Une enquête révèle que 60 % des investisseurs crypto sont jeunes et investissent moins de 10 000 $. Tous les détails dans cet article !
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Le marché locatif français traverse une crise d’une gravité exceptionnelle, ce qui menace l’accès au logement pour de nombreux ménages. Malgré un léger redressement du secteur immobilier, la location reste sous forte tension, avec une offre en chute libre et des prix qui continuent de grimper. Selon la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), des problèmes structurels et des choix réglementaires mal ajustés aggravent cette situation. Entre l’essor des plateformes de location courte durée et les nouvelles contraintes liées à la rénovation énergétique, les défis s’accumulent, ce qui révèle l’urgence d’agir. Cette crise, au-delà des chiffres, engage des enjeux sociaux et économiques majeurs pour les locataires comme pour les investisseurs.
Les États-Unis font face à un déficit budgétaire historique, qui atteint 711 milliards de dollars en seulement trois mois, soit une hausse de 39 % par rapport à l’année précédente. Cette explosion des dépenses publiques, couplée à une baisse des recettes fiscales, met à rude épreuve les finances fédérales. Donald Trump, sur le point de retrouver la Maison-Blanche, devra concilier ses promesses de baisse d’impôts avec la nécessité de contenir la dette. Pour l’y aider, Elon Musk a été placé à la tête d’une commission dédiée à l’efficacité gouvernementale. Son ambition : réduire les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars, même si un objectif à moitié atteint serait déjà un « super résultat ». Entre rigueur budgétaire et impératifs économiques, la future administration se retrouve face à une équation périlleuse, où chaque décision pourrait redéfinir l’équilibre financier du pays.
Tandis que l’économie américaine s’envole comme une étoile, l’Europe s’égare dans un labyrinthe de règles et de regrets amers.
Les relations économiques mondiales évoluent sous l’effet des tensions géopolitiques et des repositionnements stratégiques des grandes puissances. Dans ce contexte, la Chine et la Russie consolident leur partenariat commercial, qui atteint un record historique de 240 milliards d’euros en 2024. Cet essor illustre un rapprochement stratégique renforcé par les sanctions occidentales contre Moscou et la volonté de Pékin d’étendre son influence. Plus qu’une simple alliance économique, cette coopération envoie un signal clair aux États-Unis et à l’Union européenne, qui cherchent à limiter leur ascendant sur la scène mondiale. Ainsi, l’essor des flux commerciaux, l’usage accru du yuan dans les transactions et la restructuration des circuits financiers internationaux posent désormais la question des conséquences à long terme de cette entente sino-russe.
Le paysage économique mondial, longtemps dominé par les puissances occidentales et soutenu par la prééminence du dollar, semble à l’aube d’un changement. Face à un système financier centralisé autour des États-Unis et de l’Europe, de nombreuses nations expriment une volonté croissante de se tourner vers des alternatives. Cette tendance s’accélère avec l’annonce récente : plus de vingt pays, issus de plusieurs continents, ont officiellement déposé leur candidature pour rejoindre les BRICS en 2025. Si ce projet aboutit, l’élargissement du bloc formé pourrait renforcer son poids économique, mais également redéfinir l’équilibre des pouvoirs à l’échelle mondiale.
Entre annonces révolutionnaires, évolutions technologiques et turbulences réglementaires, l’écosystème crypto continue de prouver qu’il est à la fois un territoire d’innovations sans limites et un champ de batailles réglementaires et économiques. Voici un condensé des actualités les plus marquantes de la semaine écoulée autour du Bitcoin, Ethereum, Binance et Solana, et Ripple.
Sous les cieux assombris du budget, le Medef propose une réforme tranchante : retirer aux retraités leur précieux abattement fiscal. Une idée où l’économie dialogue avec l’injustice.
Le bitcoin a progressé de 120 % en 2024, surpassant largement les autres grandes classes d'actifs. 2025 s'annonce comme une année tout aussi exeptionnelle.
À quelques jours de l'investiture de Donald Trump, l'administration américaine sortante renforce ses sanctions contre le pétrole russe, propulsant le cours du Brent au-dessus des 80 dollars. Cette nouvelle offensive vise directement deux géants russes du secteur et une flotte de près de 200 navires.
Les marchés financiers détestent l'incertitude, pourtant l’économie mondiale entre dans une période d’instabilité. À l’aube de 2025, les craintes de ralentissement économique, les tensions inflationnistes et les incertitudes politiques se multiplient. Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), alerte sur des « vents contraires » et des « divergences » qui menacent l’équilibre économique mondial. L’Europe s’essouffle, les États-Unis surprennent par leur résilience, la Chine affronte une pression déflationniste, et le Brésil lutte contre l’inflation. Derrière ces disparités, un autre facteur préoccupe : l’érosion des investissements dans l’éducation freine l’innovation et la croissance à long terme. Alors que le FMI s’apprête à publier son rapport actualisé, une question demeure : ces fractures économiques creusent-elles un fossé irréversible ou préfigurent-elles un nouvel ordre mondial ?
Depuis plusieurs années, les BRICS cherchent à réduire leur dépendance au dollar américain par le développement d’une alternative monétaire. Pourtant, en ce début de 2025, la réalité du marché des changes leur échappe. Le dollar s’impose plus que jamais, et atteint des sommets tandis que les devises du bloc s’effondrent. La roupie indienne chute à un niveau historique de 85,93, le yuan chinois s’affaiblit et d’autres monnaies locales peinent à résister. Malgré les efforts des BRICS pour contrer l’hégémonie du billet vert, la dynamique actuelle expose les limites de leur stratégie de dédollarisation et pose la question de la viabilité d’une alternative crédible.
La Réserve fédérale américaine (FED) pourrait ralentir son cycle des baisses de taux d’intérêt en 2025, d’après les récentes déclarations de ses responsables. Une annonce qui a semé la panique sur Wall Street, où les indices boursiers ont lourdement chuté vendredi, secoués par des données économiques robustes ! Renforçant ainsi l’idée que la FED pourrait freiner ses assouplissements monétaires plus tôt que prévu.
L’économie chinoise vacille entre stagnation et déclin, ce qui révèle des failles structurelles durables. En décembre, l’indice des prix à la consommation n’a progressé que de 0,1 % sur un an, ce qui confirme une pression déflationniste qui s’intensifie malgré les tentatives répétées du gouvernement pour relancer la croissance. La chute des prix des denrées alimentaires (-0,5 %) et des biens de consommation (-0,2 %) illustre le manque de dynamisme de la demande intérieure, alors que les ménages restent prudents et que les entreprises hésitent à investir. Ainsi, la crise immobilière, couplée à l’inefficacité des précédentes mesures de relance, alimente les incertitudes. Ce ralentissement va au-delà d’une phase conjoncturelle. Il remet en question la résilience du modèle économique chinois et ses perspectives à court terme.
Le marché du crédit immobilier en France connaît un véritable virage. Après une période marquée par des taux d’intérêt élevés, qui freinait l’accès à la propriété, la tendance s’inverse. François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a annoncé que les taux des crédits immobiliers sont passés sous la barre des 3,4 % en novembre 2024, contre 4 % en janvier. Une telle baisse s’explique par un ralentissement de l’inflation, dont le niveau devrait atteindre 1,5 % en 2025, après avoir pesé sur l’économie ces dernières années. Cette évolution constitue un soulagement pour les emprunteurs, mais ses implications dépassent le simple cadre de l’immobilier. Un assouplissement du coût du crédit favorise généralement une reprise économique, et redonne du pouvoir d’achat aux ménages et les encourage à l’investissement. Cette dynamique pourrait aussi se répercuter sur d’autres classes d’actifs, notamment les cryptos. Une économie plus stable et un accès plus fluide au financement incitent certains investisseurs à revoir leurs stratégies. Avec cette baisse des taux et l’anticipation d’un possible assouplissement monétaire par la Banque centrale européenne (BCE), le marché immobilier pourrait retrouver une dynamique plus favorable.
La Réserve fédérale américaine se trouve divisée sur les conséquences inflationnistes potentielles des hausses de droits de douane promises par Donald Trump. Alors que certains responsables minimisent les risques, d'autres craignent une résurgence de l'inflation dans un contexte économique déjà tendu.
Les tensions commerciales entre l’Union européenne et la Chine atteignent un nouveau sommet. En effet, depuis plusieurs mois, Bruxelles cible des entreprises chinoises qu’elle accuse de bénéficier de subventions publiques ce qui fausse la concurrence. Dans le cadre du Règlement sur les subventions étrangères (FSR), l’UE a lancé plusieurs enquêtes, notamment contre CRRC, géant chinois des équipements ferroviaires, et des fabricants de panneaux solaires impliqués dans des projets européens. Face à ces investigations, Pékin réagit vivement et dénonce des pratiques discriminatoires. Ce bras de fer, qui reflète des divergences profondes sur les règles du commerce international, pourrait redéfinir les rapports de force entre les deux puissances économiques. Alors que l’UE cherche à protéger son marché, la Chine s’inquiète d’un durcissement réglementaire qui entraverait l’expansion de ses champions industriels. Dans ce contexte, les investisseurs et les entreprises se préparent à un climat d’incertitude important, où chaque décision politique peut influencer la dynamique des échanges entre l’Europe et la deuxième économie mondiale.
L’évolution du prix du bitcoin en 2025 dépendra de trois grands paramètres. La macroéconomie, la géopolitique et la capacité du bitcoin à attirer les investisseurs.
La bourse américaine s'enfonce dans le rouge ce mercredi, alors que Donald Trump envisage de déclarer une urgence économique nationale pour imposer des droits de douane universels. Cette perspective ravive les craintes d'une nouvelle guerre commerciale, éclipsant les données mitigées sur l'emploi américain.
Le yuan titube, l’empire du Milieu vacille. L’ombre de Trump, armée de taxes, plane et ravive les vieux démons économiques.
Lorsqu'un pays importe plus qu'il n'exporte, son économie s'affaiblit et sa dépendance aux marchés extérieurs s'accentue. En novembre 2024, le déficit commercial de la France s'est établi à 7,3 milliards d’euros, ce qui correspond à une amélioration de 0,3 milliard d’euros par rapport au mois précédent. Cette légère réduction du déficit s’explique principalement par une hausse des exportations d’énergie, qui ont progressé plus rapidement que les importations. Toutefois, cette embellie ne remet pas en cause la fragilité structurelle du commerce extérieur français. Malgré cette amélioration ponctuelle, le déséquilibre entre les exportations et les importations demeure critique. L’industrie nationale peine à rivaliser avec la concurrence internationale, et la balance commerciale reste largement déficitaire. Cette situation interroge sur la compétitivité des entreprises françaises et sur leur capacité à s’imposer durablement sur les marchés étrangers. Ainsi, l’évolution du déficit dans les mois à venir dépendra en grande partie de la conjoncture énergétique et des politiques économiques mises en place pour redresser la balance commerciale.
Cet article couvre les métriques les plus importantes à propos du Bitcoin pour l’année 2024. Il est un bon point de départ pour ceux qui cherchent des mots clés à rechercher pour mieux comprendre.
Quelques déclarations suffisent à faire vaciller les marchés, et Donald Trump l’a une nouvelle fois démontré. Un article du Washington Post a laissé entendre que son équipe explorait une approche plus nuancée en matière de politique tarifaire. Cette seule hypothèse a suffi à propulser les indices boursiers vers le haut, avec les investisseurs qui parient sur un assouplissement des tensions commerciales. Pourtant, l’ancien président n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, il a fermement démenti ces informations, et dénonce une énième tentative de manipulation médiatique. Ce revirement brutal a déclenché une onde de choc sur les places financières.
Après deux ans de recul marqué, le marché immobilier semble atteindre un point d’inflexion. Selon Charles Marinakis, président de Century 21 France, la correction des prix touche à sa fin, ce qui ouvre la voie à une stabilisation, voire à une légère remontée au cours de cette année 2025. À Paris, le prix du mètre carré a chuté de près de 10 % en deux ans, une baisse similaire observée dans toute l’Île-de-France. Cette correction, accentuée par la hausse des taux d’intérêt, a permis aux ventes de redémarrer progressivement. Toutefois, l’évolution du marché dépendra de plusieurs facteurs, notamment la poursuite de la baisse des taux de crédit et la capacité des vendeurs à ajuster leurs prix aux nouvelles attentes des acheteurs.
La convergence entre l'intelligence artificielle (IA) et la tokenisation des actifs s'apprête à redéfinir le paysage financier mondial en 2025, selon Hunter Horsley, PDG de Bitwise. Cette transformation majeure devrait particulièrement bénéficier aux petites entreprises, ouvrant la voie à un nouveau "marché de capitaux à longue traîne".
L'Indonésie, première économie d'Asie du Sud-Est, vient d'intégrer officiellement le bloc des BRICS en janvier 2025, marquant ainsi un tournant majeur dans la reconfiguration des alliances économiques mondiales. Cette adhésion renforce significativement le poids du groupe, qui représente désormais plus de 51% de la population mondiale et 40% du PIB global.
L’État français s’apprête à affronter une année sous haute tension sur les marchés financiers. Avec 300 milliards d’euros à emprunter en 2025, un niveau d’endettement inédit, Bercy doit manœuvrer dans un environnement particulièrement instable. L’Agence France Trésor (AFT), chargée des émissions de dette, se retrouve face à un double défi : garantir le financement du pays sans déstabiliser les marchés, et de rassurer des investisseurs de plus en plus prudents. En effet, l’incertitude politique complique encore davantage la donne. Depuis la chute du gouvernement Barnier, la France fonctionne sans budget voté, ce qui renforce les doutes sur la trajectoire budgétaire du pays. Une loi spéciale adoptée en urgence permet certes de maintenir les emprunts, mais cette solution temporaire ne suffit pas à dissiper les inquiétudes. Sur les marchés, les signes de fébrilité se multiplient. L’écart de taux entre la France et l’Allemagne, indicateur clé de la confiance des investisseurs, a doublé en un an pour dépasser 80 points de base. Ce signal traduit une perception plus risquée de la dette française et pourrait renchérir le coût du financement. Dans ce climat d’incertitude, Bercy doit trouver le bon équilibre. La stratégie de l’AFT, fondée sur la prévisibilité, la régularité et la flexibilité, suffira-t-elle à éviter une hausse excessive des taux d’intérêt ? À quelques jours des premières adjudications, la pression monte sur les responsables financiers, tandis que les investisseurs attendent des garanties sur la stabilité budgétaire du pays.
La fortune de Bernard Arnault, magnat français du luxe et PDG de LVMH Moet Hennessy Louis Vuitton, a subi un coup dur en 2024, perdant 31,9 milliards de dollars en une seule année suite à la chute des cours en bourse.
Entre un Trump provocateur et une Fed inflexible, l’économie vacille. Les taux grimpent, les prix s’envolent et les nerfs lâchent.
Entre annonces révolutionnaires, évolutions technologiques et turbulences réglementaires, l’écosystème crypto continue de prouver qu’il est à la fois un territoire d’innovations sans limites et un champ de batailles réglementaires et économiques. Voici un condensé des actualités les plus marquantes de la semaine écoulée autour du Bitcoin, Ethereum, Binance et Solana, et Ripple.