Découvrez comment la réglementation crypto en Belgique évolue avec la surveillance des publicités. De nouvelles mesures sont mises en place.
Découvrez comment la réglementation crypto en Belgique évolue avec la surveillance des publicités. De nouvelles mesures sont mises en place.
Hong Kong, que l'on croyait pro-crypto jusqu'au bout des ongles, vient de prendre tout le monde à contre-pied en classant les actifs numériques comme étant de la propriété. Une grande déception pour la communauté crypto ! L'affaire qui a tout déclenché portait sur les actifs de crypto détenus par l'ancien exchange Gatecoin. La Haute Cour de Hong Kong a finalement tranché en défaveur de la crypto, la reconnaissant en tant que propriété.
Hong Kong a récemment fait la une des actus du marché crypto. En effet, le gouvernement a exposé un plan visant à laisser les investisseurs trader des tokens numériques, tels que le bitcoin et l’ether. Alors même qu'il rivalise avec Singapour pour devenir le principal centre d'actifs numériques au monde. Hong Kong a reçu une aide supplémentaire, comprenant plus de 20 sociétés de cryptomonnaies. Celles-ci déclarent leur intention d'établir des opérations dans la ville de Hong Kong en réponse à la répression des organismes de réglementation américains. Pendant ce temps, les analystes se demandent si le prochain investissement massif de crypto à Hong Kong pourrait avoir un impact sur les ventes de tokens. Notamment sur celles d'un nouveau projet de cryptomonnaie qui suscite de l’intérêt en 2023 : Metacade. Son token natif MCADE doit être coté sur les bourses en avril et mai de cette année, après l’avoir déjà été sur Uniswap.
Le vote du projet de loi MiCA a été reporté à deux reprises à compter de novembre 2022. Mais, il a été finalement effectué ce 20 avril. Le projet de loi ainsi adopté vise à créer un meilleur cadre réglementaire pour les cryptos au sein de l’UE. Découvrez la réaction des leaders de l’industrie crypto concernant l’adoption du règlement MiCA.
Nous assistons à la faillite d’un système monétaire et bancaire à bout de souffle. Les dettes souveraines insoutenables, les politiques monétaires désastreuses et l’inflation incontrôlée expliquent cet écroulement. Le seul moyen, selon les banques centrales, de sauver ce système moribond est de contrôler toutes les transactions monétaires. D’où les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC), ou « Central Bank Digital Currency » (CBDC). Monnaies numériques manipulables par les banques centrales, elles représentent la pierre angulaire d’un futur dystopique. Le contrôle total de leur circulation va impacter notre liberté financière de manière significative. L’enjeu sociétal est énorme, et les réactions futures promettent d’être vives. Analyse de cet échec prévisible d’une forme de servitude, et des alternatives qui ne manqueront pas d’apparaitre pour y échapper.
L’an dernier, de nombreux scandales ont bouleversé l’industrie crypto comme les effondrements de Terra Luna et de FTX. Le bitcoin a vu sa valeur chuter de 70 %. Mais depuis le début de l’année, le BTC affiche un regain d’intérêt, stimulé par la crise bancaire. Selon la société d’analyse Glassnode, les indicateurs on-chain signalent la fin du bear market du bitcoin (BTC).
L’un des griefs que certains font à l'industrie crypto, c’est de considérer qu’elle est encore en croissance. Autrement dit, elle n’est pas assez évoluée pour générer des revenus conséquents ou bénéficier d’une réglementation satisfaisante pour mériter confiance. Une nouvelle étude tend à prouver le contraire.
Découvrez comment Hollywood s'intéresse au Shib Metaverse de Shiba Inu, la nouvelle tendance numérique en plein essor.
Le PDG de Coinbase, Brian Armstrong, a été interviewé le 18 avril sur CNBC. Il a évoqué les problèmes de l’exchange avec la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Ses propos suggèrent qu’une bataille judiciaire se prépare entre la SEC et Coinbase. Voici ce qu’il en est.
Le cofondateur de Terraform Labs, Do Kwon, déjà empêtré dans une affaire de prépaiement d'avocats, est maintenant confronté à une nouvelle accusation au Monténégro. Les procureurs locaux l'accusent d'avoir falsifié des documents personnels avec son directeur de finance.