Aave, Shiba Inu et Ecoterra : Un solide potentiel en 2023 ?

Plusieurs altcoins du top 100 ont un potentiel de hausse pour les mois à venir. Après des hausses sur Bitcoin, Ethereum et BNB la semaine dernière, c’est au tour d’autres actifs de performer. Découvrez Aave, Shiba Inu et Ecoterra. Pourquoi ces projets pourraient avoir du potentiel en 2023 ?

Aave (AAVE) : l’emprunt et le prêt crypto décentralisés

Au cours des trois dernières années, Aave s’est imposé comme l’un des protocoles de référence pour les prêts crypto décentralisés. Son écosystème de landing s’est continuellement développé et amélioré avec le temps.

Aave permet à ses utilisateurs d’emprunter et de prêter un panel de cryptomonnaies via plusieurs services différents. De nombreux prêteurs bloquent leurs actifs dans le protocole (staking), faisant d’Aave le 3ᵉ plus grand projet de finance décentralisée (DeFi) en termes de TVL (Total Value Locked). Le token AAVE permet aux détenteurs de bénéficier de frais réduits sur la plateforme et sert également de token de gouvernance.

Aave ne cesse de gagner en popularité dans la DeFi grâce à ses fonctionnalités et à son interface conviviale. La plateforme est restée compétitive sur plusieurs points : prise en charge de nouveaux crypto-actifs et nouvelles fonctionnalités telles que les Flash Loans. Cette dernière permet aux utilisateurs d’emprunter de grosses sommes d’argent sans aucune garantie, tant que le prêt est remboursé en une seule transaction.

Aave fonctionne sur plusieurs blockchains telles que Ethereum, Polygon, Avalanche, Optimism et Arbitrum. En février, le projet a lancé un stablecoin qui pourrait favoriser l’adoption des cryptomonnaies et peut-être augmenter l’intérêt pour Aave.

Le projet est considéré comme un protocole intéressant de landing sur le marché. Il se situe à la 48ᵉ place du classement CoinMarketCap et sa capitalisation s’élève à 1,1 milliard de dollars.

Shiba Inu (SHIB) : le second memecoin du marché

Le Shiba Inu est apparu comme un éventuel concurrent du Dogecoin lors du bull run de 2021. En concurrence avec le Dogecoin, il gagne en popularité et sa capitalisation explose après plusieurs tweets d’Elon Musk et de Vitalik Buterin. V. Buterin a d’ailleurs longtemps été considéré comme le créateur de Shiba Inu, mais a démenti ces rumeurs lors d’un podcast de Lex Fridman le 5 juin 2021.

En plus d’être un memecoin, cette cryptomonnaie compte plusieurs cordes à son arc. Elle dispose de son propre écosystème à l’origine des tokens comme $TREES, $BONE et $LEASH. Grâce au Shibarium Layer 2, les frais de transaction ont récemment diminué lors de l’utilisation de la blockchain.

SHIBARIUM EARLY BETA TEST IS LIVE!

Today, more than ever, we see the need for a truly decentralized L2 network that powers the projects of a large, global, decentralized community.

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— Shibarium Network (@ShibariumNet) March 11, 2023

Le projet fait également évoluer son expérience virtuelle avec le Shiba Inu Metaverse. Les jeux crypto et les NFT gagnent en popularité. L’équipe du projet compte bien apporter sa pierre à l’édifice avec des partenariats gaming et des lancements de NFT.

Voici certains des avantages de Shiba Inu et ce qui en fait une cryptomonnaie sur laquelle se pencher :

• Shiba Inu possède une technologie de scaling ;
• le Shiba Inu Metaverse devient de plus en plus populaire dans l’écosystème.

Le projet est considéré comme le second plus gros memecoin du marché. Il se situe à la 17ᵉ place du classement avec une capitalisation de 6,91 milliards de dollars.

Ecoterra (ECOTERRA) : un projet qui lutte contre le réchauffement climatique

Ecoterra repose sur la blockchain et utilise le concept de Recycle-to-Earn pour lutter contre l’un des plus grands problèmes actuels : le changement climatique.

L’application permet aux utilisateurs de gagner des tokens ECOTERRA en recyclant des matériaux et des objets. Les tokens peuvent ensuite être vendus, conservés ou bloqués pour générer des revenus passifs.

Les tokens ECOTERRA peuvent également être dépensés pour lutter contre la crise climatique, soit en finançant des projets tels que le nettoyage des océans ou la plantation d’arbres, soit en achetant des crédits carbone. Ceux-ci participent à l’élimination du CO2 dans l’atmosphère. Le projet a déjà établi un partenariat avec le groupe Ahold Delhaize, qui exploite plus de 2 000 supermarchés aux États-Unis.

Pour obtenir des récompenses, les utilisateurs doivent déposer des articles recyclables tels que des bouteilles en plastique ou des boîtes en carton dans des distributeurs automatiques inversés (RVM).

On les trouve généralement dans les supermarchés ou les magasins de grande surface. Ils scannent ensuite l’objet, qui a une valeur prédéfinie sur l’application mobile, et le déposent dans le RVM pour recevoir leurs tokens.

En plus du concept de Recycle-to-Earn (R2E), Ecoterra dispose d’une marketplace qui met en relation les particuliers et les professionnels sur la thématique du recyclage. La prévente d’ECOTERRA a déjà commencé et le token est en vente pour 0,0055 $. Il passera à 0,01 $ lors de la phase finale. La moitié de l’offre maximale de tokens (2 milliards) est mise en vente pendant la prévente.