« Bears Floating » : L’ours de Jayet au pays des NFT
Son nom ne vous dit peut-être pas grand-chose si vous n’êtes pas adepte du pop art. Pourtant, Jayet fait déjà partie de l’histoire des NFT, avec une première collaboration plus que réussie dans le cadre du lancement des Lucky Duckies. L’artiste s’est fait un nom dans le milieu très fermé de l’art et des plasticiens. Très connu pour son ours, symbole de ses œuvres, Jayet a déjà eu l’occasion de réaliser des collaborations dans des lieux emblématiques. On peut notamment citer l’esplanade du MUCEM à Marseille, l’intercontinental ou encore des galeries très connues.
Jayet : du pop art aux NFT, l’évolution d’un artiste original
Jayet est un artiste plasticien du courant pop art, qui évolue progressivement vers le monde NFT. Il débarque avec une nouvelle collection « Bears Floating » et un drop de type « Tryptic Numerico Physic ». Mais alors, en quoi consiste tout cela ?
Le triptyque consiste en fait en une déclinaison d’une même œuvre sur trois supports. Le premier est une sculpture dans le monde physique. Le second est un hologramme qui présente un ours emprisonné dans un cadre physique représentant une version 3D holographique de la même sculpture. Enfin, le troisième support est numérique et permet de transporter simplement l’œuvre dans son smartphone ou sa tablette.
Vous savez maintenant ce qu’est le concept de Tryptic Numerico Physic, que Jayet a été le premier artiste au monde à le réaliser. Il l’intègre parfaitement à celui des NFT, puisque les collectionneurs possèderont un NFT qui agira comme un certificat d’authenticité des sculptures et de la version sur support holographique. Un travail que l’artiste a entrepris afin de s’adapter à l’évolution des nouvelles technologies. Ces dernières sont venues s’immiscer dans le monde de l’art avec la récente déferlante NFT.
L’artiste a toujours été fasciné par les ours : depuis tout petit en doudou, en friandises, mais aussi dans l’imaginaire collectif. C’est donc tout naturellement qu’il a opté pour l’ours comme emblème de son art.
Jayet est un artiste international 3.0, spécialisé dans la sculpture, le design de NFT, les hologrammes, les tableaux, les sculptures… Il s’agit aujourd’hui du premier artiste ayant mis en vente ce type de triptyque.
Plasticien designer français, son histoire commence avec un ours, un animal iconique berçant l’enfance de nombreux enfants. L’ours Jayet représente autant la douceur que la puissance. Il est unique au monde : biface, clin d’œil côté pile, les yeux écarquillés et sourire côté face, ses bras grands ouverts. Il est à l’image de Janus le « dieu des transitions » à deux têtes, vieux de 2 000 ans. La différence ? L’ours, lui, sourit à l’avenir avec son clin d’œil. Et pourquoi deux faces ? La première face représente l’ours étonné par le monde qui l’entoure avec des yeux ronds, grands ouverts. La seconde représente celle de José Garcia, avec son clin d’œil porte-bonheur et bienveillant.
Le plus grand ours du monde se situe à Marseille et mesure plus de 6 mètres. Avec sa couleur orange, il ne passe pas inaperçu si vous êtes de passage dans la capitale phocéenne.
Bears Floating, une collection NFT exclusive en partenariat avec Cointribune, Cointelegraph et Metakira
Dès 2022, Jayet lancera un nouveau catalogue NFT en partenariat avec Cointribune, Cointelegraph et Metakira, notamment au célèbre Peninsula Paris.
Une exposition se prépare également au Carreau du Temple dès le mois de mai 2022. L’occasion de révéler un projet de 35 tonnes et 5 étages qu’il est en train de concevoir : un immense Coq en exclusivité pour la coupe du monde de Rugby et les JO de Paris en 2022.
Mais, au-delà de ses créations plus traditionnelles, Jayet lance une nouvelle collection NFT intitulée « Bears floating ». Un mouvement vers les NFT très organique vu la carrière d’artiste de Jayet, qui s’est émancipé sur le tard en tant qu’artiste. Dans une interview récente, il déclarait ainsi que lors de ses études, il avait appris la sculpture avec massette, poinçon, ciseaux à pointes et gradines. Aujourd’hui, il utilise des techniques plus modernes, similaires à celles de Jeff Koons par exemple.
« Je dessine, puis je peaufine avec des graphistes, des spécialistes de la 3D, de la résine, et des peintres. C’est beaucoup de superbes rencontres, d’échanges et de travail. Pour transformer l’idée en œuvre, une équipe importante est nécessaire. Et elle devrait s’étoffer, car je réalise des ours en béton, en bois, en marbre, en Inox et également en bronze, et des hologrammes. »
L’occasion de se positionner sur la collection NFT d’un artiste qui n’en est pas à son coup d’essai et qui, au contraire, franchit progressivement les étapes pour embrasser la révolution NFT.
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