Le mois de mai a réservé une surprise amère aux partisans des NFT. Alors que le Bitcoin a brillé par une hausse notable de ses volumes sur le marché des jetons non fongibles, l'ensemble du secteur, lui, s’est enfoncé dans une nouvelle phase de recul. Preuve que la santé d’un actif phare ne suffit pas toujours à tirer tout un écosystème vers le haut.

Avec un nouveau record de capitalisation, les stablecoins augmentent encore leur domination sur le marché crypto.

WisdomTree a déjà son ETF, mais la SEC veut repenser les règles. Bitcoin in-kind ? Possible. Derrière ce pas vers l’innovation, l’agence affine ses armes pour garder le contrôle.

Tandis que les lignes du commerce mondial se déplacent sous la pression géopolitique, Moscou envisage de troquer les devises traditionnelles contre des cryptos pour ses exportations agricoles. Ce n’est pas une expérimentation marginale, mais un projet massif : le règlement de 49,5 millions de tonnes de céréales pourrait se faire en crypto. Une initiative qui, si elle se concrétise, redéfinirait les règles du commerce pour les États sous sanctions et imposer la blockchain comme alternative aux systèmes financiers dominants.

Le bitcoin n’est décidément pas fait pour les âmes sensibles. Si beaucoup pensent à se tenir éloignés des fortes turbulences, certains investisseurs, à l’instar de James Wynn, semblent y trouver un terrain de jeu privilégié. Après une perte astronomique, l'homme revient au centre de l'arène avec un pari encore plus audacieux.

Circle débarque en bourse avec fracas ! L’émetteur de l’USDC vise 7,2 milliards de dollars pour son IPO. Soutien massif de BlackRock, ambitions démesurées, modèle crypto régulé… cette entrée à Wall Street pourrait bien redéfinir les règles du jeu. Alors, révolution ou absorption ?

Morgan Stanley secoue les marchés. En effet, la banque d’investissement prévoit une chute de 9 % du dollar américain d’ici un an, ce qui ramène la devise à ses plus bas niveaux depuis la pandémie. Une projection choc, publiée le 31 mai, qui remet en cause le statut dominant du billet vert dans l’ordre monétaire mondial et alimente les craintes d’un basculement durable des équilibres financiers internationaux.

Quand le marché crypto vacille, certaines sociétés de mining de bitcoin parviennent à tirer leur épingle du jeu. En mai 2025, malgré une phase de consolidation tendue du BTC, les entreprises de mining ont enregistré leurs revenus mensuels les plus élevés depuis le halving d’avril 2024. Un résultat remarquable, obtenu dans un contexte de correction technique, où la prudence domine les échanges. Ce regain de rentabilité, porté par la seule valorisation du bitcoin, souligne les tensions sous-jacentes d’un modèle de plus en plus dépendant du prix de l’actif.

À 10 ans, David Carvalho a écrit son tout premier virus informatique. Il ne volait pas de mots de passe, ne supprimait pas de disques durs. Il affichait simplement un message terrifiant à l’écran : « Vous avez été infecté par Sunday. Votre disque dur est en cours de formatage. » Une farce, certes, mais rétrospectivement, elle annonçait quelque chose de bien plus grand : l’émergence d’un esprit qui allait plus tard conseiller l’OTAN en matière de cyberguerre et bâtir ce qui pourrait devenir l’infrastructure de sécurité la plus importante de l’ère post-quantique. Ce parcours, d’un enfant curieux du Portugal rural au PDG de Naoris Protocol, est désormais raconté dans une interview captivante sur When Shift Happens. Carvalho y expose son évolution personnelle, mais surtout, pourquoi le modèle de confiance sur Internet est fondamentalement brisé, et comment il entend le réparer.

Meta écrase une proposition bitcoin à 99,92 %. Une rébellion étouffée, un empire verrouillé. Tandis que d’autres misent sur le BTC, Zuckerberg freine. Coup de maître ou occasion ratée ? Plongez dans la stratégie trouble du géant de la tech.

Le nouveau président polonais est pro bitcoin, mais probablement plus par opportunisme électoral qu’en raison d’une stratégie claire comme celle des États-Unis.

Pensée comme une avancée décisive vers l’abstraction de compte, la mise à jour Pectra bouleverse déjà les équilibres de sécurité sur Ethereum. Introduisant le standard EIP-7702, soutenu par Vitalik Buterin, elle permet aux portefeuilles de se comporter temporairement comme des contrats intelligents. Cependant, à peine déployée, cette innovation est détournée à grande échelle pour automatiser des attaques. Loin d’éliminer les risques, l’évolution du protocole en crée de nouveaux, plus subtils, que les hackers s’empressent déjà d’exploiter.

Ross Ulbricht, récemment libéré de prison, a reçu 300 BTC. Les experts en blockchain affirment qu'il ne provenait probablement pas de sa propre réserve.

Pendant que le Bitcoin fait la sieste au-dessus des 100 000 dollars, Ethereum remplit les caisses. Les fonds affluent, les ETF frétillent : qui a dit que la crypto s’essoufflait ?

Medellín, surnommée la "ville de l'éternel printemps", est devenue un symbole de transformation urbaine en Amérique latine. Grâce à ses infrastructures modernes, son engagement envers la durabilité et une qualité de vie exceptionnelle, la ville attire de plus en plus d'investisseurs internationaux. Le quartier d'El Poblado, et plus précisément Provenza, est au cœur de cette dynamique, offrant un mélange unique de vie nocturne animée et de sérénité résidentielle. Et tout cela est désormais à portée de main grâce à RealT.

Michael Saylor n'en finit plus d'alimenter les réserves crypto de Strategy. La société vient d'acquérir 705 bitcoins supplémentaires pour 75,1 millions de dollars, portant son trésor numérique à plus de 580 955 BTC. Une stratégie d'accumulation qui ne faiblit pas, malgré les turbulences du marché crypto.

Vitalik promet encore du x10 pour Ethereum ! On espère que cette fois, le soufflé crypto ne retombera pas avant d’avoir gonflé les poches et calmé les sceptiques.

Elon Musk n’en finit plus de redessiner les contours de la communication numérique. Avec XChat, sa nouvelle messagerie intégrée à la plateforme X (anciennement Twitter), il ne se contente pas d’innover sur les fonctionnalités. Il pioche dans l’ADN du Bitcoin pour renforcer la sécurité. Résultat ? Un outil de messagerie qui promet de bousculer Telegram, Signal et même WhatsApp.

Quand six mots et un simple graphique bitcoin suffisent à déclencher l'effervescence, c’est que Michael Saylor a encore frappé. Le cofondateur de Strategy, figure de proue du maximalisme BTC, a publié sur X un message aussi court qu’éloquent : « l’orange est ma couleur préférée ». Derrière ce clin d’œil se cache une nouvelle opération d’achat stratégique, dans un climat où son entreprise enchaîne les acquisitions de bitcoin. Une déclaration énigmatique, mais sans équivoque pour les initiés.

Une opération judiciaire d'ampleur secoue l'écosystème crypto français. Le parquet de Paris vient d'inculper 25 individus, dont six mineurs, pour leur implication présumée dans plusieurs tentatives d'enlèvements ciblant des figures du secteur crypto. Cette offensive marque-t-elle enfin un tournant dans la lutte contre cette nouvelle forme de criminalité ?

Le bitcoin vient de franchir un seuil psychologique majeur en dépassant les 64 % de domination sur le marché crypto. Cette progression constante depuis plusieurs semaines place désormais la reine des cryptos dans une zone de résistance historique. 

Le PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, dézingue le bitcoin en pleine tempête géopolitique. À ses yeux, mieux vaut stocker des missiles que des cryptos. Une prise de position qui fait trembler la Maison-Blanche… Bitcoin : espoir numérique ou mirage stratégique ?

Un milliard. Pas en obligations, pas en or. En Ether. Quand SharpLink Gaming ouvre son chéquier, ce n’est pas pour jouer — c’est pour tout miser sur la table Ethereum. Pendant que la vieille finance s’accroche à ses taux d’intérêt comme à une bouée, une entreprise de paris sportifs vient de poser une bombe thermonucléaire sur le paysage crypto.

TON, la crypto de Telegram, tousse à nouveau : bugs, queues qui coincent et chiens enragés. Réseau KO, validateurs à la bourre... et des milliards qui circulent comme si de rien n’était.