En mars, Tools for Humanity, une firme cofondée par le cofondateur d’OpenAI, la société derrière ChatGPT, lançait le World ID. C’est un passeport numérique utilisant des preuves à connaissance nulle (ZK) pour cacher les données personnelles des utilisateurs. Ceux-ci ne semblent pas indifférents aux ambitions cryptos portées par la société.
Suite à l’effondrement de FTX, plusieurs exchanges cryptos comme Binance ont été appelés à revoir leur politique sécuritaire. Un moyen de limiter les possibilités qu’un tel scandale se reproduise. Binance semble y travailler malgré ses déboires avec les régulateurs.
Après l’Iran, ce sera bientôt au tour de la Russie d'utiliser le bitcoin pour contourner les sanctions et réaliser des transactions internationales.
Il y a quelques jours le trader pseudonyme Smart Contracter indiquait des perspectives positives pour Optimism. D’après lui, cette solution de mise à l’échelle de couche 2 sur Ethereum devrait profiter d’une croissance significative.
Depuis un peu plus d’une semaine, la firme Ledger, spécialisée en sécurité crypto, est au cœur d’une grosse polémique. Celle-ci implique particulièrement le nouveau produit Ledger Recover. Il s’agit d’une mise à jour facultative, présentée comme utile à la récupération des clés de portefeuille perdues. Une évolution technique mal accueillie par les utilisateurs de Ledger. Ils soupçonnent l’entreprise de violer leur droit le plus élémentaire en une vie privée. Voici le contexte de l’histoire.
Binance annonce délister douze cryptomonnaies sous la pression réglementaire française. Monero en fait partie.