusquement interrompu cette ascension. Face à une inflation des dépenses de consommation personnelle (PCE) inchangée et une inflation sous-jacente importante, les espoirs d’un assouplissement monétaire par la Réserve fédérale s’amenuisent, et plongent les investisseurs dans le doute. Ce contexte macroéconomique tendu, couplé aux réactions prudentes des acteurs institutionnels, aggrave la pression sur les positions longues et amplifie la volatilité des prix.